AUXERRE TV - Mot-clé - palais du luxembourg refuge 5 étoilesLa première Web Télé de l'Yonne2024-03-28T15:40:04+01:00urn:md5:e378ce404c0b8f51a27bd9bc32605d36DotclearFin du Mercato : un manque à gagner de 2 millions d'euros à l'AJAurn:md5:2f8cd67761d5118481e64692b7e11b482016-08-31T20:05:00+02:002016-09-01T10:53:35+02:00Pierre-Jules GAYEAJAajaauxerrefc portogeorge ntepguy cotretpalais du luxembourg refuge 5 étoilessporting bragasébastien hallerwilly boli<h2>Le budget 2016-2017 de l'AJA prévoyait de combler le déficit de 2 millions d'euros avec les bonus espérés des transferts de Willy Boli, Sébastien Haller et George N'tep. Or mercredi à 20 heures, le président Cotret n'avait aucune nouvelle d'un quelconque transfert</h2> <p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 18px;">Mise À Jour // Jeudi 9 heures </span></strong><span style="font-size: 18px;">: Willi Boly a été transféré eu Sorting Braga à Porto. Ni le montant ni les conditions ne sont connus pour l'instant. </span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">Le président Guy Cotret nous confirmé le transfert et indiqué que le bonus pour l'AJA était d'un montant de <strong>500 000 euros</strong>. Il reste à savoir si cette somme sera fractionnée sur trois ans ou versée d'un seul montant. cela dépend du contrat entre Braga et Porto. <br />
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<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">Globalement la problématique reste la même. Un important manque à gagner pour l'AJA, qui comptait sur 2 millions d'euros de recettes supplémentaires en bonus pour équilibrer le budget présenté devant la DNCG.</span></p>
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: 18px;"><img width="319" height="453" alt="" src="http://www.auxerretv.com/content/public/boly(3).jpg" /><br />
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<p style="text-align: center;"><span style="font-size: 18px;"><strong>Willi Boly qui a éclaté au Sporting Braga était le mieux placé pour apporter un bonus financier à Auxerre. Même si Sébastien Haller d'Utrecht était la meilleure affaire. L'ex défenseur central de l'AJA devrait </strong></span><span style="font-size: 18px;"><strong><span itemprop="articleBody">rejoindre Porto pour 8 millions d’euros (5 + 3 de bonus), le Sporting Braga conservant une partie des droits sur le joueur. West Bromwich (ANG) était aussi sur le coup</span> (DR)</strong></span></p>
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<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 30px;"><strong>S</strong></span><span style="font-size: 18px;">i aucune opération de transfert des joueurs Haller, Boly et N'tep, à contrats bonus prévus, ne se fait d'ici minuit, ce mercredi, date limite de fermeture du mercato d'été ; le président Guy Cotret va pouvoir s'arracher un peu plus les cheveux car il misait sur les bonus pour équilibrer son budget devant le gendarme financier la DNCG (direction nationale de contrôle de gestion).</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Autrement dit, clairement, à moins de recettes futures inattendues, telles un beau parcours en Coupe de la Ligue ou en Coupe de France, ou la vente d'un ou deux joueurs au mercato d'hiver, la situation financière de l'AJA va devenir extrêmement tendue. </span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Au point que le prochain budget, celui de 2017-2018, devrait dans cette hypothèse, sacrifier le centre de formation pour une bonne partie. Et, dans la plus mauvaise hypothèse, le PLU (plan local d'urbanisme) ne permet pas de reconvertir les installations pour d'autres activités, pour en tirer profit. Les politiques locaux, coincés, ne l'admettraient pas d'ailleurs (quoique...), car il s'agit d'argent public (10 millions) qui serait exploité par un privé qu'il soit chinois ou morvandiau. </span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">À cet égard, le versement par le conseil départemental de l'Yonne de la subvention à l'AJA habituellement adressé à l'association AJA (section amateur), mais cette année à la SAOS, fait le buzz en interne et divise les élus dont certains sont outrés.<br />
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<p><span style="font-size: 18px;">Pourtant il est permis d'espérer. Willy Boly, l'ex-international espoir du Sporting Braga, est courtisé par Porto et le club anglais de West Bromich Albion, après une proposition du club Turc de Besiktas (5M d'euros) refusée par le club portugais. Les enchères ont monté ce mercredi après-midi.</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">En revanche nada pour Haller et Ntep. </span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Que toucherait l'AJA ? Exemple : Haller la meilleure valeur formée à l'AJA, transféré en Angleterre pour admettons 7 millions (vendu par l'AJA 600 000 euros). Auxerre toucherait environ 1, 2 million maximum, dans les conditions du contrat définies par le président Guy Cotret. Précisons qu'Utrecht a refusé une offre de 5 millions au mercato d'hiver.<br />
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<p><span style="font-size: 18px;">Autrement dit, même s'il y a transferts et bonus, ces derniers ne couvriront pas le déficit programmé.</span><span style="font-size: 18px;"><br />
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<p><span style="font-size: 30px;"><strong>L'espoir Chinois</strong></span><span style="font-size: 18px;"><br />
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<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">Le président Guy Cotret qui, objectivement, a géré la mutation, la transition d'Auxerre de Ligue 1 en Ligue 2, passant d'un budget de 21 millions d'euros à 12, cette année - à quel prix humain - il est vrai, peut se mordre les doigts. </span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">Il estime qu'il était en droit de penser qu'après avoir dégotté le repreneur chinois ORG Packaging, une aubaine, les affaires iraient mieux. </span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">6 millions injectés sur trois ans, combleraient le gestionnaire enfant de Reims, qui s'est pris de passion pour Auxerre, l'Yonne et ses paysages.<br />
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<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">Le président de l'AJA a même cru qu'il pourrait investir dans une ou deux recrues de choix, avant la fin du mois d'août, si l'actionnaire minoritaire n'avait pas bloqué l'opération de cession du club par des tergiversations qu'il prétend ou avoue ne pas comprendre. </span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">En effet quel que soit le cas de figure, l'association AJA et ses satellites ne pourraient perdre le patrimoine acquis petitement, à la force du poignet, au fil des ans d'un siècle. <br />
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<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">Il n'y a qu'un seul cas de figure où tout se volatilserait. Le cas d'Évian-Thonon-Gaillard. Une faillite, où l'association est mêlée et confondue juridiquement. Mais à Auxerre nous n'en sommes pas là.</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">Alors où en sont les négociations entre ORG et l'actionnaire minoritaire ? Par définition des négociations cela se fait entre deux parties et certainement pas en public. Donc AUXERRE TV n'en sait rien n'étant pas partie prenante.</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">Selon nos informations, les négociations sont en cours et se poursuivent. </span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">Les avocats d'ORG et de l'Association échangent les textes de statuts de la future société AJA, qui serait en défniitive une SAS (société anonyme par actions) et non une SASP.<br />
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<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">Vendredi 9 septembre, les dirigeants de l'association AJA organisent leur AG (assemblée générale) pour les membres, au nombre d'une trentaine. </span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">La proposition d'ORG Packaging actuellement en cours de négociation, devrait, en principe, être soumise à l'approbation des sociétaires.<br />
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<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;"> </span></p>
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: 21px;"><strong>P-J. G.</strong></span></p>
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<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;"> </span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;"> </span></p>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2016/08/31/Fin-du-Mercato-%3A-un-manque-%C3%A0-gagner-de-2-millions-d-euros-%C3%A0-l-AJA2#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/8014Les SDF de la politiqueurn:md5:a9e33973de5331383f0c38331998ef272014-01-09T11:03:00+01:002014-01-09T11:11:05+01:00Pierre-Jules GAYEPOLITIQUEbeaunecampagne municipales 14châtillon-sur-seineconseil général de côte d orcoups de communiquésguéguerre politiquemichel huvetpalais du luxembourg refuge 5 étoilespatriatrebsamenredécoupage cantonalsauvadetsdf politiquesviteaux<h2>Le redécoupage des cantons et les élections municipales donnent lieu à toutes sortes de migrations et de comportements politiques par ceux-là même qui se plaisent à les dénoncer. Ainsi en Côte d'Or, mais cela est valable pour l'Yonne et ailleurs</h2> <p style="text-align: justify;"><img width="229" height="320" src="http://www.auxerretv.com/content/public/(cliquez pour agrandir).jpeg" alt="" /><img width="320" height="217" src="http://www.auxerretv.com/content/public/(cliquez pour agrandir)-1.jpeg" alt="" /></p>
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<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">La guéguerre politique en perspective des élections municipales se passe pour l’essentiel à coups de communiqués. Champion toutes catégories du genre : le président du conseil général de la Côte d'Or (<em>François Sauvadet Ndlr</em>). Pas un jour sans communiqué. Chaque décision est l’objet d’un envoi, comme chaque vote d’une loi. Il faut dire que l’opposant UDI ne supporte aucun acte de la majorité, pourfend toute décision de Matignon, s’insurge contre chaque acte présidentiel, et poursuit inlassablement sa guerre pour la défense des territoires ruraux, gravement menacés, selon lui, par le redécoupage cantonal. C’était la suite logique de l’appel de Vitteaux, lancé l’été dernier.<br />
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Or quoi ? Est-ce que rester dans le statu quo cantonal va mieux sauver les territoires ruraux ? Si tel était le cas, on s’en serait aperçu plus tôt, non ? Et même s’il est navrant de voir que le nombre d’habitants devient prépondérant par rapport à celui des hectares, s’il est désolant de voir le canton de Châtillon-sur-Seine s’élargir au point que deux conseillers départementaux feront des kilomètres pour défendre leurs mandants, s’il est certain que dans certains cas la parité exigée va créer de sacrés conflits au sein même des partis, on ne voit pas se dessiner là-dedans le moindre espoir pour le monde dit rural.<br />
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Il se dit donc que ce redécoupage est l’oeuvre souterraine de François Rebsamen. Lui, le “duc” de Bourgogne, répond avec malice dans Dijon l’Hebdo : "<em>Notez qu’à Dijon, on aurait pu faire sept cantons. Il y en aura six pour une ville qui compte 155 000 habitants. Dans le Châtillonnais, on peut le regretter, ce sera un canton pour 110 communes. Un canton pour à peine 20 000 habitants… Un canton avec un homme et une femme. C’est peut-être ça qui gêne la droite. François Sauvadet mène une campagne politique sur le sujet. C’est son droit".</em><br />
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Il ajoute ceci, comme on enfonce un clou : <em>"Mais la vérité, c’est que le découpage électoral est la conséquence de ce qu’il avait précédemment voté, à savoir le conseiller territorial entraînant la suppression des cantons. Cette disposition annulée, il a fallu recréer des cantons en tenant compte de paramètres fixés par la Constitution, notre cadre de vie commun, qui précise en la matière que les écarts de population ne peuvent pas être supérieurs à 20 % en moins et 20 % au dessus de la moyenne. Le Conseil constitutionnel l’a redit. Ce qui fait un écart de 40 % entre le rural et l’urbain. J’avais proposé au Sénat 30%. L’UDI n’a pas voulu suivre ma proposition"</em>. Comme disait Molière : et voilà pourquoi votre fille est muette…<br />
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Tout ceci pour dire que ce qui intéresse les politiques n’est pas tant le monde rural que leur propre sort. Pourquoi croyez-vous qu’Emmanuel Bichot tente à Dijon ce qu’il sait perdu à Saint-Romain ou qu’Alain Houpert quitte Salives pour Dijon ? Et pourquoi François Sauvadet fait-il tant de bruit en ce moment si ce n’est qu’il sait devoir, après mars, perdre son canton, sa communauté de communes et que, député en déshérence, il sait que son devenir départemental est bouché ? Du coup, faire parler de soi est utile quand on sait que, derrière les élections européennes de juin, se profilent des élections sénatoriales “new style” et que le Palais du Luxembourg apparaît comme un refuge cinq étoiles à tous les SDF de la politique.<br />
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Voyez combien tout est, là aussi, bien lié. La télé dijonnaise Voo TV a fait les frais de la querelle "sénatoriale" qui oppose François Patriat à François Rebsamen – tous les deux voulant rester sénateurs – tout comme l’aéroport de Longvic a fait les frais de la querelle Rebsamen-Sauvadet.<br />
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<strong><span style="font-size: 30px;">Municipales : la galette des rois</span></strong><br />
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Un sacré remue-ménage au moment où, dans les villages et les petites villes, s’affûtent des listes possibles pour renverser des maires en place dont un grand nombre, sans doute lassés par tout ce cirque, annoncent qu’ils renoncent à se représenter. Ceux qui veulent se succéder à eux-mêmes regardent s’agiter en coulisses d’éventuels opposants dont ils ignoraient souvent l’existence ! Ainsi Alain Suguenot a-t-il dû être surpris d’apprendre que son opposition serait menée par un néo-beaunois, ingénieur des ponts, Jacques-Hervé Riffaut qui sait si bien s’y prendre qu’il ne parle jamais de lui ni ne critique jamais sa gestion.<br />
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Habileté qu’on retrouve aussi du côté de Châtillon-sur-Seine où tout le monde se connaît et où l’étiquette politique compte très peu : Paul Brossault a des relations à droite comme à gauche et trouble ainsi le jeu avec habileté. Pour le reste, c’est encore l’inconnu. On attend de fêter les rois pour dévoiler les noms des prétendants à la couronne municipale. En revanche, pas besoin de galette à Semur-en-Auxois, à Chenôve, à Chevigny-Saint-Sauveur, à Talant, à Saulieu, à Montbard, à Nuits-Saint-Georges… Il y aurait même, dans certaines de ces villes, y compris Dijon, concurrence exacerbée sur les mêmes chemins.<br />
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Les électeurs, eux, en sont encore à éplucher leur feuille d’impôts, pas à savoir pour qui ils voteront en mars.<br />
<span style="font-size: 21px;"><strong><br />
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<p style="text-align: center;"><span style="font-size: 18px;"><span style="font-size: 21px;"><strong>Michel HUVET (*)</strong></span></span></p>
<p style="text-align: center;"> </p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;"><span style="font-size: 21px;"><strong>_____________________</strong></span></span></p>
<p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 18px;"><span style="font-size: 18px;">Dijonnais. </span></span><span style="font-size: 18px;">Michel Huvet est journaliste, écrivain réputé pour ses analyses politiques et ses implications culturelles. </span></strong></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">Son axe de rotation : Dijon et la Bourgogne. Au Bien Public, il crée le service culturel. Au Progrès-les Dépêches il dirige la rédaction durant sept ans puis, de retour au Bien Public, il est responsable du Progrès-Dimanche, chef de la rédaction locale, chef du service politique. Il intervient notamment au Centre de Formation des Journalistes (CFJ-rue du Louvre à Paris), puis à Sciences-Po Est-Europe, à Dijon. </span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;">Président des Auteurs de Bourgogne de 1988 à 2008, il crée la Salon du Livre de Dijon. Il est lui-même auteur de nombreux ouvrages de littérature, de poésie, de théâtre, d’essais et de biographies.</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18px;"> Philosophe, amoureux des belles lettres, de la langue française, du théâtre et de la musique, Michel Huvet est officier des Arts et Lettres et membre non résidant de l’académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon. Infatigable observateur et commentateur du monde en marche, il a concocté son nouvel ouvrage "<a href="http://www.ccomculture.fr/" target="_blank"><span style="color: rgb(153, 51, 0);"><em>Wagner sans masques</em></span></a>" paru cette année dans l'intimité de son bureau quelque part dans une des vallées éduennes de l'Auxois.</span><span style="font-size: 18px;"><br />
</span><br />
<span style="font-size: 14px;"><u><strong>Bibliographie</strong></u><br />
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- Wagner sans masques, essai (C com'culture Editions, 2013)<br />
- Louis Dietsch : Deux rencontres avec Richard Wagner, communication (Académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon, 12 janvier 1982)<br />
- Dernières nouvelles du tram, nouvelles (C com’culture Editions, 2012)<br />
- Elisabeth de Dijon, biographie (Editions de Bourgogne, 2006)<br />
- Il pleut dans ma chambre, roman (Editions Nykta, 2003)<br />
- Greta et Garbo, théâtre, mise en scène Théâtre de l’Espoir (Boulogne, Dijon, Chalon, Festival d’Avignon 2001), à paraître<br />
- Toutes hontes bues, récit (Forelle, 2001)<br />
- L’Absence, Dijon- Berlin, 1945-1995, roman (Editions de l’Armançon, 1998)<br />
- Dijon Mémoire, essai illustré (Edi-Loire, 1995)<br />
- Dijon au temps des tramways, essai (Editions de l’Armançon, 1994)<br />
- Henri Vincenot musicien, essai (Académie de Dijon / Éditions de l’Armançon, 1992)<br />
- Les Années Decourtray, récit (Editions de l’Armançon, 1991)<br />
- Prélude et fugue, nouvelle (FNAC, 1989)<br />
- Au bord du vide, poésies (Dijon, Imprimerie Pornon 1987)<br />
- La Côte-d’Or, essai (Editions de la Porte Verte, 1982).</span></p>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2014/01/09/Les-SDF-de-la-politique#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/5155