Il en profite pour s'entourer de certains de ses "coéquipiers" plus particulièrement intéressés par ces questions. Au premier rang desquels Laurence Tricoche-Rauline, normalienne, agrégée de lettres et qui serait l'adjointe chargée de la Culture et des Affaires scolaires en cas d'élection. Mais également, le Dr Guy Bègue, président des "anciens élèves du lycée Jacques Amyot", Stéphane Azamar-Krier, créateur  d’entreprise et président de l’Horloge Magazine,  Edmond Perquis, président de "Let The Music Play".

Après avoir établi un "état des lieux" dans lequel "tout n'est pas à rejeter", Larrivé tente de répertorier les points forts d'Auxerre et aussi quelquefois leur "insuffisante exploitation". Il se refuse "dans le domaine culturel comme ailleurs à niveler par le bas". Il veut au contraire utiliser le patrimoine, mais aussi le talent des "créateurs", le "foisonnement des idées" pour "tirer la aussi Auxerre vers le haut". Il tient en particulier à imaginer un "événement culturel Auxerrois" qui dépasse la simple ville, la Bourgogne, qui devienne un "marqueur National" dont on parle.

Concrètement il propose, dés son élection et "après avoir régler les délicates questions budgétaires", d'organiser des "Assises culturelles dès l'automne", sous la direction de Laurence Tricoche-Rauline, pour définir "avec le mouvement associatif, au delà avec tous les Auxerrois se sentant concernés" une véritable charte culturelle pour Auxerre et son rayonnement extérieur plus affirmé.

A l'occasion de cette réunion, Edmond Perquis a par ailleurs présenté un projet de "pass culture" pour les jeunes permettant l'accès pour une somme très modique à toutes les formes d'expression culturelles de la ville. Stéphane Azamar-Krier a insisté sur l'importance du mumérique évoquant "l'institut culturel de Google".

J-L.H