Entre les deux parties, direction, politiques et pompiers, au vingtième jour de grève, c'est toujours l'incompréhension totale. D'un mot, plus ils se rencontrent pour discuter, et moins ils se comprennent. Y'a quand même un vrai problème. Les uns parleraient-ils hébreu et les autres chinois... ? Entre hommes responsables de bonne volonté n'est-il pas possible de s'entendre ?