AUXERRE TV - Mot-clé - nominations - CommentairesLa première Web Télé de l'Yonne2024-03-28T14:20:12+01:00urn:md5:e378ce404c0b8f51a27bd9bc32605d36DotclearLe préfet de l'Yonne Jean-Christophe Moraud s'en va, Patrice Latron arrive - Pimoulleurn:md5:84575852c97b062e6e2114128c2b0e292017-08-28T04:32:05+02:002017-08-28T07:15:57+02:00Pimoulle<p>A M. Gaye: c'est le departement, et au dela, la collectivite qu'il represente, qui a la personnalite morale, et qui peut posseder un bien; non le conseil; le conseil n'est que l'organe de la collectivite. C'est detail qui fait la superiorite de la civilisation francaise sur la loi du Far-West, dans laquelle les cow boys incapables de maitriser les abstractions, en sont reduits a pratiquer la "culture du contrat".</p>Le préfet de l'Yonne Jean-Christophe Moraud s'en va, Patrice Latron arrive - P-J. Gayeurn:md5:384c732ac61a940f93e0e0ba0187923f2017-08-21T13:58:00+02:002017-08-21T12:58:00+02:00P-J. Gaye<p>L'ancien évêché d'Auxerre appartient au conseil départemental de l'Yonne, qui loue une partie des locaux à l'État dont le "plus beau bureau" de préfet en France, qui surplombe l'Yonne.<br />
Donc oui le département est chez lui été occupe l'aile gauche en bureaux dont celui du président du conseil départemental.</p>Le préfet de l'Yonne Jean-Christophe Moraud s'en va, Patrice Latron arrive - Morvan89urn:md5:12541c94344255d31b00af396b4078522017-08-21T12:46:47+02:002017-08-21T11:46:47+02:00Morvan89<p>Le Président du Conseil Départemental a t'il toujours son bureau à la Préfecture ?<br />
Si oui, est ce normal ?</p>Le préfet de l'Yonne Jean-Christophe Moraud s'en va, Patrice Latron arrive - cherizar2gvurn:md5:d6c204ef82eabf3ac42484824837a1852017-08-16T15:59:31+02:002017-08-16T18:50:30+02:00cherizar2gv<p>Un préfet s'en va, un préfet s'en vient. Ca ne devrait pas être pire ...<br />
En espérant que notre nouveau préfet aura à coeur de s'occuper des petits villages qui ont des projets innovants, volontaires, choisis et votés par les élus mais bloqués par son prédécesseur.<br />
Arrêtons de laisser mourir les villages, arrêtons les guéguerres stériles d'égos où certains politocards sont plus écoutés par nos préfets que de simples citoyens de bonne volonté et de réels potentiels !<br />
OUI à la dynamique économique<br />
OUI à la revitalisation des communes<br />
OUI à l'inter-régionalité des projets qui favorisent le réveil de notre potentiel.<br />
OUI nous pouvons le faire.<br />
Et vous Monsieur le nouveau Préfet, dans quelle énergie êtes-vous ?</p>Le préfet de l'Yonne Jean-Christophe Moraud s'en va, Patrice Latron arrive - Pimoulleurn:md5:ee07fb7ecf9d3680cbfd6f72754abab92017-08-01T03:56:30+02:002017-08-01T09:44:18+02:00Pimoulle<p>C'est le coeur meme de la democratie francaise. Le president du conseil departemental est le "contre-pouvoir" naturel du prefet, car il represente les collectivites decentralisees face au centralisme parisien. Si le prefet manque de tact, de sens politique, ou de discernement, comme on voudra, il retourne a l'administration centrale.</p>Le préfet de l'Yonne Jean-Christophe Moraud s'en va, Patrice Latron arrive - OFPRAurn:md5:a20743d9fa64c138ba4ca8b6717bb0db2017-07-29T21:20:09+02:002017-07-29T21:18:40+02:00OFPRA<p>Compte tenu de son extrême ténacité à traiter certains immigrés, Mayotte ou la Guyane auraient pu être un des postes ou là le Préfet MORAUD aurait bien mis à profit ses qualités en la matière.</p>Larrivé bombardé secrétaire départemental Les Républicains dans l'Yonne par Nicolas Sarkozy - AFPurn:md5:359d54a5d53fdf6b855c991088ff07032016-02-10T10:23:21+01:002016-02-10T10:23:21+01:00AFP<p>Autre dépêche AFP reprenant la déclaration liminaire de Guillaume Larrivé</p>
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PARLEMENT-ASSEMBLÉE-GOUVERNEMENT-CONSTITUTION-ATTENTATS-PARTIS<br />
Révision constitutionnelle: interventions à l'Assemblée nationale<br />
05/02/2016 18:29:07 GMT+01:00<br />
#568943 DVBP 2278 KPW82 (4) AFP (494)<br />
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PARIS, 5 fév 2016 (AFP) - De Marion Maréchal-Le Pen qui annonce qu'elle ne votera pas la réforme constitutionnelle à Malek Boutih qui souhaite de "nouveaux symboles républicains" pour rassembler, voici quelques autres interventions vendredi en discussion générale à l'Assemblée sur le projet de réforme constitutionnelle.</p>
<p>- Marion Maréchal-Le Pen (FN): "Le président de la République et son chef de gouvernement ont décidé de gribouiller à la va-vite notre texte fondamental. Cette réforme constitutionnelle n'est qu'une perte de temps. Nous ne parlons plus de la suspension nécessaire de Schengen, de la fermeture des mosquées salafistes ou de la lutte contre le trafic d'armes (...)</p>
<p>Le Code civil permet déjà de déchoir de leur nationalité des binationaux, une simple réforme législative aurait suffi. (Le projet de loi d'application) écarte la déchéance sur décision du gouvernement: quel manque de courage! (...) Nous ne voterons pas cette réforme constitutionnelle".</p>
<p>- Nathalie Kosciusko-Morizet (LR): "Cette révision est inutile, cette révision est dangereuse. Nous sommes de plus en plus nombreux à la combattre (...) Inutile car elle ne sert à rien, ça s'appelle un symbole (...) Dangereuse car elle nous divise (alors que) la lutte contre le terrorisme requiert toute notre force.</p>
<p>Cette révision est un naufrage. Vous avez cherché le soutien des nôtres. Arrêtez les frais. L'habileté politique ne gagne pas à tous les coups".</p>
<p>- Bernard Roman (PS): "La Constitution a la vocation de rassembler et non d'exclure. Quand on lui donne une mission qui n'est pas la sienne, on prend le risque de rompre avec la tradition de la République depuis son origine (...) Enlever la nationalité à quelqu'un qui l'a eue parce qu'il est né sur le territoire français, c'est pour moi une vraie rupture du droit du sol. Je ne voterai pas la déchéance de nationalité".</p>
<p>- Malek Boutih (PS): "Il faut sortir de la République ceux qui veulent l'assassiner. Mais de l'autre côté, il faut maintenant faire rentrer de plain-pied tous ceux qui veulent la défendre et tous ceux qui veulent bien y vivre. (...) Nous avons besoin des François, des Amir, des Salif ou des Olivia, qui se sentent partie d'un bloc fort qui vaincra nos ennemis. (...) Pourquoi pas, dans un geste de rassemblement, trouver de nouveaux symboles républicains pour que nous soyons tous fiers de nos travaux et qu'enfin il n'y ait pas simplement le sang impur qui rassemble nos sillons, mais aussi nos couleurs qui défendent et qui rassemblent la nation?"</p>
<p>- Guillaume Larrivé (LR): Sur la déchéance, "le président François Hollande le 16 novembre s'était rallié à la position de principe qui avait été très fortement exprimée par le président Nicolas Sarkozy dans son discours de Grenoble en 2010" mais "ces dernières semaines les hésitations et tergiversations de la majorité ont suscité dans le débat public une certaine confusion (...) Disons-le vraiment, sans faux semblant, en l'écrivant directement dans la Constitution: (la déchéance de nationalité) pour tous les terroristes, en veillant autant que possible, à ne pas créer d'apatrides, qui ne peuvent être expulsés nulle part".</p>
<p>reb/ic/bir</p>Larrivé bombardé secrétaire départemental Les Républicains dans l'Yonne par Nicolas Sarkozy - AFPurn:md5:8312893e68fca7bc1a300eaebff216822016-02-10T10:20:57+01:002016-02-10T10:20:57+01:00AFP<p>Dépêche de l'AFP (Agence France Presse) rendant compte de la position de Guillaume Larrivé dans l'Hémicycle dans la nuit de lundi à mardi</p>
<p>GOUVERNEMENT-PARLEMENT-ASSEMBLÉE-CONSTITUTION-ATTENTATS<br />
Révision constitutionnelle: pas de dissolution de l'Assemblée pendant l'état d'urgence, votent les députés<br />
08/02/2016 20:48:03 GMT+01:00<br />
#576056 DVBP 2049 KUZ64 (4) AFP (446)</p>
<p>PARIS, 8 fév 2016 (AFP) - L'Assemblée nationale se réunit de plein droit et ne peut être dissoute pendant l'état d'urgence, ont voté lundi les députés dans la révision constitutionnelle, au grand dam du gouvernement et de la droite, qui souhaitaient une disposition maintenant "l'équilibre" entre pouvoirs exécutif et législatif.</p>
<p>Lors des débats sur l'article 1 du projet de loi, les députés ont adopté un amendement de Sébastien Denaja, l'un des vice-présidents du groupe socialiste, prévoyant la réunion de plein droit de l'Assemblée, afin qu'elle joue son rôle de contrôle de l'action du gouvernement, et l'interdiction de la dissolution, qui est une prérogative du président de la République.</p>
<p>La commission des Lois de l'Assemblée s'était prononcée la semaine dernière pour ces deux mêmes principes.</p>
<p>Mais le gouvernement est opposé à l'interdiction de la dissolution. "Rendre impossible toute dissolution, alors même que la possibilité de censure du gouvernement demeurerait possible et que simultanément le fonctionnement réguliers des pouvoirs publics ne serait pas interrompu, pose problème", a plaidé le gouvernement, dans l'exposé d'un autre amendement, déposé à la dernière minute lundi.</p>
<p>Cet amendement gouvernemental visait plutôt à ce que l'état d'urgence soit caduc "à l'issue d'un délai de quinze jours francs suivant la date de la démission du gouvernement ou de la dissolution de l'Assemblée nationale".</p>
<p>"Il faut maintenir l'équilibre entre les pouvoirs exécutif et législatif", a plaidé dans l'hémicycle le nouveau garde des Sceaux, Jean-Jacques Urvoas.</p>
<p>Le rapporteur Dominique Raimbourg (PS) l'a soutenu, de même que Guillaume Larrivé (LR) et Jean-Christophe Lagarde (UDI) au nom du même "équilibre".</p>
<p>A l'inverse, la vice-présidente de l'Assemblée Sandrine Mazetier (PS) a jugé qu'adopter la proposition gouvernementale serait "hasardeux". Son collègue Sébastien Denaja a ironisé: "si dans deux jours - cas d'école - il y a un remaniement" avec une démission de tout le gouvernement et du Premier ministre, est-ce que dans 15 jours la prolongation de l'état d'urgence serait caduque?</p>
<p>Son amendement a été finalement adopté. Alors que le président de l'Assemblée Claude Bartolone allait mettre au vote l'amendement gouvernemental, la secrétaire générale de l'Assemblée Corinne Luquiens -qui devrait prochainement devenir membre du Conseil constitutionnel sur sa proposition-, lui a soufflé qu'il était "tombé", c'est-à-dire qu'il ne pouvait plus être mis aux voix vu l'adoption du précédent.</p>
<p>Le gouvernement peut encore faire procéder à un nouveau vote d'ici la fin des débats sur le projet de révision constitutionnelle.</p>
<p>Après avoir rappelé qu'une majorité des 3/5e du Parlement était requise pour adopter la révision constitutionnelle, M. Larrivé a prévenu que "l'amendement socialiste pose une grave difficulté au groupe Républicains en son entier" car il modifie "l'équilibre inhérent à la Ve République".</p>
<p>Plusieurs écologistes, comme Barbara Pompili ou Denis Baupin, sur Twitter ont salué l'interdiction de dissolution.</p>
<p>reb/ic/cam</p>Larrivé bombardé secrétaire départemental Les Républicains dans l'Yonne par Nicolas Sarkozy - NosDeputes.frurn:md5:66fc4ea56b4412f34031b64605cca5fa2016-02-10T10:15:49+01:002016-02-10T10:15:49+01:00NosDeputes.fr<p>"Chrismi", au lieu de cracher votre bile , renseignez-vous un peu !</p>
<p>vous savez lire ?</p>
<p>Larrivé est un député hyperactif, sur ce sujet constitutionnel comme sur tous les autres</p>
<p><a href="https://www.nosdeputes.fr/14/guillaume-larrive/dossier/15107" title="https://www.nosdeputes.fr/14/guillaume-larrive/dossier/15107" rel="nofollow">https://www.nosdeputes.fr/14/guilla...</a></p>Larrivé bombardé secrétaire départemental Les Républicains dans l'Yonne par Nicolas Sarkozy - Chrismiurn:md5:b2648fb7aa8b40706e466987a8f059c82016-02-09T16:53:20+01:002016-02-10T08:30:06+01:00Chrismi<p>103 députés « pour », 26 « contre », 7 abstentions. Soit 441 députés absents lundi soir pour voter l'inscription de l'état d'urgence dans la Constitution.<br />
J'espère que Larrivé était présent !<br />
Le monde politique se fout vraiment de tout.</p>