POLITIQUE
Larrivé bombardé secrétaire départemental Les Républicains dans l'Yonne par Nicolas Sarkozy
le mercredi 03 février 2016, 22:19 - POLITIQUE - Lien permanent
La nouvelle vague de nomination de secrétaires départementaux LR par Nicolas Sarkozy a provoqué des remous, mardi soir, au bureau politique. Guillaume Larrivé a été nommé sans que les parlementaires de l'Yonne aient été consultés. Ces derniers l'ont fait savoir et ne sont pas contents. Derrière, se profile l'enjeu : les primaires et leur organisation
Les grandes manoeuvres ont débuté au Parti Républicain présidé par l'ancien chef d'État Nicolas Sarkozy.
La nouvelle vague de nominations de secrétaires dépatementaux a provoqué et provoque des remous, rapporte L'Opinion sur son site internet
Pas que dans l'Yonne, puisque Henri Guaino, député plume de l'ex chef de l'État, est intervenu à propos des Yvelines où la sénatrice Sophie Thomas a été choisie par Nicolas Sarkozy pour être secrétaire départemental, c'est-à-dire le relais direct de la direction du parti Les Républicains de Paris dans le département. Alors que David Douillet vient d'être élu par les militants à la présidence de la fédération, Valérie Pécrese en se représentant pas et pour cause puisqu'elle a été élue à la présidence de la région Île-de-France.
Henri Guaino déplore ne pas avoir été consulté ainsi que les autres parlementaires, contrairement à ce qui est prévu dans les statuts. Il est très remonté.
Dans l'Eure, où Bruno Le Maire, candidat aux primaires, vient d'être élu à la présidence de la fédération départementale de l'Eure, Nicolas Sarkozy n'a pas encore nommé de secrétaire départemental. Bruno Le Maire est intervenu pour demander que soit porté à l'ordre du jour la nomination de Sébestien Lecornu, un proche, dont il demande la nomination depuis des semaines.
Dans l'Yonne, Marie-Louise Fort, député-maire de Sens, a déclaré être surprise de découvrir dans la liste la nomination de Guillaume Larrivé. Elle s'étonne de ne pas avoir été consultée d'autant que la situation est très tendue dans le département entre Jean-Baptiste Lemoyne sénateur élu à la présidence de la Fédération départemental et le député Guillaume Larrivé, provoquant beaucoup de réactions de militants selon MLF.
Au-delà de ces péripéties, s'annonce l'organisation des primaires par le parti Les Républicains, où les candidats risquent d'être nombreux, surtout que n'importe qui pourra aller voter en acquittant la somme de deux euros.
Le contrôle des bureaux de vote
Les spécialistes politiques s'accordent pour dire que moins il y aura de bureaux de vote et plus Nicoals Sarkozy pourra "contrôler" le scrutin. Or qui décidera du nombre de bureaux de vote ? Les fédérations départementales dont les dirigeants sont élus au suffrage universel par les militants. Sauf si le secrétaire départemental nommé par Nicolas Sarkozy en décide autrement. Or c'est ce dernier qui prévaut dans l'ordre hiérarchique. Le "préfet" en quelque sorte.
Dans l'Yonne, trois bureaux étaient ouverts, samedi ddenrier 30 janvier, un dans chaque circonscritpion électorale (Auxerre, Avallon, Sens) pour l'élection du président de la fédération de l'Yonne du parti Les Républicains. Ainsi les adhérents de Puisaye devaient se rendre à Auxerre, ceux de Migennes Saint-Florentin à Avallon etc.
Bref, trois bureaux de vote c'est trop peu manifestement, d'autant que le nombre de candidats sera élevé à la primaire, qui proposera du choix. Or, samedi dernier, il n'y avait qu'un seul candidat à la présidence de la fédération. Il a emporté plus de 98% des suffrages. Quelques 40% des adhérents 1054 inscrits sont allés voter.
Il faut savoir que dans l'Yonne les parlementaires ne courent pas tous dans le même couloir.
Le sénateur Henri de Raincourt est plutôt pro-Fillon.
Guillaume Larrivé est ultrasarkoziste, ce n'est un secret pour personne, comme Alain Joyandet nommé secrétaire départemental en Haute-Saône.
Marie-Louise Fort est avant tout indépendante mais pencherait plutôt côté sarkozyste encore qu'elle n'aime pas avaler des couleuvres.
Quant à Jean-Baptiste Lemoyne, salarié LR de Jean-François Copé, difficile de dire pour qui il votera d'autant que la liste des candidats n'est pas encore connue. Il risque d'y avoir des surprises.
À suivre. On aura un oeil sur le nombre de bureau de vote dans l'Yonne aux primaires LR qui désigneront le candidat de la droite et du centre (?) à la présidence de la République.
Pierre-Jules GAYE
Les deux jeunes parlementaires trentenaires de l'Yonne lors d'une rentrée à l'Escale (DR Auxerre TV)
Communiqué de Thierry SOLÈRE, Député de Boulogne-Billancourt et Président de la commission nationale d’organisation de la primaire de la droite et du centre
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Nomination de la Présidente de la commission départementale d’organisation de la primaire de l’Yonne
A l’occasion de sa dernière réunion, la commission nationale d’organisation de la primaire de la droite et du centre a nommé, Isabelle FROMENT-MEURICE, Vice-Présidente du Conseil départemental de l’Yonne, Présidente de la commission départementale d’organisation de la primaire de l’Yonne.
10 337 bureaux de vote seront répartis sur l’ensemble du territoire les 20 et 27 novembre 2016 pour la primaire de la droite et du centre, dont 59 dans l’Yonne selon la répartition par circonscription suivante :
1ère circonscription – 19 bureaux
2ème circonscription – 16 bureaux
3ème circonscription – 24 bureaux
Primaire à droite mode d'emploi
Cette pré-présidentielle sera la première jamais organisée à droite. Le scrutin se déroulera le dimanche 20 novembre 2016, avec, si nécessaire, un second tour le 27 novembre. Il aura lieu uniquement par bulletins papier et sans procuration (pour éviter les risques de fraude), dans près de 10.000 bureaux de vote sur l’ensemble du territoire. Les électeurs, qui devront être inscrits sur les listes électorales, devront signer « une charte de l’alternance » dans laquelle ils indiqueront « partager les valeurs de la droite républicaine et du centre » et s’engager pour « l’alternance afin de réussir le redressement de la France ». Ils devront aussi acquitter 2 euros par tour, ce qui devrait assurer un bénéfice non négligeable à l’ex-UMP, qui accusait à mars 2015 une dette de 69,3 millions d’euro
Pour participer à la primaire des Républicains, les candidats devront avoir recueilli les parrainages d’au moins 20 parlementaires et d'au moins 2.500 adhérents et 250 élus répartis sur un minimum de 30 départements.
La date limite pour le dépôt des candidatures est fixée au 9 septembre 2016. La liste officielle des candidats sera dévoilée le 21 septembre, qui sera aussi la date du lancement officiel de la campagne.
Nicolas Sarkozy. L’ex-chef de l’Etat n’a pas officialisé sa candidature, mais sa volonté de revanche sur sa défaite de 2012 est criante. S’il devait être candidat, il devra démissionner de son poste de président des Républicains avant le 21 septembre 2016.
Commentaires
Autre dépêche AFP reprenant la déclaration liminaire de Guillaume Larrivé
PARLEMENT-ASSEMBLÉE-GOUVERNEMENT-CONSTITUTION-ATTENTATS-PARTIS
Révision constitutionnelle: interventions à l'Assemblée nationale
05/02/2016 18:29:07 GMT+01:00
#568943 DVBP 2278 KPW82 (4) AFP (494)
PARIS, 5 fév 2016 (AFP) - De Marion Maréchal-Le Pen qui annonce qu'elle ne votera pas la réforme constitutionnelle à Malek Boutih qui souhaite de "nouveaux symboles républicains" pour rassembler, voici quelques autres interventions vendredi en discussion générale à l'Assemblée sur le projet de réforme constitutionnelle.
- Marion Maréchal-Le Pen (FN): "Le président de la République et son chef de gouvernement ont décidé de gribouiller à la va-vite notre texte fondamental. Cette réforme constitutionnelle n'est qu'une perte de temps. Nous ne parlons plus de la suspension nécessaire de Schengen, de la fermeture des mosquées salafistes ou de la lutte contre le trafic d'armes (...)
Le Code civil permet déjà de déchoir de leur nationalité des binationaux, une simple réforme législative aurait suffi. (Le projet de loi d'application) écarte la déchéance sur décision du gouvernement: quel manque de courage! (...) Nous ne voterons pas cette réforme constitutionnelle".
- Nathalie Kosciusko-Morizet (LR): "Cette révision est inutile, cette révision est dangereuse. Nous sommes de plus en plus nombreux à la combattre (...) Inutile car elle ne sert à rien, ça s'appelle un symbole (...) Dangereuse car elle nous divise (alors que) la lutte contre le terrorisme requiert toute notre force.
Cette révision est un naufrage. Vous avez cherché le soutien des nôtres. Arrêtez les frais. L'habileté politique ne gagne pas à tous les coups".
- Bernard Roman (PS): "La Constitution a la vocation de rassembler et non d'exclure. Quand on lui donne une mission qui n'est pas la sienne, on prend le risque de rompre avec la tradition de la République depuis son origine (...) Enlever la nationalité à quelqu'un qui l'a eue parce qu'il est né sur le territoire français, c'est pour moi une vraie rupture du droit du sol. Je ne voterai pas la déchéance de nationalité".
- Malek Boutih (PS): "Il faut sortir de la République ceux qui veulent l'assassiner. Mais de l'autre côté, il faut maintenant faire rentrer de plain-pied tous ceux qui veulent la défendre et tous ceux qui veulent bien y vivre. (...) Nous avons besoin des François, des Amir, des Salif ou des Olivia, qui se sentent partie d'un bloc fort qui vaincra nos ennemis. (...) Pourquoi pas, dans un geste de rassemblement, trouver de nouveaux symboles républicains pour que nous soyons tous fiers de nos travaux et qu'enfin il n'y ait pas simplement le sang impur qui rassemble nos sillons, mais aussi nos couleurs qui défendent et qui rassemblent la nation?"
- Guillaume Larrivé (LR): Sur la déchéance, "le président François Hollande le 16 novembre s'était rallié à la position de principe qui avait été très fortement exprimée par le président Nicolas Sarkozy dans son discours de Grenoble en 2010" mais "ces dernières semaines les hésitations et tergiversations de la majorité ont suscité dans le débat public une certaine confusion (...) Disons-le vraiment, sans faux semblant, en l'écrivant directement dans la Constitution: (la déchéance de nationalité) pour tous les terroristes, en veillant autant que possible, à ne pas créer d'apatrides, qui ne peuvent être expulsés nulle part".
reb/ic/bir
Dépêche de l'AFP (Agence France Presse) rendant compte de la position de Guillaume Larrivé dans l'Hémicycle dans la nuit de lundi à mardi
GOUVERNEMENT-PARLEMENT-ASSEMBLÉE-CONSTITUTION-ATTENTATS
Révision constitutionnelle: pas de dissolution de l'Assemblée pendant l'état d'urgence, votent les députés
08/02/2016 20:48:03 GMT+01:00
#576056 DVBP 2049 KUZ64 (4) AFP (446)
PARIS, 8 fév 2016 (AFP) - L'Assemblée nationale se réunit de plein droit et ne peut être dissoute pendant l'état d'urgence, ont voté lundi les députés dans la révision constitutionnelle, au grand dam du gouvernement et de la droite, qui souhaitaient une disposition maintenant "l'équilibre" entre pouvoirs exécutif et législatif.
Lors des débats sur l'article 1 du projet de loi, les députés ont adopté un amendement de Sébastien Denaja, l'un des vice-présidents du groupe socialiste, prévoyant la réunion de plein droit de l'Assemblée, afin qu'elle joue son rôle de contrôle de l'action du gouvernement, et l'interdiction de la dissolution, qui est une prérogative du président de la République.
La commission des Lois de l'Assemblée s'était prononcée la semaine dernière pour ces deux mêmes principes.
Mais le gouvernement est opposé à l'interdiction de la dissolution. "Rendre impossible toute dissolution, alors même que la possibilité de censure du gouvernement demeurerait possible et que simultanément le fonctionnement réguliers des pouvoirs publics ne serait pas interrompu, pose problème", a plaidé le gouvernement, dans l'exposé d'un autre amendement, déposé à la dernière minute lundi.
Cet amendement gouvernemental visait plutôt à ce que l'état d'urgence soit caduc "à l'issue d'un délai de quinze jours francs suivant la date de la démission du gouvernement ou de la dissolution de l'Assemblée nationale".
"Il faut maintenir l'équilibre entre les pouvoirs exécutif et législatif", a plaidé dans l'hémicycle le nouveau garde des Sceaux, Jean-Jacques Urvoas.
Le rapporteur Dominique Raimbourg (PS) l'a soutenu, de même que Guillaume Larrivé (LR) et Jean-Christophe Lagarde (UDI) au nom du même "équilibre".
A l'inverse, la vice-présidente de l'Assemblée Sandrine Mazetier (PS) a jugé qu'adopter la proposition gouvernementale serait "hasardeux". Son collègue Sébastien Denaja a ironisé: "si dans deux jours - cas d'école - il y a un remaniement" avec une démission de tout le gouvernement et du Premier ministre, est-ce que dans 15 jours la prolongation de l'état d'urgence serait caduque?
Son amendement a été finalement adopté. Alors que le président de l'Assemblée Claude Bartolone allait mettre au vote l'amendement gouvernemental, la secrétaire générale de l'Assemblée Corinne Luquiens -qui devrait prochainement devenir membre du Conseil constitutionnel sur sa proposition-, lui a soufflé qu'il était "tombé", c'est-à -dire qu'il ne pouvait plus être mis aux voix vu l'adoption du précédent.
Le gouvernement peut encore faire procéder à un nouveau vote d'ici la fin des débats sur le projet de révision constitutionnelle.
Après avoir rappelé qu'une majorité des 3/5e du Parlement était requise pour adopter la révision constitutionnelle, M. Larrivé a prévenu que "l'amendement socialiste pose une grave difficulté au groupe Républicains en son entier" car il modifie "l'équilibre inhérent à la Ve République".
Plusieurs écologistes, comme Barbara Pompili ou Denis Baupin, sur Twitter ont salué l'interdiction de dissolution.
reb/ic/cam
"Chrismi", au lieu de cracher votre bile , renseignez-vous un peu !
vous savez lire ?
Larrivé est un député hyperactif, sur ce sujet constitutionnel comme sur tous les autres
https://www.nosdeputes.fr/14/guilla...
103 députés « pour », 26 « contre », 7 abstentions. Soit 441 députés absents lundi soir pour voter l'inscription de l'état d'urgence dans la Constitution.
J'espère que Larrivé était présent !
Le monde politique se fout vraiment de tout.
Un travail remarquable... soit. Pour l'instant collège fermé, gymnase no comment, il est à Paris : combien d'entreprises a t'il attiré au juste ? A t'il déjà travaillé dans une entreprise, au fait ? Voilà . On ne retiendra de ce premier (seul ?) mandat que deux coups minables, celui-ci et la réélection de Villiers pour une jalousie politique. Stop ou encore ? Moi c'est clair : stop. Ne vous étonnez pas que le FN fasse des scores délirants en 2017 quand on voit comment la droite traditionnelle se comporte avec les électeurs.
Maurice 89 oui JPS était visionnaire ( même lorsqu'il a accepté un poste de Ministre sous Miterrand ) alors même qu'il était raillé par les amis de Larrivé mais qu' à fait Sarkosy si ce n'est d' appeler des socialistes au gouvernement
les même qui critique F.bayrou
Fais ce que je dis mais ne fais pas ce que je fais
guillaume fait un travail remarquable a paris comme a auxerre que ceux qui sont jaloux de sa reconnaissance par n Sarkozy ouvre les yeux et verront que JPS a bien faitde le choisir comme successeur lui au moins voyait clatr
Sarkozy et Larrivé, les 2 mêmes.
Une soif du pouvoir et un égo surdimensionné.
Adhérents de LR, on en veut pas.
Larrivé restez à Paris, vous êtes indésirable dans l'Yonne.
Les militants LR89 apprécieront la petite manoeuvre
Je viens d'apprendre que la mairie d'Auxerre va fermer deux écoles : Temple et Martineau-des-Chesnez ! C'est incroyable mais quand je vois ce que le président du conseil général a enduré lorsqu'il a osé évoquer la fermeture d'un collège (probablement Bienvenu Martin, d'après ce que j'ai compris) : je me dis qu'une fois de plus, il y a deux poids deux mesures. La gauche auxerroise est une grande donneuse de leçon, mais quand elle est acculée, elle est obligée elle aussi de faire preuve de pragmatisme, simplement elle a souvent un temps de retard. Transports payant dans l'agglo d'Auxerre, fermeture de deux écoles pour des travaux étanchéité, ça ressemble furieusement aux mesures prises par Villiers pour optimiser le budget départemental… On verra si Ferrez subira lui aussi les même attaques ! Les élèves des écoles fermées seront regroupés à l'école des Boussicats… propriété du conseil général ! Décidement la ficelle est un peu grosse.
On sent la bonne ambiance à droite, la joie ! Villiers dans le déni "jusqu'à l'absurde" habituel (mes énormes erreurs c'est la faute du maire, de l'État, de bidule...) mais sauvé par un jeune loup en roue libre, en guerre contre "l'icaunie" politique aux manettes, et accessoirement contre un jeune plus à l'aise qui luo a clairement volé la vedette... N'en jetez plus ! On entend bien les remarques des camps, surement des intéressés eux mêmes... Et nous, dans tout ça ?
Décidément j'adore ce site, merci une nouvelle fois à son journaliste...
Il n'est pas responsable des commentaires... Mais Comment taire? ( c'est de la langue des oiseaux... certains connaissent...)
Les parlementaires s'étonnent de ne pas avoir été consulté? C'est ballot ( paquet de marchandises... reste à en déterminer l'origine...)
Wahoo... méga Wahoo... 40% des adhérents se sont déplacés... mais c'est énorme ! Ne poussez pas, non non arrêtez, on va mourir asphyxié ... En tout cas, c'était joyeux j'en pleure encore... de rire
Euh, ça fonctionne comme ça la politique? ça sent encore la grande réflexion...
Sarko n'a pas changé? euh ... et?
untel va devenir untel ou untel? euh.. et?
Cadres historiques... euh...et?
Villiers responsable? Euh.. Oui oui, de la grippe, de l'entorse de mon voisin, du réchauffement climatique, de la disparition des cochons d'Inde, et bien sur de tous les maux de la planète... Il a le dos large ce monsieur... Vais finir par bien l'aimer ce gars là ... Bah c'est vrai quoi, c'est pas tous les jours que l'on trouve quelqu'un pour porter toutes nos plaintes, nos complaisances dans nos petits malheurs... notre bêtise...
Mais oui enfin, si untel a voté pour untel, c'est pour avoir ce truc... ou bien cette chose... Mais oui, si l'autre avais dit non, on aurait eu un truc différent...
Comment taire? Tirez la ficelle qui dépasse, si si, vous verrez, au bout il y a un noeud... celui qui se fait dans les cerveaux...
Villiers lui a du travail, il bosse, il va au charbon... Son département il le tien contre vents et marées... contre tous ceux qui, animés d'envies, de jalousies, ceux (celles?) dotés d'un QI flirtant avec celui d'un mollusque (si si, ça pense un mollusque) n'ont rien à dire si ce n'est crotte, zut, flûte, mazette, diantre...scrogneugneu...
C'est sur on avance...
Guillaume le conquérant non pas nommé comme l'écrit PJG, mais désigné ! tel est la méthode du bon roi Sarko...il restera au désigné en herbe, après avoir tiré du fond de la Puisaye les fantassins républicains, les chasseurs icaunais n'est-ce pas . On ne peut qu'en rire de ces manœuvres désopilantes, il y a deux jours, PJG, nous en mettait déjà une couche, là on lui donne une nouvelle étoile !!!
Plus sérieusement, comment après les demandes répétées des citoyens au sortir des derniers attentats éprouvant enfin un rassemblement des forces vives de la nation pour regagner la confiance nécessaires dans notre politique. Il nous reste à donner nos bulletins dans le bon sens d'une volonté commune à virer ces affamés du pouvoir à l'image de ce qui se passe en Espagne...!
Larrivé n'est pas Jean-Pierre Soisson
Si il a voté pour Villier c'est uniquement pour entretenir l' électorat de JPS en Puisaye-Forterre
C'est un arriviste qui se fout du terrain sont seul objectif c'est Paris (pour Morvan89 : à l'intérieur ou à la justice )
Le seul problème c'est qu' il n' a pas choisi le bon cheval , Sarkosy ne sera pas Président .
Guillaume Larrive est extrêmement décevant, déconcertant. Rompant avec le centre qui lui aurait donné la victoire à Auxerre, puis faisant réélire Villiers dont chacun sait ce qu'il a créé dans l'Yonne (énormes difficultés dans la gestion, les finances, le suivi des dossiers, département dernier dans quasi toutes les catégories), le tout au détriment d'un jeune sénateur, de son camp. Il démissionna de la tête de l'UM où il était fortement contesté pour s'imposer par une manoeuvre comme numéro, via Paris. Franchement, ma déception est immense, j'attendais de lui autre chose que cet enchaînement de décisions purement politiciennes, au détriment des icaunais et de la droite.
Peu à peu Larrivé fait l'unanimité contre lui dans l'Yonne, des cadres historiques de l'Udi en passant par le Modem, Lr, et un FN en embuscade. Villiers le lâcherait t'il déjà (fermeture politiquement suicidaire du collège...) contre la députation ? Le dernier "grand" de la droite a avoir lancé une guerre à son camp c'etait... jMR !
Larrivé aura Paris, mais aura t'il à nouveau sa circonscription en 2017 ? Sa guerre contre LR 89 va mal finir.
Le rédacteur n'a pas du se rendre au bureau des élections samedi dernier. Il aurait vu la bonne ambiance qui y régnait pour ces élections locales : Guillaume Larrivé a été élu président du comité de circonscription de la même façon que Jean-Baptiste Lemoine a été élu président départemental. Preuve que les Républicains Icaunais ont pardonné à ce dernier sa trop grande proximité avec JF Copé et l'affaire Bygmalion. Les Républicains dans l'Yonne sont tombés d'accord pour travailler ensemble. Et les militants, dans leur grande majorité s'en félicitent. Ils l'ont montré samedi. Je comprends que certains voudraient souffler sur les braises . Mais qu'ils fassent attention au retour de flamme ....!
Mes prévisions : Mr Guillaume Larivé futur ministre de l'intérieur de Nicolas Sarkozy (si celui ci est élu, rien n'est moins sûr).
Ah voilà la grosse activité des politiques français: "pousse toi de la que je m'y mette"
C'est sur on voit bien que cela va aider la situation économique..... Chômeurs soyez confiants , ils ne sont pas prêt de s'occuper de vous! Et une fois que l'on a la place, il y a la machine à sous qui clignote.......
"J'ai changé" dit Monsieur Sarkozy dans son dernier livre.
Mais en fait non. Il nomme ses sbires pour quadriller et tenter de verrouiller le vote de la primaire ouvert à tous les sympathisants de droite...