Lorsque Hollande a lu l'éditorial de Marianne, il a dû se précipiter sur un flacon de Tranxène. A part l'appui de Béhachel, quoi de pire comme soutien que l'apôtre de la Nouvelle Gauche (nouvelle depuis plus de cinquante ans, ça commence à faire), qui s'est toujours trompé sur tout et continue avec opiniâtreté de se tromper sans jamais rendre de compte (c'est un privilège réservé aux éditorialistes. Mitterrand le disait avec humour: "quand un homme politique se plante, il est battu aux élections suivantes; quand c'est un journaliste, il devient rédacteur en chef")