POLITIQUE
Guillaume Larrivé parle "Culture" à Saint Germain
le samedi 15 février 2014, 20:55 - POLITIQUE - Lien permanent
C'est un peu la mode. Au delà d'un meeting "global" de présentation de la liste et de l'ensemble du programme, tous les candidats aux prochaines municipales se plaisent à organiser des réunions ou des conférences de presse "à thèmes". C'était le cas pour Guillaume Larrivé dans la salle de conférences de l'abbaye Saint Germain
Il en profite pour s'entourer de certains de ses "coéquipiers" plus particulièrement intéressés par ces questions. Au premier rang desquels Laurence Tricoche-Rauline, normalienne, agrégée de lettres et qui serait l'adjointe chargée de la Culture et des Affaires scolaires en cas d'élection. Mais également, le Dr Guy Bègue, président des "anciens élèves du lycée Jacques Amyot", Stéphane Azamar-Krier, créateur d’entreprise et président de l’Horloge Magazine, Edmond Perquis, président de "Let The Music Play".
Après avoir établi un "état des lieux" dans lequel "tout n'est pas à rejeter", Larrivé tente de répertorier les points forts d'Auxerre et aussi quelquefois leur "insuffisante exploitation". Il se refuse "dans le domaine culturel comme ailleurs à niveler par le bas". Il veut au contraire utiliser le patrimoine, mais aussi le talent des "créateurs", le "foisonnement des idées" pour "tirer la aussi Auxerre vers le haut". Il tient en particulier à imaginer un "événement culturel Auxerrois" qui dépasse la simple ville, la Bourgogne, qui devienne un "marqueur National" dont on parle.
Concrètement il propose, dés son élection et "après avoir régler les délicates questions budgétaires", d'organiser des "Assises culturelles dès l'automne", sous la direction de Laurence Tricoche-Rauline, pour définir "avec le mouvement associatif, au delà avec tous les Auxerrois se sentant concernés" une véritable charte culturelle pour Auxerre et son rayonnement extérieur plus affirmé.
A l'occasion de cette réunion, Edmond Perquis a par ailleurs présenté un projet de "pass culture" pour les jeunes permettant l'accès pour une somme très modique à toutes les formes d'expression culturelles de la ville. Stéphane Azamar-Krier a insisté sur l'importance du mumérique évoquant "l'institut culturel de Google".
J-L.H
Commentaires
Pour la culture, Larrivé n'a qu'à demander conseil à son copain Villiers, il a dans sa manche un personnage d'exception, un animateurt fort en gueule qui a causé de sacrés coups d'éclat...
M. Larrivé a un esprit clair et précis.
Ses propos sur la culture sont raisonnables, ambitieux mais réalistes.
Il mérite notre confiance.
bla bla bla... encore des mots, toujours des mots, les mêmes mots... paroles paroles, paroles et encore des paroles !! Dalida sors de ce cooorps lol
Cela me fait rire de voir les gens crier au scandale quand des idées surgissent...
Des nouvelles idées qui seront faites dans la concertation. Une vraie concertation, avec les associatifs, les professionnels. Ces assises de la Culture sont d'une évidence.
La mairie ne fait rien pour la ville. J'entends parler du Catalpa. Bel idée mais bien trop coûteuse car gratuite. Trop de gratuit tue le gratuit. J'y vais au Catalpa parce que c'est gratuit. Mais j'aimerais y voir de l'ambition en terme de programmation. Mais les contraintes que la ville semble mettre sur les equipes du silex sont politiques à en vomir.
Changeons.
Parlons en du Silex et du Catalpa.
Deux institutions qui pèsent sur les budgets de la mairie. Beaucoup trop.
Le Conservatoire en souffre plus que tout et les associatifs n'en parlons pas.
Je trouve ces arguments peu fondés. Chercher un peu plus loin que ce qu'on vous dit.
Monsieur Ferez, votre temps est révolu. La jeunesse doit à présent être le nouveau moteur d'Auxerre avec des gens compétent qui ont déjà travaillé correctement pour la municipalité.
Ce que j'aime chez Guillaume Larrivé, c'est qu'il a de l'ambition pour notre ville et qu'il est sérieux.
Il ne fait pas de promesses impossibles mais il ne veut pas non plus renoncer à changer les choses à Auxerre.
Il a une expérience impressionnante pour un homme de 36 ans : ESSEC, ENA, membre du Conseil d'Etat, directeur de cabinet adjoint du ministre de l'intérieur, conseiller du président de la République, maintenant député...
Tout cela lui donne des connaissances et des réseaux dont la municipalité actuelle est bien dépourvue.
Et quand il choisit une dame agrégée de lettres, docteur en lettres, normalienne, pour être adjointe à la culture à ses côtés, il fait aussi le choix de la compétence !
Je pense que Ferez doit partir ABSOLUMENT.j
Mais je crains que Guillaume Larrivé, pourtant très inquiet de l'état des finances municipales ne s'engage, comme tout homme politique dans des promesses inutiles et irréalisables. Pour un mécénat, il faut des entreprises... A-t-il la moindre idée pour qu'Auxerre devienne un pôle d'attraction..
Son équipe pour la culture laisse totalement rêveur... Mme Rauline est certainement qualifiée.... Pour les autres, on sourit... Un bon docteur, a la veste réversible, qui avait défilé avec "touche pas à mon pote "avec Harlem Désir, un jeune homme charmant mais très jeune et trop impliqué à bâtir sa propre entreprise... À l'étranger.!
Le problème de Guillaume Larrivé , c'est avant tout son entourage.. Jeune, il s'est fait circonvenir par beaucoup d'ambitions éparses '.
. jean-Pierre Soisson, son modèle, n'a pas laissé que des bons souvenirs et n'a pas fait grand chose pour nous hormis nous apporter la gauche sur un plateau.
Cela dit, comme dans toutes les élections, je ne voterai pas POUR mais CONTRE un candidat.... Un vote par défaut , donc.... C'est désespérant
Il y avait un événement culturel qui s'était forgé une très belle réputation nationale et même plus à Auxerre... Qui se souvient du festival "Musique et Cinéma"???
Malheureusement le financement de ce très beau festival a été abandonné par M. Rolland, alors président du conseil général... (M. Rolland, membre de l'UMP comme M. Larrivé...)
C'est bien beau de parler de développement de la culture, alors que l'équipe municipale actuelle est à l'origine du Silex, la salle de musiques actuelles... Elle a également remplacée le festival Aux z'arbs, par le Catalpa Festival, festival de musique gratuit en plein coeur de l'arbre sec...
Ce ne sont pas les exemples qui manquent concernant la culture pour M. Ferez et son équipe...
Mais M. Larrivé va tout révolutionner, c'est un "sauveur" pour certains auxerrois, qui tombent de le piège des promesses impossibles à tenir: comme le dit si bien Jeff... il est prestidigitateur M. Larrivé????
C'est drôle... Ces candidats au pouvoir dénoncent les caisses vides, l'endettement, et les charges de fonctionnement excessives.
En même temps, sans rire, ils promettent monts et merveilles en matière de culture, qui, enfin, débarquerait à Auxerre la belle endormie .... ben voyons
Le summum est atteint lorsqu'on écoute ou lit Guillaume Larrivé en gestionnaire responsable : il n'y a aura pas d'aumgentation d'impôt pendant son mandat, promis juré, les Auxerrois sont surtaxés cqfd
On voudrait bien savoir comment ils vont développer la (vraie) vie culturelle si les caisses sont vides et qu'il n'y aura rien pour les alimenter, dès lors que par surcroît, les dotations de l'État diminuent ...!
Ah oui, on oubliait.... ce sont des prestidigitateurs.
Je suis content pour Auxerre si Larivé gagne car il pourra changé cette ville qui meur. Le maire actuel laisse tro les jeunes dans la rue c bien qu'il puisse y avoir des projet culturels. Les quartiers sont avec vous Mr Larivé!
Oui, que de bonnes idées pour tirer Auxerre vers le haut, refuser le nivellement par le bas. La deuxième partie du discours de Guillaume larrive est un bel exemple de l'espoir qu'il redonne pour Auxerre. Un projet phare pour notre ville, de qualité mais aussi ouvert au plus grand nombre, élitiste mais populaire. Quel beau challenge. Si je peux me permettre un conseil : Guillaume, diffusez largement ce beau discours qui montre l'écart entre l'équipe municipale actuelle et celle a laquelle nous aspirons.
Comme cela fait du bien ! La culture serait enfin accessible au plus grand nombre. La jeunesse de cette équipe nous redonne l'espoir de l'imagination au pouvoir, celle qui prouvera que l'argent n'est pas le seul moteur pour développer l'offre culturelle. Leur motivation, leur implication et le dévouement de la future équipe culturelle semblent être les garants d'une nouvelle politique culturelle sans augmenter les impôts. Auxerre possède un beau patrimoine sous exploité : que l'abbaye saint germain vive, avec la participation d'un plus grand nombre d'Auxerrois. Que les habitants des quartiers viennent découvrir ce qu'il y a de plus beau dans leur ville. Stop a la culture réservée aux cultureux !
le foot-ball se cachant provisoirement parmi les clus de patronnage, il est tout à fait possible qu'auxerre remonte son image grâce à la culture dont les réserves ne demandent qu'à se révéler.
Voilà , on y est, l’homme sort. Il sort du bois avec un sujet combien important mais bien secondaire dans l’échelle des tâches, des impératifs pour les citoyens de la ville ; la culture. Dans l’éventail des sujets à hautes responsabilités sans tout de meme le dénigrer, ce domaine ne peut que rendre le débat de projets contre projets, au ras des pâquerettes. Cet homme parait dans son éloquence ecclésiastique, prêchant dans un amateurisme inquiétant l’illusion, le rêve, l’aberration.
Présentant son équipe de choc pour cette délégation, allant de conservation, de création, en rayonnement pour finir par lâcher l’idée saugrenue d’une attache à Google pour éclairer par un évènement connecté comme la gastronomie, le livre en appel au mentor, son grand parrain, l'image d'Auxerre. Il faudra faire appel aux crédits, au mécénat, pour un projet sur on ne sait pas quoi, mais dont il faudra trouver l’idée. Cela bien entendu dans le but principal d’échapper à la routine culturelle de la ville car nul, n’a le monopole de la culture. Dans une critique acerbe, allant jusqu’à craindre les cadavres dans les armoires budgétaires de la ville, il fait montre d’une inquiétante candidature au poste de Maire de la ville pour avoir à traiter des domaines économiques, sociaux, de santé, scolaire, de transport et circulation, d’urbanisme et de développement, d’environnement, déchets, eau, assainissement, et culture…
je ne peux pas m'exprimer officiellement car je travaille à la ville
guillaume Larrivé nous redonne espoir
il nous respecte et surtout il va nous permettre de faire le travail que nous aimons
nous en avons assez des gens non compétentss qui sont encore a la tête de la ville
nous avons beaucoup d'espoir dans guillaume larrive
Merci à Auxerre TV de nous faire revivre ce débat de très bonne qualité.
Je n'avais pas pu y assister.
Je remarque, avec joie, que Monsieur Larrivé et les personnes qui l'entourent sont passionnées par la culture. Leur CV est impressionnant et contraste avec ce que nous devons subir depuis tant d'années à Auxerre...
S'ils arrivent aux responsabilités dans quelques mois, Auxerre va enfin revivre et rayonner. Les musées, la bibliothèque, les spectacles... Vivement demain !