Le plus remonté et percutant fut André Villiers, conseiller du canton de Joux-la-Ville et député UDI.  Pour ce dernier c'est "une mesure prise par des technocrates sur le périphérique parisien en dépit du bon sens." Derrière les 80 km/h se dessine clairement le malaise de la fracture territoriale et la problématique de la mobilité