La Wi-Fi est en libre accès dans une partie du centre-ville (zone piétonne, Cordeliers et rue du Temple) et sur les quais de l'Yonne.
Il suffit de créer un identifiant et de créer un mot de passe pour se brancher sur le réseau national Wifilib qui desserty de nombreuses villes dont Dijon dès la rentrée de septembre. Une fois l'identifiant rentré, plus besoin de de réécrire dans les cités branchées sur le même réseau.
 
Une dizaine de bornes a été déployée au mois de juin, par la société Afone, fondatrice du réseau WifiLib. Elles permettent aux particuliers de bénéficier gratuitement d'une connexion, le dispositif étant financé par la municipalité à hauteur de 30 000 euros par an. La plateforme offre un accès à Internet, aux informations de la collectivité et, d'ici la fin de l'année, à la télé en ligne.
 
D'abord réticent en vertu du principe de précaution, enfin rassuré par la question de l'éventuelle nocivité des ondes, le maire assure que la fracture numérique ne passe pas par l'équipement mais par la capacité d'utiliser les outils de manière appropriée et pertinente.

Ce premier déploiement sera suivi d'un second en 2017. Avec, entre les deux, l'équipement de la Plaine-des-Isles, à proximité de l'IUT, pour la rentrée scolaire. Dans un an, les rues de Paris, du Pont et Joubert, la place de l'Arquebuse, la plaine des sports, le Silex et Auxerrexpo seront à leur tour raccordés.

Ce déploiement s'inscrit dans le cadre plus large du schéma directeur numérique de la Ville, qui prévoit une soixantaine d'actions sur l'ensemble du mandat 2014-2020. Parmi lesquelles, outre l'accès gratuit au Wi-Fi, la refonte du site de la Ville, la création d'un portail famille, ou encore la mise en place d'une pédagogie autour de l'usage du numérique dans les écoles de la cité.

Un jeune Community manager, Cédric André-Théodore a été recruté, dans le cadre d'un contrat d'accompagnement dans l'emploi (CAE), le 1 er avril dernier. Community manager de la Ville, il est notamment chargé de la gestion des comptes de la cité sur les réseaux sociaux.

 

 

Ce que nous connaissons aujourd’hui comme la Tour de l’Horloge était auparavant la Lormerie, résidence des ouvriers qui travaillaient les ornements équestres comme les selles et les brides (DR)