mardi 14 février 2012
Le mardi 14 février 2012, 16:40 - CULTURE
Il
s’appelait Ricard Guino, et des images de femmes
bondissaient de ses mains, pétries ou arrachées à la matière. Des femmes belles
et pulsantes de vie, de sensualité, d’érotisme aussi. Des femmes sur les
courbes desquelles se lovait le soleil. Des femmes pour le regard et le toucher
de l’homme, pour le confort de leurs enfants, pour leur propre triomphe. Il
était un tel magicien que le grand Maillol,
alors déjà un maître de la sculpture qui n’avait plus à faire ses preuves, l’a
voulu pour assistant
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