Avant le Mondial 2019, les joueuses françaises auront l'opportunité de briller pour la première fois lors d'un championnat d'Europe, en 2017 aux Pays-Bas : elles n'ont pour le moment jamais dépassé les quarts de finale (2009 et 2013) DR

 
En 2019, la France accueillera pour la troisième fois une Coupe du Monde de football Si en 1938 et en 1998, les hommes étaient à l'honneur, les neuf stades français sélectionnés pour l'occasion seront cette fois foulés par des mollets féminins.

Le Mondial 2019 de football féminin, programmé en juin 2019, sera donc organisé en France. Il réunira 24 nations pour un total de 52 matches.

Onze villes étaient pressenties pour l’accueillir qui figuraient dans le dossier de présentation communiqué à la FIFA : Auxerre, Grenoble, Lyon, Le Havre, Montpellier, Nancy, Nice, Reims, Rennes, Paris, Valenciennes. Le Grand Stade de Lyon abritera le match d’ouverture et la finale.

Or, exit Auxerre, au prétexte que la collectivité locale ne souhaite pas participer aux frais d'organisation.

Le maire Guy Férez était favorable à Auxerre ville hôte et stade d'accueil, pour autant que cela n'entraîne pas des charges au point que cela engage significativement les finances de la ville. En outre le premier magistrat de la cité rappelle que la ville a co-financé le nouveau centre de formation (10 millions d'euros), une structure enviée qui figure, désormais, parmi les plus performantes en Europe.

 

 

INTERVIEW DE GUY FÉREZ RÉALISÉE LE 27 OCTOBRE 2014 (À PARTIR DE 6'05)

 

 

Villes et stades retenus

Villes candidates pour la Coupe de monde 2019

Le match d'ouverture ainsi que la finale se dérouleront au stade des Lumières à Lyon.

Le Rohazon Park de Rennes accueillera quatre matchs de poule, un 8ème de finale et une demi-finale.

Neuf autres villes sont candidates (l'une d'entre-elles ne sera pas retenue ... il s'agit d'Auxerre Ndlr) :

 

REIMS PIONNIÈRE

Reims, qui figure parmi les onze villes candidates à l'accueil du Mondial «est une terre de championnes d'exception qui a vu naître la première équipe féminine de football de France, en 1968, sous la houlette de Pierre Geoffroy, journaliste de l'Union de Reims, rappelle un communiqué de la Ville.

Elle devait constituer l'ossature de la première équipe de France féminine.»

Arnaud Robinet, député-maire de Reims, souligne que «Reims ambitionne de développer le sport féminin sur son territoire».