AUXERRE TV - Mot-clé - conseil-généralLa première Web Télé de l'Yonne2024-04-10T06:34:03+02:00urn:md5:e378ce404c0b8f51a27bd9bc32605d36DotclearTransports scolaires : gros bug dans les transmissions de SMSurn:md5:88f8b25cf002aee6727bc5c81dafb0322013-01-16T12:38:00+01:002013-01-16T13:58:19+01:00Pierre-Jules GAYESOCIETEalerteconseil-généralsmsttransports-scolairesyonne<h2><span style="font-size: 18px;"><span class="userContent translationEligibleUserMessage">Selon le conseil général, le système
d'alerte SMS fourni par Orange a gravement dysfonctionné à l'occasion
des récents épisodes neigeux</span></span></h2> <p><span style="font-size: 18px;"><span class="userContent translationEligibleUserMessage">Après enquête, il s'est avéré que seuls 16 % des messages ont été adressés, mercredi matin. </span></span></p>
<p><span style="font-size: 18px;"><span class="userContent translationEligibleUserMessage">Mardi matin à 8 heures, seuls 51 % des parents d’élèves avaient été informés. Mardi, vers 5 heures, les patrouilleurs ont dressé un état des routes puis transmis les informations aux responsables du transport scolaire qui ont décidé de ne pas faire circuler les cars de ramassage, à 6h43. </span></span></p>
<p><span style="font-size: 18px;"><span class="userContent translationEligibleUserMessage">Transporteurs et parents <strong>(environ 25.000 Icaunais concernés</strong>) auraient dû être prévenus dans la foulée. Certains chauffeurs avaient déjà entamé leur tournée.<br />
</span></span></p>
<p><span style="font-size: 18px;"><span class="userContent translationEligibleUserMessage">Le Conseil Général vient de se retourner vers Orange / France Télécom pour lui demander des explications, peut-on lire sur la page Facebook du "<em>Fil de l'Yonne"</em>, publication du conseil général.<br />
</span></span></p>
<p><span style="font-size: 18px;"><span class="userContent translationEligibleUserMessage">Les transports scolaires étant suspendus pour toute la journée de ce mercredi 16 janvier, les transporteurs n'assureront pas le service de retour de mercredi midi.</span></span></p>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2013/01/16/Transports-scolaires-%3A-bug-dans-les-transmissions-de-SMS#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/37514 roues offertes par le conseil général pour rechercher en emploiurn:md5:3b4fcb3959da6add43648e615b1cc5382013-01-09T16:56:00+01:002013-01-10T09:03:51+01:00Pierre-Jules GAYESOCIETEaideappoignyauxerreclub mobconseil-généralinsertionmobil écomobilitérecherchesensvilliersvoitures<h2>Mercredi-après-midi à Appoigny, garage du conseil général</h2> <p><span style="font-size: 18px;"><span id="fbPhotoSnowliftCaption" tabindex="0" class="fbPhotosPhotoCaption"><span class="hasCaption">Remise de cinq véhicules réformés du Conseil Général au Club Mob d'Auxerre et à Mobil'Eco de Sens, associations spécialisées dans l'aide à la mobilité pour les personnes en recherche d'emploi ou en démarche d'insertion.</span></span></span></p>
<p><span style="font-size: 18px;"><span tabindex="0" class="fbPhotosPhotoCaption"><span class="hasCaption">Club Mob a aidé 135 personnes l'année dernière.</span></span></span></p>
<p> </p>
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: 18px;"><span tabindex="0" class="fbPhotosPhotoCaption"><span class="hasCaption"><img width="640" height="637" src="http://www.auxerretv.com/content/public/voitmob.jpg" alt="" /></span></span></span></p>
<p style="text-align: center;"><strong><span style="font-size: 14px;">Vite fait bien fait (DR)</span></strong></p>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2013/01/09/4-roues-offertes-par-le-conseil-g%C3%A9n%C3%A9ral-pour-rechercher-en-emploi#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/3732Protection de l'enfance : Alain Boulonne cède sa place à une femme, Joëlle Voisinurn:md5:399b32ad3aeac58a27897dc92ef921672012-12-18T19:45:00+01:002012-12-19T15:18:32+01:00Pierre-Jules GAYESOCIETEboulonnecomité-de-protectionconseil-généralenfanceraincourtvoisinyonne<h2>L'ancien directeur général de l'Yonne républicaine a mené à terme la mission que lui avait confiée Henri de Raincourt</h2> <p><span style="font-size: 18px;"><span class="fbPhotosPhotoCaption" tabindex="0" id="fbPhotoSnowliftCaption"><span class="hasCaption">Grand moment au CPEY (Comité de Protection de l'Enfance), mardi, dont la mission est d'apporter un soutien éducatif aux familles rencontrant des difficultés à élever leurs enfants.<br />
</span></span></span></p>
<p><span style="font-size: 18px;"><span class="fbPhotosPhotoCaption" tabindex="0" id="fbPhotoSnowliftCaption"><span class="hasCaption">La passation de pouvoir entre Alain Boulonne président sortant, ancien directeur général de l'Yonne Républicaine et Joëlle Voisin la nouvelle présidente qui exerça d'importantes responsabilités il y a une quinzaine d'années au Conseil Général de l'Yonne, où elle était responsable des services de la solidarité, a eu lieu, mardi, en famille, en présence d'André Villiers, président du conseil général de l'Yonne.<br />
</span></span></span></p>
<p><span style="font-size: 18px;"><span class="fbPhotosPhotoCaption" tabindex="0"><span class="hasCaption">Alain Boulonne, missionné par Henri de Raincourt</span></span></span> <span style="font-size: 18px;">au début des années 2000</span>, <span style="font-size: 18px;">a patiemment et méticuleusement restructuré l'ensemble des services sans casse pour les inscrire dans l'évolution des besoins de la société.</span><span style="font-size: 18px;"> Un travail de fond et de relationnel discret, dans l'ombre, qui a porté ses fruits. En attestent l'ouverture de services d'intervention continue en milieu ouvert ainsi que de réparation pénales ou encore de centres de jour. Le CPE dispose d'une dizaine d'antennes dans le département.<br />
</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Le service de protection de l'enfance de l'Yonne emploie une centaine de salariés et gère plus de 1 400 enfants de manière personnalisée, "dans" les familles" et dans les structures diverses.<br />
</span></p>
<p> </p>
<p style="text-align: center;"><img width="640" height="478" alt="" src="http://www.auxerretv.com/content/public/boul.jpg" /></p>
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: 14px;"><strong>Alain Boulonne (deuxième à partir de la gauche), Joëlle Voisin (au centre) de noir vêtue (DR)</strong></span></p>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2012/12/18/Protection-de-l-enfance-%3A-Alain-Boulonne-c%C3%A8de-sa-place-%C3%A0-une-femme%2C-Jo%C3%ABlle-Voisin#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/3668Les cubes vitrés du Crédit Agricole : qui va payer le désamiantage ?urn:md5:6575001714ca20910296a7502a4d580c2012-10-28T10:50:00+01:002012-11-05T20:59:47+01:00Pierre-Jules GAYESOCIETEachatamiantebâtimentsconseil-généralcrédit-agricoledocumentjehlouffrepandoretravauxventevideoénergétique<h2>Le conseil général a acheté entre 4 et 4,7 millions d'euros (selon les sources) le siège social futuriste du Crédit agricole, véritable gouffre énergétique, en 2009 (engagement d'achat en 2007). Après la découverte récente d'amiante à tous les étages, le département attaque le vendeur (la banque) en justice</h2> <p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">C'est au mois d'avril, à l'occasion de travaux, que la présence de panneaux d'amiante en périphérie à tous les étages a été mise à jour. La direction des services compétents du conseil général soutient que le document diagnostic amiante obligatoire ne figure pas dans le dossier de l'acte de vente notarié signé le 22 juillet 2009. <br />
</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">Les conseillers généraux se sont réunis, vendredi. Ils ont autorisé le conseil général de l’Yonne à engager <em>« une action en responsabilité civile afin d’assigner toute personne responsable dans la cause pour obtenir la prise en charge des travaux de désamiantage par le vendeur (</em>Le Crédit Agricole : Ndlr<em>) et le versement d’une indemnité pour préjudice de jouissance ».</em></span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;"><span style="font-size: 18px;">Le dossier surgit comme une bombe. </span>Ce conflit ouvert et public survient dans un contexte économique et social particulièrement tendu et contraint</span>.<span style="font-size: 18px;"> Les marges budgétaires sont négatives et collectivités comme particuliers doivent réduire à coups de coupes claires dans les dépenses. <br />
</span></p>
<p> </p>
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: 18px;"><img width="576" height="405" alt="" src="http://www.auxerretv.com/content/public/CA(1).jpg" /></span></p>
<p style="text-align: center;">Photo Pierre Joly et Véra Cardot - 1970 (DR)</p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">Le dossier étant à l'instruction et désormais du ressort de la justice, on peut comprendre que les deux parties ne souhaitent pas communiquer. </span><span style="font-size: 18px;">Cela n'exonère pas de chercher à comprendre ce conflit d'autant qu'il met en jeu l'argent public</span><span style="font-size: 18px;"> et l'usage qui en est fait.</span> <span style="font-size: 18px;">Le dossier soulève en effet plusieurs questions</span>.</p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">1/ Comment se pourrait-il que le document diagnostic amiante ne figure pas dans l'acte de vente en tant que pièce jointe obligatoire ? On a peine à croire que les trois parties (le notaire, le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne et le conseil général de l'Yonne) aient fermé les yeux et encore moins "oublié" de faire figurer dans l'acte de vente ce document légal obligatoire.</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">2/ Il paraît évident que le bâtiment futuriste conçu par le cabinet parisien Andrault et Parat dont Roland Jehl <strong><em>(regardez l'entretien vidéo en fin d'article )</em></strong> était collaborateur et chargé, entre 1968 et 1970 d'en réaliser l'exécution, était tapissé d'amiante et que tout le monde le savait du fait des techniques de construction en vigueur à l'époque et de l'ignorance des effets néfastes pour la santé publique de ce matérieau. Alors pourquoi une telle évidence n'aurait-elle pas été détectée et dûment consignée dans le document en question ? </span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">3/ On pourrait invoquer</span><span style="font-size: 18px;"> la date de l'acte de vente qui soustrairait les parties à l'obligation d'établir un document obligatoire amiante mais cela ne tient pas. La promesse de vente a été signée en septembre 2007 et l'acte de vente en juillet 2009. Le fameux document était donc d'actualité et obligatoire.<br />
</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">4/ Le délai de près de deux ans séparant le contrat d'engagement de vente et l'achat pourrait laisser supposer qu'il y aurait eu des négociations</span> <span style="font-size: 18px;">plus "globales " voire politiques, entre vendeur et acheteur.</span><span style="font-size: 18px;"> Dans cette hypothèse, sur quel périmètre et avec quels enjeux ? C'est Henri de Raincourt qui a signé cet acte. Pourquoi un tel "engagement" d'achat ? Le Crédit Agricole a-t-il fait un chantage à l'emploi ou à une délocalisation de ses bureaux ? <br />
</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">5/ Pourquoi le Crédit Agricole a-t-il construit un nouvel immeuble siège social en face (de l'autre côté de la route) de l'ancien à l'architecture moderne ?</span> <span style="font-size: 18px;">Parce qu'il était trop énergivore ? Parce qu'il symbolisait le plus gros crack bancaire en France au début des années 90 ? Patrice Bourbier, directeur général de la caisse du Crédit agricole de l'Yonne jusqu'en 1993, a investi dans la banque-industrie et la promotion immobilière en France et en Espagne. Montant total de ses pertes : 1,5 milliard de francs, soit un sinistre du type Crédit lyonnais. La Côte-d'Or a refusé de fusionner avec l'Yonne. </span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">6/ Pourquoi le conseil général de l'Yonne a-t-il acheté l'ancien siège du Crédit Agricole après s'être engagé à le faire deux ans plus tôt ?</span> <span style="font-size: 18px;">Après celui de la Banque Populaire à Perrigny et les bâtiments de l'Hôtel de l'Europe situés près de la place du même nom ?</span> <span style="font-size: 18px;">Et pourquoi aurait-il acheté des bâtiments énergivores ou plutôt énergigouffre ?</span> <span style="font-size: 18px;">Oui pourquoi, sachant que le conseil général n'occupe qu'un seul (pôle patrimoine) des trois étages cubiques vitrés du boulevard de la Marne, le rez-de-chaussée étant mis à disposition des fédérations sportives dont le District de l'Yonne de football ?</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">7/ Enfin, comment se fait-il que les deux parties n'ont pas réussi à négocier leurs problèmes plutôt que d'ester en justice à grands frais d'avocat et d'experts ? Tous les juristes ou hommes de l'art vous diront que mieux vaut un mauvais accord que n'importe quel procès.<br />
</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">8/ Il reste une dernière hypothèse : celle </span><span style="font-size: 18px;">d'un affranchissement des leaders politiques en place aujourd'hui, par rapport aux engagements-concessions "arrangements" de leurs prédécesseurs</span>.<span style="font-size: 18px;"> Ainsi, le centriste André Villiers a succédé, le </span><span style="font-size: 18px;">31 mars 2011, à trois présidents de conseil général, Jean Chamant (1970-1992), Herni de Raincourt (1992-2008) et Jean-Marie Rolland (2008-2011) UMP, dans des conditions politiques étonnantes, la forte majorité de droite ayant préféré dégommer l'ex-député Jean-Marie Rolland</span>. <span style="font-size: 18px;">Du coup des hommes nouveaux sont apparus sur le devant de la scène dans l'Yonne aux postes de vice-présidents, des centristes.</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">André Villiers, suppléant au Sénat d'Henri de Raincourt, conseiller général de Vézelay, regarde les choses avec un oeil nouveau</span>.<span style="font-size: 18px;"> A l'heure où les dossiers plus que sensibles viennent sur la table, cette action en justice apparaît à la fois comme un arrêt brutal et fort face à une forme de gabegie insupportable ainsi qu'au regard de pratiques de baronnies provinciales qui désormais ne devraient plus avoir cours. </span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">La contre-attaque du conseil général de l'Yonne résonne comme un avertissement en ce sens permettant aussi de masquer quelques brûlots autour de cette <em>boîte de Pandore (*)</em>. <em>AUXERRE TV </em>enquête et rendra compte.<br />
</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">Il reste un ultime scénario. Celui du gagne-terrain. </span><span style="font-size: 18px;">Comme un gambit aux échecs, on sacrifie une pièce mineure dans la perspective de prendre une pièce majeure, un pion pour une reine ou un roi par exemple.</span> <span style="font-size: 18px;">Et si tout ce tintamarre n'était qu'effet d'annonce (technique très moderne et largement pratiquée) ?</span> <span style="font-size: 18px;">Autrement dit, et si le conseil général avait découvert de l'amiante non consignée dans le document, côté chaufferie par exemple, et cherche à en tirer parti pour impliquer et faire payer le Crédit Agricole ? Vous allez répondre que cela se joue à la marge et que cela se négocie. Comme le prix de vente des bâtiments du Crédit Agricole fixé à 4,7 millions d'euros et négocié à 4 millions. Par les temps qui courent, rien ne saurait être négligé. Alors banco ... ?<br />
</span></p>
<p> </p>
<p><strong><span style="font-size: 18px;"> P-J. G.</span></strong></p>
<p><strong><span style="font-size: 18px;">_____________________________</span></strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 18px;">(*) </span><span style="font-size: 14px;">Dans la mythologie grecque, Prométhée vola le feu aux Dieux pour le donner aux hommes. Pour se venger, Zeus ordonna à Vulcain de créer une femme faite de terre et d’eau. Elle reçut des Dieux de nombreux dons : beauté, flatterie, amabilité, adresse, grâce, intelligence, mais aussi l’art de la tromperie et de la séduction. Ils lui donnèrent le nom de Pandore, qui en grec signifie "doté de tous les dons". Elle fut ensuite envoyée chez Prométhée. Epiméthée, le frère de celui-ci, se laissa séduire et finit par l’épouser. Le jour de leur mariage, on remit à Pandore une jarre dans laquelle se trouvaient tous les maux de l’humanité. On lui interdit de l’ouvrir. Par curiosité, elle ne respecta pas la condition et tous les maux s’évadèrent pour se répandre sur la Terre. Seul l’espérance resta au fond du récipient, ne permettant donc même pas aux hommes de supporter les malheurs qui s’abattaient sur eux. C’est à partir de ce mythe qu’est née l’expression "boîte de Pandore", qui symbolise la cause d’une catastrophe. L’origine de beaucoup de malheurs.</span></strong></p>
<p> </p>
<p style="text-align: center;"><strong><span style="font-size: 14px;"><img width="640" height="480" src="http://www.auxerretv.com/content/public/cragro1.jpg" alt="" /></span></strong><span style="font-size: 14px;"><strong><br />
</strong></span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14px;"><strong>Les bâtiments que le conseil général de l'Yonne a rachetés pour 4 millions d'euros (4,7 et 4,5 selon les sources) au Crédit Agricole en juillet 2009. La banque a construit un nouveau siège social en face, de l'autre côté du boulevard de la Marne (DR)</strong></span></p>
<p> </p>
<p><span style="color: rgb(128, 128, 128);"><span style="font-size: 36px;"><strong>Interview de Roland Jehl, l'architecte</strong></span></span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="color: rgb(0, 0, 0);"><span style="font-size: 18px;"><strong>L'homme de l'art a réalisé le bâtiment futuriste entre 1968 et 1970. Il confirme la présence massive d'amiante recommandée par les services de sécurité à l'époque. Il estime que le bâtiment est "une épave thermique" et qu'il aurait du être acheté pour le franc symbolique<br />
</strong></span></span></p>
<p> </p>
<p><iframe width="700" height="480" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/xuo5b4"></iframe></p>
<p><span style="font-size: 18px;">L'interview de Henri de Raincourt :</span></p>
<p> </p>
<p><iframe width="700" height="480" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/xuv62o"></iframe></p>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2012/10/28/Les-cubes-vitr%C3%A9s-du-Cr%C3%A9dit-agricole-%3A-qui-va-payer-le-d%C3%A9samiantage#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/3465La gratuité des transports scolaires remise en cause dans l'Yonneurn:md5:5dbc8aede9b0baec76cfe72a1bc0ae6a2012-09-17T14:43:00+02:002012-09-17T22:53:58+02:00Pierre-Jules GAYESOCIETEconseil-généralcresson-voyagesgallatgratuitétransports-scolairesvideoyonne<h2>Il en coûte 23 millions d'euros par an à la collectivité icaunaise, soit 850 euros en moyenne par enfant. Mais de substantielles économies peuvent être réalisées en priorité pour faire baisser la facture, avant de supprimer la gratuité</h2> <p><span style="font-size: 18px;">Le gâchis financier dû à la mauvaise organisation des transports scolaires gratuits dans l'Yonne depuis des années, est insupportable</span>.</p>
<p><span style="font-size: 18px;">La gratuité des transports scolaires (primaires, collèges et lycées) dans l'Yonne est une marque de fabrique qui date de l'ère Jean Chamant.</span><span style="font-size: 18px;"> C'est même un tabou.</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Aujourd'hui, les collectivités territoriales et locales sont étranglées financièrement. Elles doivent supporter de plus en plus de charges et de transferts de compétences de services de l'État parfois sans contrepartie. Comment faire pour boucler les budgets ? Augmenter les impôts, variable d'ajustement ? Difficile dans le contexte actuel alors qu'en outre, ils augmentent mécaniquement, chaque année, en fonction de la modification des assiettes et de l'inflation.</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Il faut donc tailler, rogner dans les dépenses. L'aide aux communes qui a considérablement diminué au grand dam des élus locaux, a sans doute coûté son poste au président Jean-Marie Rolland.</span> <span style="font-size: 18px;">Les dépenses sociales explosent</span><span style="font-size: 18px;"> de manière exponentielle</span>. <span style="font-size: 18px;">Insupportable.</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Des ballons d'essai sont envoyés ci et là, pour tâter le terrain et préparer les gens à de douloureux sacrifices. A la différence de l'Etat, le budget du conseil général doit être obligatoirement en équilibre.</span> <span style="font-size: 18px;">Le nouveau président André Villiers ne manque pas une occasion pour lancer des messages forts aux uns et aux autres.</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Ainsi, par exemple, face à l’augmentation des tarifs des prestataires, le conseil général envisage de mettre fin à la gratuité des transports scolaires. Il envisage aussi de créer une régie et d'exploiter lui-même les circuits de ramassage. <br />
<br />
<em>«Les transporteurs nous prennent pour des banquiers</em>, a lâché le président du conseil général André Villiers (Nouveau Centre), lors d'une réunion à l’Institut d’enseignement supérieur de l’Yonne (IESY), à Sens. <em>Les tarifs des transporteurs augmentent de 8 % cette année, d’après une consultation menée sur 240 circuits gérés par le conseil général. Si nous ne faisons rien, on paiera sans limite. Nous devons sortir de ce carcan. »</em><br />
</span></p>
<p> </p>
<p><span style="font-size: 30px;"><strong>Décision avant la fin de l'année</strong></span></p>
<p><span style="font-size: 18px;"><br />
La majorité départementale préconise la création d’une participation financière qui serait indexée sur le quotient familial : «<em> Le débat n’est pas clos,</em> indique André Villiers. <em>Une commission travaille sur ce sujet. L’assemblée sera saisie de ses conclusions en fin d’année. Il faudra prendre une décision, dans le cadre du vote du budget 2013. »</em></span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Cette tendance n'est pas isolée. Elle correspond à un mouvement de fond engagé depuis deux ans en France.</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">A la rentrée 2012, les parents d'élèves du voisin Loiret et de la Corrèze ont dû mettre la main à la poche pour que leurs enfants puissent prendre le car scolaire, jusqu'à présent gratuits. Une décision pas isolée puisque depuis 2010, de nombreux départements ont remis la gratuité en cause. Seuls 28 l'ont maintenu à 100%</span>.</p>
<p><span style="font-size: 18px;">Mais tout le monde ne partage pas cette tendance, estimant que la gratuité des transports scolaires est un service public permettant l’accès à l’éducation qui, elle aussi, est gratuite</span>.<span style="font-size: 18px;"> La fin de la gratuité, au sens littéral du terme, consisterait à faire payer aux familles le coût réel du transport. <u><em>Dans l’Yonne, le coût moyen par enfant transporté est de 850 euros. Le coût total est de 23 millions d'euros pour 26 000 élèves. </em></u>Mettre fin à la gratuité consisterait à faire payer cette somme-là aux familles</span>.<span style="font-size: 18px;"> Impossible à envisager pour des élus politiques locaux sous peine de se couper de leur électorat.</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">D'autres solutions peuvent être étudiées comme le suggère Francis Gallat, président de Cresson Voyages</span>,<span style="font-size: 18px;"> dont 60 % du chiffre d'affaire est constitué par les circuits scolaires à Auxerre, l'Auxerrois et au-delà.</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Par exemple, une meilleure adéquation entre les élèves inscrits transportés et la taille des cars mis à disposition. Souvent encore, ils circulent à moitié vide.</span><span style="font-size: 18px;"> Ce qui constitue un gâchis.</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Autre exemple frappant : l'harmonisation des horaires de sortie des classes dans les écoles, ce qui diminuerait à la fois le nombre de cars et de circuits.</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Il est hallucinant de constater l'absence d'efficacité dans la coordination entre les services compétents et l'Éducation nationale sur ce point.</span> <span style="font-size: 18px;">S'il fallait chiffrer le surcoût inhérent à cette non coopération, certains ne manqueraient pas d'être consternés.</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Un vrai chantier en perspective.</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;"><strong> P-J. G.</strong></span></p>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>
<p><iframe width="700" height="480" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/xtnnzz"></iframe></p>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2012/09/17/La-gratuit%C3%A9-des-transports-scolaires-remise-en-cause-dans-l-Yonne#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/3315Session budgétaire au conseil général : 1,5 millions d'euros prévus pour la recapitalisation de Domanysurn:md5:4b3e5c5c3dac32f310ab82dac7e627c12011-12-15T18:12:00+01:002011-12-15T19:12:38+01:00Pierre-Jules GAYEECONOMIEbudgetconseil-généraldomanysrecapitalisationvilliersyonne<h3>Découvrez le discours du Président du Conseil Général, André Villiers lors de la session budgétaire du 15 décembre. Son premier budget. Le vote interviendra vendredi</h3> <p>Mes chers collègues,</p>
<div id="corps">
<p>Je suis heureux de vous retrouver aujourd’hui pour l’examen de notre Budget Primitif 2012.</p>
<p>Il y a quelques semaines, nous nous retrouvions dans ce même hémicycle pour, ensemble, réfléchir aux orientations budgétaires que nous souhaitions donner à notre Département pour l’année 2012. Un débat que nous avons inscrit plus tôt sur notre calendrier afin, et au travers les différentes commissions, de permettre aux uns et aux autres de s’exprimer librement et de nous faire des propositions.</p>
<p>Nos échanges, courtois et constructifs nous ont ouvert certaines routes. Il nous appartient aujourd’hui de nous y engager et de préparer l’avenir de notre territoire.</p>
<p>Bienvenue donc à toutes et à tous.</p>
<h3>Du contexte économique</h3>
<p>Mes chers collègues, et nous en avons largement débattu, ce budget s’inscrit dans un climat de crise financière économique et sociale de grande envergure et sans précédent.</p>
<p>A plusieurs reprises nous avons évité le pire et si les récents accords Européens peuvent laisser penser à une accalmie ; nous n’en demeurons pas moins dans un contexte difficile avec lequel nous allons devoir composer.</p>
<ul>
<li><span>Dois-je rappeler la menace planant au-dessus de la notation attribuée par les fameuses agences du même nom ?</span></li>
<li><span>Une croissance du PIB estimée sur l’ensemble de l’année 2011 à 1% et dont on dit qu’elle pourrait encore baisser ?</span></li>
<li><span>Une inflation qui était estimée à 1,8% et revue aujourd’hui à 2,5%?</span></li>
<li><span>Au déficit public s’élevant à 7,1% du PIB ?</span></li>
<li><span>Au taux de chômage à 9,8% ? </span></li>
</ul>
<p>La réalité s’impose d’elle-même, il nous faut donner la priorité aux actions qui dynamiseront notre économie, nos emplois et l’accompagnement des personnes en difficultés. Il est question, vous l’aurez compris, d’une véritable cohésion sociale et territoriale à maintenir sur notre Département.</p>
<p>La fin d’exercice de l’année 2011 confirme les tendances des années précédentes et traduit une différence entre une progression de 4% de nos dépenses de fonctionnement dont le social, une évolution plus lente de nos recettes et un encours à la dette de 246 M€ intégrant les Partenariats Public Privé.</p>
<p>Nous n’avons plus de marge de manœuvre, il faut en avoir conscience.</p>
<h3>De l’importance d’un travail collégial avec les commissions</h3>
<p>Comme j’ai pu le dire précédemment, le choix de ce calendrier budgétaire n’est pas anodin. Il a, comme je le souhaitais et comme j’ai pu l’exprimer lors des Orientations Budgétaires, permis à toutes et à tous, par des travaux en commissions, de mener à bien certaines réflexions et de nous faire des propositions.</p>
<p>Vous l’aurez constaté chers collègues, et nous aurons l’occasion d’y revenir tout à l’heure lors de notre examen du budget primitif, certaines de ces propositions ont été retenues :</p>
<ul>
<li><span>Ainsi, les nouveaux règlements qui vous sont soumis en matière économique sont issus des travaux de la deuxième Commission.</span></li>
<li><span>Les travaux de la première Commission auront contribué à faire évoluer les questions liées au SDIS et aux aides aux communes.</span></li>
<li><span>L’engagement politique des Espaces Naturels Sensibles doit également beaucoup à la sixième Commission.</span></li>
<li><span>Enfin, les élus de la 4è Commission ont été très présents dans les trois schémas et ce, qu’il s’agisse du schéma gérontologique, du bilan du schéma enfance, ou encore dans l’élaboration du schéma handicap. Cette implication a été particulièrement précieuse ensuite dans le croisement des politiques départementales avec celles mises en place à l’échelon régional par le nouvel acteur ARS, dans le cadre d’un programme régional de Santé. </span></li>
</ul>
<p>Avec ce budget primitif 2012, il est donc question d’un travail mené collectivement et je tiens à vous remercier toutes et tous pour votre implication. *</p>
<h3>De l’équilibre du Budget</h3>
<p>Comme nombre de départements français ; nous sommes amenés à conduire une gestion rigoureuse et économe veillant à la maîtrise de nos charges courantes.</p>
<p>Cependant, l’exercice budgétaire chers collègues, ne se résume pas à un simple exercice comptable. Une gestion rigoureuse ne doit pas pénaliser l’avenir du Département pour lequel nous devons continuer à investir. C’est là l’enjeu des choix que nous avons à faire aujourd’hui et demain.</p>
<p>Inscrire près de 400 M€ au titre de nos dépenses de fonctionnement et d’investissement, c’est tout d’abord permettre de remplir les missions liées à notre politique d’actions sociales qui représente un peu plus de 195 M€ (près de 5 % supplémentaires de BP à BP) soit 59% du budget de fonctionnement. Mais c’est encore affirmer pleinement une politique volontariste où nous jouons notre rôle d’amortisseur social, assurant le maintien d’une activité économique importante sur le territoire. C’est là où, je le répète, nous jouerons pleinement notre rôle !</p>
<p>Autant de raisons pour lesquelles je vous propose, et ce comme ont été conduits à le faire nombre de départements français, une revalorisation de 3,9 % sur le foncier bâti (unique taxe sur laquelle nous pouvons encore agir suite à la réforme de la fiscalité et dont je vous rappelle qu’1 point équivaut à 638 000 €) ; encore d’avoir un recours à l’emprunt, certes plus élevé que prévu lors des orientations budgétaires (32 M€), mais inférieur de 10% par rapport au montant inscrit l’an dernier. C’est un premier pas et il sera souhaitable dans les années à venir de poursuivre cette baisse des emprunts pour arriver à un chiffre situé entre 20 et 25 M€. <br />
Le recours à un niveau d’emprunt supportable nous apparaît aujourd’hui primordial afin de maintenir un effort important des investissements et ainsi ne pas pénaliser notre économie locale.</p>
<p>Notre budget s’équilibre donc par :</p>
<ul>
<li><span>des recettes, représentant un peu plus de 365 M€ ( dont 205 M€ de recettes fiscales, 119 M€ de dotations de l’Etat, 14 M€ de recettes d’investissement), soit une croissance de 1,10%. </span></li>
<li><span>un recours à l’emprunt maîtrisé. </span></li>
<li><span>une revalorisation de la fiscalité raisonnable et nous permettant ainsi de dégager 21 M€ d’épargne, somme suffisante pour permettre, à la fois, un autofinancement correct, mais encore de remplir nos obligations sur les amortissements et en particulier à ceux liés aux subventions.</span></li>
</ul>
<h3>De l’affirmation de nos compétences</h3>
<p>Comme j’ai pu l’annoncer précédemment, ce budget se veut être l’outil qui confortera le Conseil Général dans ses compétences sociales, éducatives et d’aménagement du territoire.</p>
<p>Un outil social d’abord et permettez-moi à nouveau ce chiffre : <br />
plus de 195 M€ seront consacrés à notre politique d’action sociale en 2012, au service de la famille et de l’enfance, des personnes âgées, des personnes handicapées, encore de l’insertion, et ce, conformément à ce que nous assigne la réglementation. </p>
<p>Un outil éducatif ensuite, une compétence majeure du Département. Hors transports scolaires, près de 23 M€ lui sont consacrés.<br />
Aussi, permettez-moi un mot à propos de l’Enseignement secondaire et de notre programme « Construction et entretien des collèges ». Plusieurs opérations sont déjà ou seront engagées en 2012. Je pense ici et à la réhabilitation du collège de Montpezat à Sens pour laquelle une autorisation de programme de 6,4 M€ est demandée, encore au collège la Croix de l’Orme à Aillant-sur-Tholon.</p>
<p>Plus que jamais, en cette période trouble, il nous faut donner à notre jeunesse les moyens de se réaliser, de se construire au sein d’une société certes, bouleversée, mais au cœur de laquelle, une place leur est réservée. Soyons-nous aussi, Conseil Général, le garant de leur future bonne insertion, de leur future implication dans notre Département.</p>
<p>Un outil d’aménagement du territoire encore, de gestion de notre patrimoine, éléments indispensables tant à la maîtrise du développement du territoire, qu’au maintien de l’activité performante et à la création d’emploi. <br />
<br />
Il nous faut aujourd’hui investir dans nos voies de communications et ne pas voir ce dégrader notre patrimoine de 4850 km de routes. Mais ces voies de communications sont également numériques. Notre schéma départemental d’aménagement numérique fera l’objet d’une révision et tiendra compte des avis de nos partenaires.</p>
<h3>De cette nécessité d’assurer une vie sociale dense </h3>
<p>Dans ce budget, nous avons voulu également réserver une place importante aux actions culturelles et sportives, actions qui dans nos territoires ruraux, assure une vie sociale dense. Nous vous proposons donc d’accorder une augmentation budgétaire à notre politique culturelle comme à notre politique sportive. Concrètement pour le sport, c’est une augmentation budgétaire de 11,8 % qui vous est proposée et portant ainsi à plus de 3 M€ nos inscriptions de crédits. Pour la culture, l’augmentation est certes moindre, +3,5%, mais elle permettra, tout en poursuivant nos actions culturelles, la réalisation nécessaire de travaux sur certains de nos sites. Cette augmentation porte à près de 7,8 M€, nos inscriptions de crédits.</p>
<h3>De la réaffirmation du rôle des partenaires</h3>
<p>Notre politique culturelle, vous le savez, n’est pas uniquement portée en direct par le Conseil Général. Sa réussite repose également sur des partenaires comme l’EPCC (Etablissement Public de Coopération Culturelle). <br />
Et puisqu’il est question de partenariat, permettez-moi ces précisions.</p>
<p>Le Conseil Général doit pouvoir compter sur ses partenaires, et ce, qu’ils concernent la culture, le tourisme, le logement, l’économie ou encore la sécurité. Je veux parler, vous l’avez bien compris, de l’EPCC et du Centre de Gestion, de l’ADTY, de DOMANYS, du SDIS, de Yonne Equipement, de Yonne Développement ou de Yonne en Scène.<br />
<br />
C’est un rapport de confiance réciproque qui doit être nourri. <br />
Dans cette optique, plusieurs interventions se sont avérées salvatrices ; désormais il nous faut construire un rapport de droits et de devoirs et réaffirmer ainsi notre collaboration.</p>
<p>Le budget qui vous est proposé, prévoit plus de 3 M€ pour les établissements à vocation culturelle ; une recapitalisation de DOMANYS à hauteur d’1,5 M€ ; enfin une contribution supplémentaire de 510 000 euros pour le SDIS, dont 210 000 € venant en réduction de la contribution des communes dont le coût moyen par habitant est supérieur à 60 €. C’est un principe d’équité et le Conseil Général ne peut être étranger à une telle mesure.</p>
<h3>Du respect de nos engagements dans le développement du territoire</h3>
<p>Enfin pour terminer, je tiens à vous rappeler que ce budget respecte nos engagements pris le 23 juin lors de la journée des maires.</p>
<ul>
<li><span>Certes, nous avons fait le choix de suspendre l’aide aux communes ; mais ce n’était pas sans prendre l’engagement d’individualiser la totalité des demandes du stock. Ce budget réserve 12,8 M€ pour ces individualisations auxquelles s’ajoutent 8,7 M€ d’AP nouvelles, soit un total de 21,5 M€. Seul le paiement de ces aides sera étalé pour préserver les équilibres des finances du Département.</span></li>
<li><span>Nous avons encore pris l’engagement du maintien des contrats de cantons. 3 M€ sont inscrits en AP.</span></li>
<li><span>Lors des orientations budgétaires nous avons pris l’engagement de soutenir l’économie à un niveau important, aussi avons-nous inscrit 7 M€ qui permettront l’aide aux artisans, le soutien aux zones d’activités, encore aux pépinières d’entreprises. </span></li>
<li><span>Je terminerai par l’inscription de 500 000 euros en AP, pour la création d’une structure d’aménagement. Elle facilitera l’accueil et le développement de nos entreprises. L’année 2012 sera consacrée à la création de cet outil.</span></li>
</ul>
<h3>Conclusion</h3>
<p>Vous avez compris que ce moment est un moment particulier pour plusieurs raisons.</p>
<p>C’est le 20<sup>e</sup> budget qu’il m’est proposé de voter, et je rappelle que c’est là, l’acte principal rythmant notre vie départementale.<br />
J’appartiens à cette majorité depuis que je siège à l’Assemblée Départementale et c’est la première fois que je suis amené à prendre cette responsabilité. J’en mesure toute l’importance, le contexte est éminemment difficile, il conditionne vous le savez bien, l’exercice que nous allons conduire dans le respect de la pluralité des opinions et des différences bien légitimes.</p>
<p>Comme j’ai pu le dire en ouverture, ce budget est le fruit d’un travail commun ces dernières semaines. Je tiens à remercier chacun d’entre vous d’y avoir participé et tout particulièrement les présidents de chacune des six commissions qui ont œuvré pour la cohérence de ces propositions. Des remerciements appuyés que j’adresse également à notre DGS et à l’ensemble de l’administration, pour leur aide précieuse dans l’élaboration de ce budget.</p>
<p>Je vous remercie de votre attention.</p>
<p><strong><em>André Villiers, Sénateur de l’Yonne, Président du Conseil Général</em></strong></p>
</div>
<div id="complement"> </div>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2011/12/15/Session-budg%C3%A9taire-au-conseil-g%C3%A9n%C3%A9ral-%3A-1%2C5-millions-d-euros-pr%C3%A9vus-pour-la-recapitalisation-de-Domanys#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/2162Le TGV Yonne-Méditerranée remplacé par 5 allers-retours par jour entre Paris-l'Yonne et Lyonurn:md5:08b9419a6a3902f9646830b2cb4c56592011-10-28T09:29:00+02:002011-10-28T10:35:24+02:00Pierre-Jules GAYESOCIETEconseil-généraldésenclavementfontainebleauforumgarelyonmarseillemelunmigennesparispétitionrégiontgvvideoyonne<h3>Plus aucun train ne roulera à partir du 11 décembre. Gros plan sur l'échec d'une desserte de l'Yonne par le TGV qui a coûté cher aux collectivités depuis 1999. Pourtant une étude économique souligne une desserte "<em>qualitativement et quantitativement peu performante dès lors que l’on souhaite atteindre les grandes villes situées à l’extérieur du département de l'Yonne</em>". La Région va proposer, à partir du 11 décembre, une nouvelle offre TER à
raison de cinq allers-retours par jour entre Paris, l’Yonne et Lyon,
donnant accès à la desserte cadencée TGV Lyon – Marseille. </h3> <p><img width="540" height="358" src="http://www.auxerretv.com/content/public/TGV 2.jpg" alt="" /></p>
<p><strong>Le nombre de voyageurs n'ayant pas augmenté en 11 ans, fin janvier 2011, Jean-Marie Rolland, alors Président du Conseil Général, signe l’arrêt du TGV Yonne Méditerranée au 11 décembre 2011. (DR)</strong></p>
<p>Le TGV Melun Yonne Méditerranée voit le jour en 1999. La ligne compte un train par jour (aller et retour) du lundi au vendredi et dessert Sens, Laroche-Migennes, Le Creusot Montceau, Lyon Part-Dieu, Avignon, Aix-en-Provence et Marseille. Elle permet à un voyageur partant de Migennes de relier Lyon en 1h38 et Marseille en 3h30.</p>
<p>Mal connu, victime d’un défaut de visibilité dans la communication de la SNCF, le service ne parvient cependant pas à trouver son public. <em>"Le seuil d’équilibre, à savoir le nombre de voyageurs suffisants pour que la SNCF ne facture plus aux collectivités le manque à gagner de cette relation, n’a jamais été attei</em>nt", explique Guy Bourras, conseiller Général de Saint-Julien-du-Sault, vice-Président en charge du dossier. Car selon les termes de la convention liant le Conseil Général et le Conseil Régional à la SNCF, les deux collectivités doivent financer le déficit d’exploitation. Une somme en constante augmentation du fait d’un taux d’occupation à la baisse et des répercussions du coût du péage à la hausse imposé par Réseau ferré de France, qui atteint 2,16 millions d’euros en 2007.</p>
<p><span style="color: rgb(0, 0, 128);"><span style="font-size: 21px;"><strong>Guy Bourras arpente les rames</strong></span></span></p>
<p>Une vaste action de communication engagée par le Conseil Général en 2008(1) permet de redresser quelque peu la fréquentation, mais de façon insuffisante pour inverser la tendance. Guy Bourras, par ailleurs usager régulier de ce TGV, note alors les faiblesses du dispositif :<em> "En arpentant les rames, je me suis aperçu que la clientèle économique visée (hommes d’affaires l’empruntant pour des rendez-vous à Lyon) y était peu nombreuse. Les habitants de Melun ont plus vite fait de monter à Paris où les attend une large gamme de TGV. Ceci eut été encore plus vrai pour les Parisiens si le TGV était parti de Paris…"</em><span style="color: rgb(0, 0, 128);"><span style="font-size: 21px;"><strong><br />
</strong></span></span></p>
<p><span style="color: rgb(0, 0, 128);"><span style="font-size: 21px;"><strong>Changement de formule</strong></span></span></p>
<p>En 2009, le TGV Yonne Méditerranée change donc de formule sous la menace d’un retrait de la Région : il effectue un aller-retour le weekend avec départ le samedi matin et retour le dimanche soir, de nature à satisfaire à la fois la clientèle du 3e âge partant en séjour dans le sud et les actifs pouvant dorénavant s’y rendre pour le week-end. Un autre départ est prévu le lundi matin avec retour le vendredi soir à destination des étudiants ou des personnes travaillant hors du département la semaine.</p>
<p>Le TGV est quotidien pendant la période estivale.</p>
<p>Autre nouveauté : la création d’un arrêt à Fontainebleau, destiné à attirer une clientèle senior aisée. Le nombre de circulations diminuant, la part restant à charge des collectivités est réduite à 1,1 million d’euros. Mais le nombre de voyageurs n’augmente toujours pas. La circulation n’est pas de nature, de par ses horaires, à attirer une clientèle touristique du sud vers l’Yonne.</p>
<p>Le Conseil Régional décide alors de se retirer du dispositif fin 2011 pour se concentrer sur le développement des TER (trains express régionaux). Fin janvier 2011, Jean-Marie Rolland, alors Président du Conseil Général, signe l’arrêt du TGV Yonne Méditerranée au 11 décembre 2011.</p>
<p><span style="color: rgb(0, 0, 128);"><span style="font-size: 21px;"><strong>En attendant une nouvelle gare TGV à St Florentin</strong></span></span></p>
<p>Afin de pallier cette suppression de service, la Région va proposer, à partir du 11 décembre, une nouvelle offre TER à raison de cinq allers-retours par jour entre Paris, l’Yonne et Lyon, donnant accès à la desserte cadencée TGV Lyon – Marseille. La nouvelle équipe départementale, avec à sa tête André Villiers, envisage de son côté un nouveau projet, mais à horizon lointain : la création d’une gare TGV à Saint-Florentin Vergigny pour une clientèle tant auboise qu’icaunaise après la réalisation de la future voie rapide Troyes – Saint-Florentin.</p>
<p>Un projet qui ne pourra voir le jour, et c’est la deuxième condition, que lorsque la ligne TGV Paris Orléans Clermont-Ferrand Lyon sera construite, libérant ainsi des sillons sur la ligne saturée de Saint-Florentin.</p>
<p><img width="532" height="141" src="http://www.auxerretv.com/content/public/Capture d’écran 2011-10-28 à 09_32_34.png" alt="" /></p>
<p>(SOURCE : Conseil général de l'Yonne)</p>
<p><iframe width="650" height="450" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/xasg00"></iframe><br />
<i><a target="_blank" href="http://www.dailymotion.com/Ter_Icaunais"><br />
</a></i></p>
<p><i><img src="http://www.auxerretv.com/content/public/Capture d’écran 2011-10-28 à 10_15_59.png" style="width: 702px; height: 293px;" alt="" /></i></p>
<p><a href="http://petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=P2011N11576"><span style="color: rgb(0, 0, 255);"><strong><span style="font-size: 18px;"> 200 personnes ont signé la pétition publique ICI</span></strong></span></a></p>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2011/10/28/La-fin-du-TGV-Yonne-M%C3%A9diterran%C3%A9e#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/1994Des professeurs de musique du département n'ont pas été payésurn:md5:c452996fc04a5a00dcd7f6873b9c64192011-09-12T13:47:00+02:002011-09-12T18:47:44+02:00Pierre-Jules GAYECULTUREbloquésconseil-généraljudiciairemusiqueredressementsalairesyonne<h3><strong><strong>Le centre de gestion des enseignants musiciens de l'Yonne est en redressement judiciaire. Le déficit est de 650 000 euros</strong></strong></h3> <p>La moitié environ des 174 enseignants de l'Yonne ne verront leur salaire du mois d'août versé qu'en octobre. Ils l'ont appris dans une lettre envoyée en fin de semaine dernière.</p>
<p>La faute aux problèmes de trésorerie que connait le Centre de Gestion des enseignants musiciens et danseurs, soutenu notamment par des subventions du Conseil Général de l'Yonne.</p>
<p>5 000 icaunais suivent des cours de musique organisés par cette association qui a été placée en redressement judiciaire le 25 août.<br />
Les salaires sont donc bloqués.</p>
<p><a href="http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2011/09/08/La-musique-est-belle-mais-la-note-est-sal%C3%A9e"><span style="color: rgb(0, 0, 255);"><span style="font-size: 18px;"><strong>En savoir plus : VIDEO// La musique est belle mais la note est salée</strong></span></span></a></p>
<p><strong>Patrick Gendraud</strong>, premier vice-président du <strong>conseil général de l'Yonne</strong>,, maire de Chablis et <strong>président de ce centre de gestion</strong> dirigé par <strong>Patrick Bacot</strong> explique les raisons de ces difficultés pour AUXERRE TV.</p>
<p>- Une facturation insuffisante aux communes et associations par rapport au coût réel des prestations;</p>
<p>- La disparition depuis 3 ans de la subvention de la région. et un désengagement de l'Etat.</p>
<p>- Une "mutualisation" insuffisante de la gestion.</p>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2011/09/12/Des-professeurs-de-musique-du-d%C3%A9partement-n-ont-pas-%C3%A9t%C3%A9-pay%C3%A9s#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/1827La musique est belle mais la note est saléeurn:md5:f8d4eee7c83108f7ddeefcab472e6d2e2011-09-08T15:11:00+02:002011-09-08T16:00:05+02:00Pierre-Jules GAYECULTUREconseil-généraldéficitgendraudgestionjudiciairemusiciensmusiqueredressementvideoyonneécoles<h3><strong>Le centre de gestion des enseignants musiciens de l'Yonne est en redressement judiciaire. le déficit est de 650 000 euros. </strong>Patrick Gendraud, premier vice-président du conseil général de l'Yonne explique les difficultés</h3> <p><strong><big>Un administrateur judiciaire a été nommé à la tête du centre de gestion des enseignants musiciens et danseurs de l'Yonne, à la suite d'un découvert de 650.000 euros. Le centre emploie 171 professeurs des écoles de musique de l'Yonne, en redressement judiciaire. Les heures de cours ne seraient pas facturées au prix coûtant. Les familles et le contribuable vont-ils régler la note ? ... Forcément<br />
</big></strong></p>
<p><strong><big>VIDEO/ </big></strong><span style="background-color: Yellow;"><strong><big>Interview de Patrick Gendraud, vice-président du conseil général en charge de la culture</big></strong> <br />
</span></p>
<p><iframe width="650" height="450" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/xkxzcu"></iframe></p>
<p>Le centre de gestion qui emploie 171 professeurs des écoles de musique de l'Yonne, est en <strong>redressement judiciaire</strong>. Les heures de cours ne sont pas facturées au prix coûtant. Les contribuables vont régler la note. ? .. Forcément.</p>
<p><strong>Patrick Gendraud</strong>, premier vice-président du <strong>conseil général de l'Yonne</strong>,, maire de Chablis et <strong>président de ce centre de gestion</strong> dirigé par <strong>Patrick Bacot</strong> explique les raisons de ces difficultés pour AUXERRE TV.</p>
<p>- Une facturation insuffisante aux communes et associations par rapport au coût réel des prestations;</p>
<p>- La disparition depuis 3 ans de la subvention de la région. et un désengagement de l'Etat.</p>
<p>- Une "mutualisation" insuffisante de la gestion.</p>
<p>Au total, il ne semble pas question de remettre en cause cet enseignement artistique, <strong>ni d'augmenter la participation des familles</strong>, mais de mieux répartir les efforts des différentes collectivités concernées.</p>
<p><br />
<strong><i><a target="_blank" href="http://www.dailymotion.com/AUXERRETV"><br />
</a></i></strong></p>
<p><span style="font-size: 18px;"><strong><i>Le Centre de gestion</i></strong></span></p>
<p><i><br />
Le Centre de gestion des enseignants musiciens et danseurs de l’Yonne a pour objet de procéder au recrutement des enseignants exerçant leur activité dans le cadre du schéma départemental d’enseignement musical et chorégraphique adopté en 2009.<br />
Contact :<br />
Centre de gestion des enseignants musiciens et danseurs<br />
Cité des Musiques<br />
7 rue de l’île aux plaisirs<br />
B.P. 292<br />
89005 AUXERRE CEDEX<br />
Tél. : 03 86 40 95 35 – Fax : 03 86 40 95 36<br />
courriel : cdg@citedesmusiques.org</i></p>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2011/09/08/La-musique-est-belle-mais-la-note-est-sal%C3%A9e#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/1816PODCAST # 25 ON SE DIT TOUTurn:md5:23d49161c4b4e2c643e6f0761f11b7c42011-04-03T11:49:00+02:002011-04-03T12:07:10+02:00Pierre-Jules GAYEPODCASTSauxerreclassesconseil-généralfouriergayehold-uphussonnoishélicoptèresjoignymathématiquesnuitpodcastrollandsallesstatuetuphévilliersvolécoleséconomies<h2 style="font-weight: normal;">Entrez dans la conversation avec Jean-Louis HUSSONNOIS, Patrick TUPHE et Pierre-Jules GAYE</h2> <p>- Le vol de nuit des hélicoptères du Samu interdit</p>
<p>- Hold up polar à Joigny<br />
<br />
- Fermetures de salles dans les écoles à Auxerre par mesure d'économies d'énergie...<br />
<br />
- Fourier, c'est fou.... Qui est cet homme considéré comme le plus illustre des Auxerrois ?<br />
<br />
- Villiers abat Rolland et prend le conseil général : quels enseignements politiques ? Quelles conséquences ?<br />
<br />
- Coups de gueule, coups de coeur</p>
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<p><img src="http://www.auxerretv.com/content/public/110117_onseditout_754(10).jpg" style="width: 626px; height: 120px;" alt="" /></p>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2011/04/03/PODCAST-25-ON-SE-DIT-TOUT#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/1324