Des voyages en train à l'excès de vitesse en voiture, en passant par les
courses au supermarché et l'affaire du tweet, retour en images sur les
coups de com' et les ratés d'un président "normal"
C'est d'la com !! qu'elle dit ma concierge
Reste à savoir si c'est de la com-munication ou de la com-édie. D'aucuns diront que c'est du pareils au même, du "blanc bonnet" ou du "bonnet blanc". D'autres diront que c'est une rhétorique politique avec l'emploi pléthorique de termes que chacun pourra entendre comme bon lui semble.
Le fond du problème est dans l'impuissance des gouvernants à agir sur les évènements réels. Alors "quand un mystère nous dépasse feignons d'en être les organisateurs". Ce qui importe c'est de donner l'impression qu'il y a un pilote dans l'avion, afin que le bon peuple, en bon troupeau, ailles, sans se poser trop de questions, paître là où on lui suggère de brouter.
Comment dire les choses telles qu'elles sont, sans générer aussitôt une panique, une débandade généralisée, avec ici une fuite des capitaux et là des jacqueries de crèves la faim ? Comment dire que la "Crise" n'est pas simplement conjoncturelle, mais structurelle. Une "Crise" qui marque la fin de l'hégémonie occidentale, que d'aucun nomment "l'empire occidental" ?
On pourrait penser qu'il appartient justement à nos gouvernants d'avoir une vision prospective, sur l'inévitable ré-agencement du monde et de tenter de nous faire espérer en un monde certes nouveau, mais meilleur tout de même. Mais le peuvent-ils, si tant est qu'ils le veuillent ?
Pour le moment, force est de constater, qu'ils utilisent toutes les techniques du marketing politique, pour faire de nous des "électeurs-consommateurs". Mais accepterons-nous encore longtemps de consommer de pareils brouets, concoctés par les sbires de ce 1% des gens, qui détiennent 30% des richesses. Des sbires qui eux forment ces 20% des gens qui détiennent 80% des richesses. Comment dans une telle hiérarchie, où les classes moyennes ont été laminées pour rejoindre la cohorte des consommateurs à crédit, comment imaginer que les gouvernants peuvent faire autrement que de tenter de préserver les intérêts de leurs commanditaires ?
Après que d'aucuns nous aient suggéré de nous "indigner", peut-être est-il temps de "plus-que-s'indigner" et de passer au refus de consommer les "salades" servies par les "cartels politico-médiatiques". En renouvelant la classe politique où chacun ne détiendrait qu'un mandat de la part d'électeurs, auxquels il devrait rendre des comptes directement. En renouvelant la classe médiatique, où les mass média ne seraient plus contrôlés par des puissances financières.
Pour le moment la collusion "politico-médiatique" est telle, que l'on en vient à utiliser cette "novlangue orwellienne", où par la puissance des mots, on en viendrait à supprimer toutes idées de critique, pour conduire le "plus-grand-nombre" dans un processus à la Léo Strauss. Tout ça pour cacher l'horrible vérité : dans le monde multipolaire qui se présente, les anciens "maitres" devront partager les richesses qu'ils ont accaparer.
Et nous dans tout ça ? Nous on continuera de galérer comme toujours, ne vous faites pas d'illusions !! Mais un conseil, pourquoi irions-nous prendre fait-et-cause, voire faire la guerre, pour défendre ces intérêts particuliers, sont-ce bien les nôtres ?
Quand le normal vire au ridicule... Si la pitié peut être dangereuse comme l’a très justement écrit Stephan Zweig, la normalité pourrait bien le devenir pour François Hollande. D’accord, Londres et ses JO, c’est devenu Fort Knox mais quand même lorsque l’on est président de la République, on doit pouvoir espérer un traitement un peu particulier, non? Vous les imaginez vous, Mitterrand ou Sarkozy avec un badge ridicule autour du cou, arborant photo, nom et en dessous Président de la France?
C’est pourtant comme cela qu’Hollande est apparu sur toutes les chaînes lors de sa visite à Londres aux côtés d’un David Cameron qui lui, bien sûr, n’en portait pas. Désacraliser la fonction, d’accord, mais ces bains de foule sur les quais de gare- a-t’il désormais sa carte grand voyageur SNCF?- ou sur la place du village avec Valérie dont désormais tout les journalistes savant enfin écrire le nom- merci tweeter- ça commence à vraiment être lassant au point que nous songeons très serieusement à lancer au Pariser un concours à la rentrée de “Qui n’a pas serré la main du président”? Même moi j’y ai eu droit. Alors du côté de Brégançon, soyez prudents et aux autres, bel été…
Pas encore de commentaire ? Il est vrai que nous sommes en pleine période estivale ....
Quand je veux voir un bon film, je vais au cinéma "Le Casino" à Auxerre... bien que toutes les sorties (nombre de salles oblige) ne soient pas offertes aux auxerrois et icaunais.
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C'est d'la com !! qu'elle dit ma concierge
Reste à savoir si c'est de la com-munication ou de la com-édie. D'aucuns diront que c'est du pareils au même, du "blanc bonnet" ou du "bonnet blanc". D'autres diront que c'est une rhétorique politique avec l'emploi pléthorique de termes que chacun pourra entendre comme bon lui semble.
Le fond du problème est dans l'impuissance des gouvernants à agir sur les évènements réels. Alors "quand un mystère nous dépasse feignons d'en être les organisateurs". Ce qui importe c'est de donner l'impression qu'il y a un pilote dans l'avion, afin que le bon peuple, en bon troupeau, ailles, sans se poser trop de questions, paître là où on lui suggère de brouter.
Comment dire les choses telles qu'elles sont, sans générer aussitôt une panique, une débandade généralisée, avec ici une fuite des capitaux et là des jacqueries de crèves la faim ? Comment dire que la "Crise" n'est pas simplement conjoncturelle, mais structurelle. Une "Crise" qui marque la fin de l'hégémonie occidentale, que d'aucun nomment "l'empire occidental" ?
On pourrait penser qu'il appartient justement à nos gouvernants d'avoir une vision prospective, sur l'inévitable ré-agencement du monde et de tenter de nous faire espérer en un monde certes nouveau, mais meilleur tout de même. Mais le peuvent-ils, si tant est qu'ils le veuillent ?
Pour le moment, force est de constater, qu'ils utilisent toutes les techniques du marketing politique, pour faire de nous des "électeurs-consommateurs". Mais accepterons-nous encore longtemps de consommer de pareils brouets, concoctés par les sbires de ce 1% des gens, qui détiennent 30% des richesses. Des sbires qui eux forment ces 20% des gens qui détiennent 80% des richesses. Comment dans une telle hiérarchie, où les classes moyennes ont été laminées pour rejoindre la cohorte des consommateurs à crédit, comment imaginer que les gouvernants peuvent faire autrement que de tenter de préserver les intérêts de leurs commanditaires ?
Après que d'aucuns nous aient suggéré de nous "indigner", peut-être est-il temps de "plus-que-s'indigner" et de passer au refus de consommer les "salades" servies par les "cartels politico-médiatiques". En renouvelant la classe politique où chacun ne détiendrait qu'un mandat de la part d'électeurs, auxquels il devrait rendre des comptes directement. En renouvelant la classe médiatique, où les mass média ne seraient plus contrôlés par des puissances financières.
Pour le moment la collusion "politico-médiatique" est telle, que l'on en vient à utiliser cette "novlangue orwellienne", où par la puissance des mots, on en viendrait à supprimer toutes idées de critique, pour conduire le "plus-grand-nombre" dans un processus à la Léo Strauss. Tout ça pour cacher l'horrible vérité : dans le monde multipolaire qui se présente, les anciens "maitres" devront partager les richesses qu'ils ont accaparer.
Et nous dans tout ça ? Nous on continuera de galérer comme toujours, ne vous faites pas d'illusions !! Mais un conseil, pourquoi irions-nous prendre fait-et-cause, voire faire la guerre, pour défendre ces intérêts particuliers, sont-ce bien les nôtres ?
Quand le normal vire au ridicule... Si la pitié peut être dangereuse comme l’a très justement écrit Stephan Zweig, la normalité pourrait bien le devenir pour François Hollande. D’accord, Londres et ses JO, c’est devenu Fort Knox mais quand même lorsque l’on est président de la République, on doit pouvoir espérer un traitement un peu particulier, non? Vous les imaginez vous, Mitterrand ou Sarkozy avec un badge ridicule autour du cou, arborant photo, nom et en dessous Président de la France?
C’est pourtant comme cela qu’Hollande est apparu sur toutes les chaînes lors de sa visite à Londres aux côtés d’un David Cameron qui lui, bien sûr, n’en portait pas. Désacraliser la fonction, d’accord, mais ces bains de foule sur les quais de gare- a-t’il désormais sa carte grand voyageur SNCF?- ou sur la place du village avec Valérie dont désormais tout les journalistes savant enfin écrire le nom- merci tweeter- ça commence à vraiment être lassant au point que nous songeons très serieusement à lancer au Pariser un concours à la rentrée de “Qui n’a pas serré la main du président”? Même moi j’y ai eu droit. Alors du côté de Brégançon, soyez prudents et aux autres, bel été…
Pas encore de commentaire ? Il est vrai que nous sommes en pleine période estivale ....
Quand je veux voir un bon film, je vais au cinéma "Le Casino" à Auxerre... bien que toutes les sorties (nombre de salles oblige) ne soient pas offertes aux auxerrois et icaunais.