Délégués

 

Pascal ALLAIN,

Simone HOFFMANN,

Emmanuel RONOT,

Capucine VIGEL,


Charles FONTAINE,

Pascale JEANNET,



Maryline SAINT-ANTONIN (opposition liste Larrivé)

Sébastien DOLOZILEK (opposition liste Larrivé)

 

À chacun de spéculer et chercher à deviner pour qui votera chaque délégué le 17 décembre. Un exercice hasardeux si l'on sait que tous les candidats ne sont pas encore connus.

Néanmoins, AUXERRE TV se risque : une nette majorité pour Mafoud Aomar candidat putatif, suivi de Dominique Vérien.

Il est utile de préciser que des élections sénatoriales auront lieu dans l'Yonne après les municipales de 2020, pour le renouvellement des deux sièges. À moins qu'un soit supprimé d'ici cette date dans le cadre de la loi sur la moralisation et la modernisation de la vie publique.

 

Candidats déclarés : Aurélie Berger (LR depuis le 1er janvier 2017) suppléante de Henri de Raincourt, maire de Gurgy, conseillère communautaire de l'agglomération de l'Auxerrois. Dominique Vérien présidente de l'UDI 89, présidente des maires ruraux de l'Yonne, maire de Saint-Sauveur, conseillère régionale d'opposition. Gilles Sackepey, maire d’Etivey, candidat des Communistes, Républicains, citoyens, écologistes (CRCE).


Candidats pressentis : Pascal Germain (DVD) président de la comcom d'Avallon-Vézelay-Morvan se tâte pour y aller ainsi que Pascal Henriat président du Modem89, Yves Vecten prêt à servir la République en Marche, Philippe Lenoir maire LR de Magny soutenu par Xavier Courtois conseiller départemental et maire de Massangis et Jean-Noël Loury maire de Val-de-Mercy, ancien conseiller départemental, aujourd'hui monsieur énergie 89 sur orbite, s'y voit bien aussi.

Le nom de Mafoud Aomar, président de l'association des maires de France 89, président de la communauté des communes de l'Aillantais, sans étiquette, ancien chef d'entreprise, est cité par tout le monde depuis le début.

À gauche c'est l'interrogation et la désolation. Mais on assure qu'il y aura un candidat fut-il de témoignage. Le maire DVG de Joigny Bernard Moraine, qui fut candidat en 2014 et obtint un score plus qu'honorable, a fait savoir depuis longtemps qu'il n'irait pas.

Tout se jouera dans la dernière ligne droite c'est-à-dire à partir du 1er décembre voire plus tard. En attendant, beaucoup ratissent le terrain par l'exercice intelligent de leurs fonctions et mandats.
L'élection sénatoriale n'est comparable à aucune autre. Élection au deuxième degré, ce sont les arrosés qui élisent leurs arroseurs

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Suppléants

 

Marie-Thérèse CATHERIN,

Alain BERNIER,

Sylviane BOURRAT,

François IMBERT,

Andrée BLANCHARD,

Bernard BREMONT,

Anne-Marie VRANESIC,

Philippe MORISSON,

Marie-Thérèse NICOLAS,

Pierre CHARPENTIER,

Marie-Hélène VOLOT,

Philippe ANDRE,

Catherine JAPIOT

Jacques PETIT

 

Le siège d'Henri de Raincourt est à pourvoir le 17 décembre. Le mandat de sénateur peut mener loin ... Les deux sièges de sénateurs de l'Yonne sont restés à droite le dimanche 28 septembre 2014, même si Jean-Baptiste Lemoyne se présentait contre l’avis de l’UMP. Le nouveau sénateur divers droite indépendant, ancien protégé du sénateur Henri de Raincourt, s'est payé le luxe de devancer son mentor. (DR)

 

 

Pourquoi Jean-Baptiste Lemoyne s'est-il brouillé avec Henri de Raincourt ?

 

Jean-Baptiste Lemoyne, 37 ans, était candidat dissident face à son ancien mentor, Henri de Raincourt. Jean-Baptiste Lemoyne s’est offert le luxe de devancer l’UMP Henri de Raincourt, dont il a longtemps été le dauphin désigné avant de se brouiller avec lui. Leurs chemins se sont séparés suite à des  divisions internes à l'UMP, Henri de Raincourt ayant soutenu François Fillon lors de la bataille pour la présidence du parti.

"Depuis deux ans, on me fait payer le fait que Jean-François Copé est arrivé en tête dans l'Yonne aux élections internes de l'UMP alors que M. de Raincourt supportait François Fillon", expliquait Jean-Baptiste Lemoyne avant l'élection.

Aujourd'hui, Jean-Baptiste Lemoyne est secrétaire d'État dans le gouvernement Philippe. Sa suppléante, Noëlle Rauscent, maire de Domecy-sur-Cure, lui a succédé au Sénat.

 

Principes généraux

 

Les 348 sénateurs sont élus au suffrage universel indirect par environ 162 000 grands électeurs. Dans chaque département, les sénateurs sont élus par un collège électoral de grands électeurs formé d'élus de cette circonscription : députés et sénateurs, conseillers régionaux, conseillers départementaux, conseillers municipaux, élus à leur poste au suffrage universel*.

Un sénateur est élu pour un mandat de 6 ans.

Le nombre de sénateurs élus dans chaque circonscription varie en fonction de la population : 1 sénateur pour la Lozère, 5 dans le Bas-Rhin et 12 à Paris.

Les modes de scrutin

Selon le nombre de sièges à pourvoir, les sénateurs sont élus au scrutin uninominal majoritaire à deux tours (circonscriptions désignant 1 ou 2 sénateurs) ou au scrutin de liste à la représentation proportionnelle (circonscriptions désignant 3 sénateurs ou plus.)

 

L'escalier du Sénat (DR)


L'Escalier d'honneur. Le premier escalier d'honneur du Palais du Luxembourg n'existe plus, il a été détruit et déplacé par l'architecte Chalgrin entre 1800 et 1803 de la partie centrale du bâtiment vers la partie ouest au moment de la construction de l'Hémicycle. Ce nouvel escalier d'honneur à pris la place de la "galerie de Rubens" dont les vingt-quatre toiles sont aujourd'hui exposées au Musée du Louvre.