La décision est tombée : le tribunal administratif suspend mais n'annule pas l'arrêté municipal du 12 décembre 2016, interdisant l'épandage de pesticides afin de réduire les risquées liés à l'utilisation des produits phytosanitaires sur une parcelle située à proximité du centre aéré. Avant de juger au fond, le TA renvoie la patate chaude au préfet pour qu'il agisse si de besoin