Crédit photo: White and Brown

Il cède sa société, basée à Sens, au groupe espagnol Taurus (200 millions d’euros de chiffre d’affaires attendu cette année, environ 1 000 salariés), spécialisé dans le même secteur d’activité et implanté à Oliana, près de Barcelone.

Plusieurs raisons expliquent cette décision.

«Les 18 mois passés en plan de sauvegarde, entre 2008 et 2009, ont laissé quelques traces surtout psychologiques, érodant ma motivation», confesse le dirigeant.

Plantée après un été catastrophique pour les ventes, lâchée par sa principale banque, plombée financièrement avec un trou de 3,5 millions, l’entreprise n’a eu comme autre recours que d’utiliser cette procédure qui gèle la dette et autorise, contrairement au redressement judiciaire, une plus grande liberté d’action pour le management.

 

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