Le bureau départemental de Debout la République de  l’Yonne a reçu Nicolas Dupont- Aignan, Président national et Député-maire de l’Essonne. Il a  visité le site ONIP de Monéteau qui a quitté la rue Maladière à Auxerre pour s’installer dans des bâtiments modernes et adaptés à Monéteau.
Nicolas Dupont-Aignan est diplômé de l’institut d’études politiques de Paris, a une licence en droit, un DESS de gestion de l’entreprise et fait partie de la promotion 1989 de l’ ENA.
Il  a donné une conférence de presse puis présidé une réunion publique,  salle Anna de la Maison Paul Bert en présence de Gérard Serré secrétaire départemental de cette formation. Nous en rendons compte ici avec deux vidéos : la première donne l'intégralité de l'intervention de Nicolas Dupont-Aignan, la seconde les principales questions et réponses du débat.

Pour Dupont-Aignant "Debout la République" n'est pas un parti comme les autres et il invite à "goûter" la différence. Elle résiderait en quelques points majeurs.

L'indépendance de la France, "nous avons toujours combattu la dictature de l'union européenne". C'est un thème qui se voudra "porteur" à l'approche des prochaines élections européennes.

Le rassemblement des Français, "nous voulons redresser la pays en y associant tous les Français, quelles que soient leurs origines ou leurs calsses sociales". L'honnêteté, "nous n'avons jamais varié depuis notre combat contre Maastricht en 1992 avec le gaulliste social Philippe Seguin". L'enracinement local, "nous comptons des centaines d'élus locaux, et notamment des maires de terrain parmi les mieux élus de France"

L'introduction au débat

Le débat

Au cours de cet échange avec le public, Nicolas Dupont-Aignan évoque ici les questions relatives à l'école, la francophonie, la sécurité. Les questions plus locales sur les prochaines élections municipales sont également abordées.

Le débat ne fera pas non plus l'économie d'une réflexion sur "le mariage pour tous", l'intervention au Mali et la politique de la France en Afrique. Mais c'est bien sûr la "sortie de l'euro", le retour à la monnais nationale, la critique de la "pensée unique" et de la "dictature européenne" qui charpenteront ces échanges.