AUXERRE TV - Mot-clé - prud hommesLa première Web Télé de l'Yonne2024-03-29T11:39:17+01:00urn:md5:e378ce404c0b8f51a27bd9bc32605d36DotclearYonne active création- Initiactive 89 : Francis Moreau contre-attaqueurn:md5:8a2f1d569265b1c9ee97e844e952dd112018-10-10T12:14:00+02:002018-10-10T15:11:23+02:00Pierre-Jules GAYEECONOMIEauxerrefrancis moreauinitiactive 90licenciementmalika ounèsplainte pour fauxprud hommessatellite du conseil départementalyonne active création<h2>Accusé de faux par la présidente de l'association Initiactive 89 satellite du conseil départemental, le directeur réplique en adressant un mail à plus de 250 personnes pour défendre son honneur et rétablir la vérité</h2> <p> </p>
<p style="text-align: center;"><img src="http://www.auxerretv.com/content/public/act1(1).jpg" alt="" width="516" height="126" /></p>
<p style="text-align: center;"> </p>
<p> </p>
<p><span style="font-size: 18px;"><span style="font-size: 30px;"><strong>M</strong></span>alika Ounès, présidente de l'association Initiactive 89, satellite du conseil départemental, 4ème vice-président, encore connue sous son appelation d'origine YAC (Yonne active création), a déposé plainte contre Francis Moreau, directeur, pour faux, usage de faux et falsification de signature. </span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">En avril 2018, il avait pourtant été négocié une rupture conventionnelle entre la Présidente et son Directeur sans que même le bureau ou le conseil d’administration ne soient prévenus, contrairement à ce qui est stipulé dans les statuts de l’Association.</span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">Le Directeur fait prévaloir que ce fut le cas pour une salariée, sauf que dans ce cas le Président de l’époque avait souhaité éviter une plainte pour harcèlement et qu’il ne s’agissait pas du poste du directeur. </span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">Apres 18 années passées dans la structure, Francis Moreau souhaitait créer son cabinet de Consulting pour accompagner les start up et s’était fendu d’un mail largement diffusé, indiquant au passage qu’il s’occupait du recrutement de son successeur, petite annonce à l'appui.</span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">Recrutement suspendu sur injonction du conseil d’administration.</span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">Le montant de la rupture conventionnelle était encadré par des dispositions légales et en dehors d’une convention collective.</span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">Or, après la réunion du conseil d'administration, demandée et attendue par 7 administrateurs inquiets, le 23 juillet, une réunion du bureau a suivi, le 27 juillet, où les documents furent mis sur la table dont ceux présentés par Francis Moreau, qui ne correspondaient pas à ceux signés par la Présidente 4 mois plus tôt, selon la Présidente Malika Ounes.</span><span style="font-size: 30px;"><strong><br />
</strong></span></p>
<p style="text-align: left;"> </p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 30px;"><strong>Tout a basculé</strong></span></p>
<p style="text-align: left;"> </p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">Le montant de l'indemnité de l'ordre de plusieurs dizaines de milliers d'euros, avait quasiment doublé, mettant sérieusement en cause l'équilibre déjà précaire du budget, pour l'année 2018.</span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">C’est lors du bureau restreint que tout bascule. </span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">Le Directeur a aussitôt été mis à pied et il a reçu ensuite un courrier pour un entretien préalable à un licenciement pour faute, auquel il n’a pas souhaité se rendre sur les conseils de son avocat.</span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">Francis Moreau est donc sorti des effectifs le 31 août 2018, comme initialement prévu mais sans doute pas comme il l’avait prévu.</span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">Le commissaire au compte a adressé un courrier au procureur de la République, dès le 1 août, pour dénoncer les faux, usages de faux et falsification de signature dans la foulée du conseil d’administration, aux dires de la Présidente.</span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">De son côté, Francis Moreau a saisi, en procédure de référé, les prudhommes, pour faire valoir ses droits et obtenir les sommes nécessaires à la création de son entreprise qu'il estime dues, et une couverture de salaire sur 3 ans au travers du chômage.</span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">Car si la faute était retenue par le conseil des prud’hommes ; non seulement la convention est caduque mais en plus les indemnités chômage sur lesquelles il comptait pour mener son projet de cabinet, seraient sérieusement remises en cause, même si la loi a évolué sur ce point.</span></p>
<p style="text-align: left;"> </p>
<p style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: 30px;">Le directeur dément la fausse signature</span><br />
</strong></p>
<p style="text-align: left;"> </p>
<p><span style="font-size: 18px;">Afin de percevoir une indemnité de départ équivalente à 2 ans de salaire payés sur subventions publiques ainsi que des indemnités chômage sur 3 ans auprès de Pôle emploi, Francis Moreau pensait être fixé le 4 octobre, </span><span style="font-size: 18px;"><span style="color: rgb(0, 0, 0);"><span><font>dans le cadre du référé qu’il avait engagé pour percevoir son indemnité auprès du tribunal des prud’hommes.</font></span></span></span><span> <br />
</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;"> Or la juridiction a décidé de juger l'affaire sur le fond de manière classique, estimant qu'il n'y avait pas motif à urgence à juger en référé.</span><span><font color="#77bb41"><br />
</font></span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;"> </span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">Diverses étapes sont prévues dans le cadre de la procédure légale, pour tenter de rapprocher les points de vue voire d'obtenir un règlement à l'amiable </span><span style="font-size: 18px;"><span style="font-size: 18px;">et </span><span style="font-size: 18px;"><span style="color: rgb(0, 0, 0);"><span><font>surtout les pièces et arguments font l’objet d’une étude attentive et non expresse. </font></span></span></span><span><font color="#77bb41"><br />
</font></span></span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">Cela semble mal parti, car Francis Moreau a choisi de porter l'affaire sur la place publique pour défendre son honneur et révéler sa vérité, la verité selon lui.</span></p>
<blockquote type="cite" style="font-family: Helvetica; font-size: 12px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: normal; letter-spacing: normal; orphans: auto; text-align: start; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px; -webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; text-decoration: none;">
<div>
<p style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: left;"><em><span style="font-size: 18px;">"L’employeur peut lyncher, jeter à tort en pâture l’un de ses salariés, l’humilier, broyer sa femme et ses enfants, avant que celui-ci puisse être rétabli dans ses droits et dans son intégrité au terme de X mois, voire années de procédure. Il est compliqué, pendant 2,5 mois de s’en prendre plein la gueule et de ne rien dire."</span></em></p>
</div>
</blockquote>
<p><span style="font-size: 18px;">Dans un mail largement diffusé mercredi matin, Francis Moreau </span><span style="font-size: 18px;"><span style="color: rgb(0, 0, 0);"><span><font>refait l'histoire quitte à y perdre encore plus.</font></span></span></span></p>
<p> </p>
<p><span style="font-size: 30px;"><strong>Expertise contestée</strong></span></p>
<p> </p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">Pour l'essentiel il dément et conteste la validité de l'expertise graphologique demandée par la présidente. Et s'étonne de la lenteur dont cette dernière a fait preuve dans le cheminement de l'affaire.</span></p>
<blockquote type="cite" style="font-family: Helvetica; font-size: 12px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: normal; letter-spacing: normal; orphans: auto; text-align: start; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px; -webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; text-decoration: none;">
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<p style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: left;"><em><span style="font-size: 18px;">"J’ai conservé un certain nombre d’échanges SMS (150 pages A4 au total). Je me suis permis de faire faire un constat d’huissier sur certains échanges dans les jours qui ont suivi mon humiliation. Certains échanges démontrent clairement que Madame Ounès avait accordé en connaissance de cause un montant supérieur à celui de l’indemnité légale. Ces échanges ont été joints comme pièces à la procédure Prud’hommale. La Présidente d’Initiactive 89 a l’obligation de communiquer ces pièces aux administrateurs de l’association. Si Mme Ounès ne le faisait pas, cela pourrait paraître bizarre ...</span></em><span style="font-size: 18px;">"<br />
</span></p>
<blockquote type="cite" style="font-family: Helvetica; font-size: 12px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: normal; letter-spacing: normal; orphans: auto; text-align: start; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px; -webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; text-decoration: none;">
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<p style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: left;"><em><span style="font-size: 18px;">Bien entendu, je reste à disposition des administrateurs afin qu’ils puissent vérifier que les extraits SMS communiqués par Mme Ounès soient les bons. On ne sait jamais.</span></em></p>
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</blockquote><blockquote type="cite" style="font-family: Helvetica; font-size: 12px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: normal; letter-spacing: normal; orphans: auto; text-align: start; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: auto; word-spacing: 0px; -webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; text-decoration: none;">
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<p style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: left;"><em><span style="font-size: 18px;">Pour ne pas perdre la face, car visiblement Mme Ounès a estimé avoir mal négocié, elle a simplement dit ne pas avoir signé. Après tout, ce n’est pas grave, toutes les procédures en justice ne lui coûtent rien, vu que tout est pris en charge par Initiactive 89, pourquoi s’en priver ! Ce n’est pas grave d’accuser à tort, chercher à humilier, détruire, simplement parce que l’on assume pas. Au terme il suffira simplement de dire « ah ! elle était bien imitée ma signature ! On ne peut malheureusement rien faire ».</span></em></p>
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</blockquote></div>
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</blockquote>
<p><span style="font-size: 18px;">Bien entendu que la Présidente prend un conseil financé par Initiactive 89 qui indemnisera celui qui voulait créer sa société et prendre les risques d’un entrepreneur. C’est bien Initiactive 89,</span><span style="font-size: 18px;"><span style="color: rgb(0, 0, 0);"><span><font> q</font></span></span></span><span style="font-size: 14px;"><span style="font-size: 18px;"><span style="color: rgb(0, 0, 0);"><font>ui paiera au total 100 000 euros d’indemnités, même si le salarié ne perçoit que 70 000 euros, </font></span></span></span><span style="font-size: 18px;">si les faits sont avérés. </span><span style="font-size: 18px;"><span style="color: rgb(0, 0, 0);"><span><font>Ne lui aurait-on pas fait grief d’un réglement de compte personnel, si elle l’avait financé en propre ? <br />
</font></span></span></span></p>
<p> </p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 30px;"><strong>Une structure de 9 salariés</strong></span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;"><br />
Malika Ounès, a confirmé avoir déposé plainte, le 17 septembre, auprès de la police judiciaire pour faux, usage de faux et falsification de signature dans le seul but de préserver les intérêts financiers de la structure et protéger les 9 salariés.</span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">L'association Yonne Active Création (YAC) créée en 1996, est la structure qui accompagne le financement et le développement d’entreprises depuis 1996. Elle a pris le nom de Initiactive 89, l'année dernière.</span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">La structure a pour principale tâche d’accompagner les allocataires du Revenu minimum d’insertion (RMI) qui souhaitent créer leur entreprise.</span></p>
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18px;">Depuis 2001, leur champ d’action s’est élargi et l’association accompagne désormais différents publics, au-delà des allocataires du RMI, que ce soit dans la création, la reprise, ou le développement d’entreprise. Entre 12 et 15 millions d’euros servent à financer 180 entreprises par an, du fait du travail de la structure.</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Jusqu’à présent, le conseil départemental de l’Yonne a alimenté une partie importante des fonds de YAC. </span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Le budget d'Initiactive 89 est de l'ordre de 600 000 euros, équilibré à l'euro près </span><span style="font-size: 18px;"><span style="color: rgb(0, 0, 0);"><span><span><font>dans sa présentation au conseil d’administration, le 29 janvier, mais qui serait en septembre subrepticement déficitaire, sans même que l’indemnité soit versée.</font> </span><font>De nouvelles ressources sont recherchées activement par la Présidente, faute de Trésorier qui a démissionné, de directrice adjointe en maladie pour raison de santé et de chargé de mission en congé maternité. Les convocations au conseil d’administration (reporté depuis) sont à présent adressées par l'accueil, il reste donc bien encore des collaborateurs. </font></span></span></span><span style="font-size: 30px;"><strong><br />
</strong></span></p>
<p> </p>
<p><span style="font-size: 30px;"><strong>L'image du Département écornée</strong></span></p>
<p> </p>
<p><span style="font-size: 18px;">Compte tenu de la loi NOTRe, ce satellite du conseil départemental pourrait (devrait ?)</span><span style="font-size: 14px;"><font color="#77bb41"> </font><span style="font-size: 18px;"><span style="color: rgb(0, 0, 0);"><font>être de la compétence des intercommunalités sur le champs du développement économique</font></span></span></span><span style="font-size: 18px;"> à qui il est dévolu par la loi, au même titre que les régions. </span></p>
<div>
<div style="word-wrap: break-word; -webkit-nbsp-mode: space; line-break: after-white-space;">
<div id="p9943" class="post">
<div class="post-content">
<p><span style="font-size: 18px;"><span style="color: rgb(0, 0, 0);"><span><font>En attendant, l'image du conseil départemental en prend un coup alors même qu’il dit ne pas être concerné. </font><font>Dans ce conflit larvé, la présidente de l'association satellite qui est aussi vice-présidente du CD 89, la quatrième vice-présidente en charge notamment du numérique, semble si seule.</font><font><font> Le Département n’a rien à gagner à l’abandonner sur le principe de ce qui se passe à YAC reste à YAC.</font></font></span></span></span></p>
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</div>
<p><span style="font-size: 18px;">Sur le fond, ce conflit témoigne de la difficulté pour les élus du Département d'exercer leur mission de contrôle sur des satellites qui fonctionnent grâce à des compétences professionnelles. Manifestement, le directeur Francis Moreau est un homme qui a été livré à lui-même et a du cheminer relativement seul depuis plus de dix ans. Le conseil d'administration a lui aussi ses responsabilités ainsi que la présidente de la structure.</span><span style="font-size: 14px;"><font color="#77bb41"> </font><span style="color: rgb(0, 0, 0);"><span style="font-size: 18px;"><font>Jusqu’où ne pourrions-nous également rechercher le directeur qui se désignait sous forme de boutade parfois, comme président de fait ?</font></span></span></span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">On se demande comment il est possible que les deux parties en soient arrivées là ?</span></p>
<p> </p>
<p><span style="font-size: 30px;"><strong>Intérêt général</strong></span></p>
<p> </p>
<p><span style="font-size: 18px;">Rien n'empêchait le directeur Francis Moreau désireux de créer sa propre affaire, de remettre sa démission et partir sans indemnité après 19 années passées à ce poste après un passage au service social du conseil départemental. Quand on négocie seul avec sa Présidente, sans accord du bureau et sans couvert d’un conseil juridique</span><span style="font-size: 14px;"><font color="#77bb41"> </font><span style="font-size: 18px;"><span style="color: rgb(0, 0, 0);"><font>pour encadrer la procédure afin d 'équilibrer les intérêts des parties (tierces personnes), </font></span></span></span><span style="font-size: 18px;">on ne peut pas être surpris des échos et de la violence des réactions quand cela est porté à la connaissance du plus grand nombre, </span><span style="font-size: 18px;"><span style="color: rgb(0, 0, 0);"><span><font>vu les montants d'argent en jeu. </font></span></span></span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Une enquête préliminaire est diligentée </span><span style="font-size: 18px;">au plan pénal. Et le conseil des prud'hommes d'Auxerre va juger l'affaire sur le fond, ce qui dans le meilleur des cas, prendra un an au moins. D'autant que ce dernier devrait, logiqement, du moins peut-on le penser, attendre les conclusions du volet judiciaire, avant de se prononcer. </span><span style="font-size: 18px;"> </span></p>
<div>
<div style="word-wrap: break-word; -webkit-nbsp-mode: space; line-break: after-white-space;">
<div id="p9943" class="post">
<div class="post-content">
<p><span style="font-size: 18px;">Sauf si les deux parties aboutissent à un accord d'ici là. Un mauvais accord vaut mieux qu'un jugement judiciaire. </span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">D’ailleurs, l’avocate de Francis Moreau avait repris la parole au terme des deux plaidoiries dans le cadre des prud’hommes, le jeudi 4 octobre, pour expliquer à la cour qu’elle et son client étaient d’accord pour une médiation judiciaire. Faute stratégique de l’avocate ou découverte du contenu de la partie adverse qui faisait état de conditions d’attribution d’avantages en nature inconsidérés ?</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Beaucoup par ailleurs, ont intérêt à ce que cette affaire, dont se serait bien épargné le nouveau président du conseil départemental de l'Yonne, Patrick Gendraud, trouve un épilogue qui respecte la dignité des uns et des autres, dans l'intérêt général. </span><span><font><br />
</font></span></p>
</div>
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</div>
<p><span style="font-size: 18px;"> </span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Faut-il rappeler qu'il s'agit de fonds publics et que sans aucun doute, la chambre régionale des comptes, dont Francis Moreau se targue des conclusions sur la structure suite à un audit de 2012, ne vienne prochainement effectuer un nouveau contrôle, après la mise en place de la loi NOTRe et le transfert des compétences obligatoires. Seules des solutions sérieuses et des pistes de travail permettraient d’éviter cette situation.</span></p>
<p> </p>
<p><span style="font-size: 18px;"> </span> </p>
<p style="text-align: center;"><strong><span style="font-size: 18px;">Pierre-Jules GAYE</span></strong></p>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>
<p><img src="http://www.auxerretv.com/content/public/yac1(2).jpg" alt="" width="400" height="202" /><img src="http://www.auxerretv.com/content/public/malik(2)(2).jpg" alt="" width="307" height="278" /></p>
<p><span style="font-size: 18px;"><strong>Francis Moreau directeur de l'association Initiactive 89 et Malika Ounès, présidente de l'association Initiactive 89 (Photos Auxerre TV)</strong></span></p>
<p> </p>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2018/10/10/Yonne-active-cr%C3%A9ation-Initiactive-89-%3A-Francis-Moreau-contre-attaque#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/9943L'AJA condamnée aux Prud'hommesurn:md5:3cf6db824f8bca119bd5daecc39241432014-01-15T20:27:00+01:002014-01-15T22:44:49+01:00Pierre-Jules GAYEAJAajaauxerrechartongueirreirohennaprud hommes<h2><span style="font-size: 18px;">Prud'hommes : Gueirreiro a été débouté, il va en appel. Henna a obtenu 50 000 euros et Charton 40 000</span></h2> <p><span style="font-size: 18px;">Le conseil de prud’hommes d’Auxerre a condamné la SAOS AJA Football à verser des indemnités à deux de ses anciens salariés pour des irrégularités dans leur contrat de travail. </span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Christian Henna, ex-entraîneur des moins de 19 ans nationaux, s'est vu attribuer 50 000 € et Nicolas Charton, ex-préparateur physique du club, 40 000 €. </span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Les prud’hommes ont par ailleurs débouté l'ancien directeur du centre de formation, Rafaël Guerreiro qui a décidé de faire appel du jugement. Il est en CDD (contrat à durée déterminée) depuis 10 ans</span> <span style="font-size: 18px;">reconduit à quatre reprises (sur des périodes de 2 et 3 ans).<br />
</span></p>
<p><span style="font-size: 18px;">Le dossier de Pascal Vahirua est entre les mains de son avocat</span> <span style="font-size: 18px;">qui doit le transmettre au tribunal.</span></p>
<p> </p>
<p><span style="font-size: 18px;"><br />
</span></p>
<p> </p>
<p><span style="font-size: 18px;"><br />
</span></p>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2014/01/15/L-AJA-condamn%C3%A9e-aux-Prud-hommes#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/5187Georges Tsaros relaxéurn:md5:15582844175dfa0e830ccf095f7774012012-01-20T14:50:00+01:002012-01-20T18:03:11+01:00Pierre-Jules GAYESOCIETEgreffièrenolotprud hommesprésidenttribunaltsaros<h3><span style="font-size: 14px;">Le président du conseil des prud'hommes
d'Auxerre Georges Tsaros, poursuivi par l'ancienne greffière en chef de
la juridiction pour "harcèlement moral", a été relaxé vendredi par le
tribunal correctionnel de Paris</span></h3> <p><img width="600" height="338" src="http://www.auxerretv.com/content/public/DIJO_1537339_251120111003_F3.jpg" alt="" /></p>
<p>Georges Tsaros (DR)</p>
<p><span style="font-size: 14px;"> </span><span style="font-size: 14px;">Les motivations du jugement n'étaient pas disponibles vendredi après-midi. Lors de l'audience du 25 novembre 2011, la 17e chambre correctionnelle, présidée par Claude Civalero, avait examiné comment durant plusieurs années s'était manifestée "la discorde et la mésentente" entre le conseiller et sa greffière.<br />
<br />
L'audition de nombreux témoins avait permis de retracer peu à peu le quotidien de la petite juridiction prud'homale de l'Yonne. "Son objectif était de me faire partir (...) parce que je le gênais", avait accusé Marie-José Nolot, qui avait déposé plainte en 2005 après être "tombée malade", épuisée par des vexations en série.<br />
<br />
L'ex-greffière, qui a depuis quitté les prud'hommes d'Auxerre, reprochait à son supérieur de lui avoir rendu la vie impossible durant plusieurs années. Elle évoquait notamment des propos dévalorisants, voire humiliants, ou encore des courriers de doléances qu'il adressait à sa hiérarchie.</span></p>
<p><span style="font-size: 14px;">Marie-José Nolot aurait ensuite subi maintes inspections qui n'auraient jamais révélé le moindre dysfonctionnement. En 2006, « fatiguée » de ces multiples procédures, selon elle, injustifiées, elle avait fini par demander sa mutation pour rejoindre le tribunal de Sens où elle a fini sa carrière en tant que greffière en chef. Depuis le dépôt de sa plainte en 2005, la justice a entendu de très nombreux témoins, des fonctionnaires de justice et des conseillers prud'homaux, avant de mettre en examen Georges Tsaros.</span></p>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2012/01/20/Georges-Tsaros-relax%C3%A9#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/2279José Machado l'enseignant licencié pour avoir giflé un élève gagne en appelurn:md5:6e9eb589e8fb2b0134538d568d2188a32011-10-12T19:47:00+02:002011-10-13T10:46:14+02:00Pierre-Jules GAYESOCIETEappelauxerrecfa-btpcourdommagesgifleintérêtsjugementlicenciementmachadoprud hommes<h3>Un enseignant Auxerrois, licencié pour avoir giflé un élève qui l'insultait, a eu gain de cause devant la justice </h3> <div class="intro">Gilles Machado, professeur de sport, avait été licencié en novembre 2008. Il avait porté l'affaire devant la justice. La Cour d'appel de Paris vient de lui donner raison. La justice a jugé qu'il n'y avait pas eu de faute grave : le licenciement a donc été déclaré nul.</div>
<div> </div>
<div>A l'époque des faits, José Machado enseignait au CFA BTP (centre de formation des apprentis du bâtiment et des travaux publics) d’Auxerre. Un jour, excédé, il a frappé un apprenti qui se moquait de lui. L'établissement décide alors de le licencier.<br />
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"Gifler un élève, ce n'est pas une chose à faire", reconnaît l'enseignant. "Mais, cela ne méritait pas le licenciement"</em><strong>, </strong>estime-t-il. Selon José Machado, son employeur a profité de cette affaire pour se débarrasser de lui, car il était représentant syndical.<br />
Le professeur de sport décide d'aller devant le tribunal des prud’hommes. Il obtient alors sa réintégration et 20 000 euros de dommages et intérêt. Le CFA BTP d’Auxerre avait fait appel de cette décision.<br />
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Mais, la Cour d'appel de Paris vient de confirmer le jugement rendu en première instance. Elle a octroyé un peu plus de 40 000 euros de dommages et intérêt à José Machado. Cette fois, il ne demandait pas sa réintégration. <em>"Je ne veux plus retourner dans cet établissement"</em>, a-t-il déclaré.</div>
<p> </p>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2011/10/12/Jos%C3%A9-Machado-l-enseignant-licenci%C3%A9-pour-avoir-gifl%C3%A9-un-%C3%A9l%C3%A8ve-gagne-en-appel#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/1940Des salariés victimes de l'amiante devant les prud'hommes à Auxerreurn:md5:c05f1a10d8eda3640f7eb86b888571742010-02-09T10:13:00+01:002010-02-09T10:13:31+01:00Pierre-Jules GAYESOCIETEamianteflertexfreinsprud hommesstflorentin<h4>Ces salariés ont été exposés à l'amiante dans cette usine qui fabrique des garnitures de frein. Ils réclament un complément d'allocation</h4> <p>37 salariés se retournent contre leur employeur, l'usine Flertex à Saint Florentin.</p>
<p>Pendant près de trente ans, ils ont travaillé entouré d'amiante, sans connaître les risques.</p>http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2010/02/09/Des-salari%C3%A9s-victimes-de-l-amiante-devant-les-prud-hommes-%C3%A0-Auxerre#comment-formhttp://www.auxerretv.com/content/index.php?feed/atom/comments/221