"On ne peut pas être délégué par l'association au centre de formation et à l'école de football et être un simple spectateur, perdu dans la nature comme actuellement. Le nouveau propriétaire et la nouvelle direction veulent miser sur la formation de manière essentielle et la mettre davantage en valeur, le coach Casoni aussi, ça tombe bien !"

"Je vais demander au nouveau président Guy Cotret, une siège au sein du conseil d'administration de la SAOS AJA qui est composé de 7 membres dont trois délégués de l'association AJA."

"Je vais demander, simplement, je n'en ferai pas une affaire si cela ne se fait pas et il n'y aura pas de représailles."

Alors Guy Roux le retour ?

"Depuis 2005 et la finale de la Coupe de France, je suis exclu du club. C'était TSGR (tout sauf Guy Roux), y compris pendant de la présidence de Gérard Bourgoin, qui faisait ce qu'il voulait"

Trois scénarios sont possibles.

1/ Guy Cotret le président propose au conseil d'administration de créer deux ou trois sièges du plus et d'y intérer Guy Roux ainsi qu'un ou deux autres adminsitrateurs estampillés PLP (Paris-Luxembourg-Participation) afin de respecter l'équilibre (actuellement 4 administrateurs PLP et 3 administraterus AJA association)

2/ L'AJA association procède à une nouvelle élection et désigne Guy Roux comme administrateur délégué de l'association au conseil d'administration de l'AJA. Les actuels délégués sont Claude Laguillaumie, Philippe Dupont et Christophe Rémy. l'un d'eux devrait dans ce cas de figure s'effacer au profit de Guy Roux.

3/ La nouvelle présidence respecte l'équilibre actuel et suggère à Guy Roux de se faire élire par l'association. Guy Roux estime que son élection n'est pas acquise.

Un dossier délicat pour la nouvelle présidence confrontée au "retour" d'un ancien et non des moindres, au moment où le club a rompu avec le passé et ouvert une page nouvelle dans une configuration capitaliste classique plus conforme aux exigences de l'économie du football business.