Adémar Boudin, 85 ans, vigneron à la Chapelle Vaulpelteigne, raconte avec verve, les origines de l’appelation Homme mort, un chablis premier cru qui, si le sang des combats à mort avait été versé un peu plus loin, aurait pu bénéficier de l’appelation chablis grand cru.

 

VIDEOCAST réalisé le samedi 19 janvier 2008