" Le déplacement à Compiègne, en petit comité, a eu la vertu de nous resserrer et de montrer que l'on reste avant tout une bande de copains. On n'en est pas à se faire la guerre, à s'insulter. On va tâcher de garder cet état d'esprit à Gennevilliers, où ce ne sera pas facile."

"De toute façon, personne dans cette équipe n'aime perdre, ça ne nous fait pas marrer d'en être là. On va réagir". (Damien HURÉ, deuxième ligne RCA)

 

Beaune en difficulté

Après cinq matches, les Beaunois ont concédé quatre revers,  trois à l’extérieur dont deux gros éclats avec 76 points au total. Les voici dans le wagon de queue soit une position très éloignée des ambitions du début de saison. « Tout est remis en cause », reprend Sarandao. « On a désormais une grosse pression sur les épaules. Tout est anéanti. On n’est plus dans l’euphorie de l’exercice passé. On est aujourd’hui de la même valeur qu’Auxerre – actuelle lanterne rouge – par exemple. Il ne faut pas se voiler la face. »

L’ancien talonneur du Stade dijonnais n’abdique pour autant pas une seule seconde. « Il faut mettre le bleu de chauffe et se retrousser les manches. Arrêtons de nous trouver des excuses. Il faut appeler un chat, un chat et rester positif. On doit faire bloc. »

Le coach décrète l’union sacrée avant de recevoir Drancy, un rendez-vous dominical pour le moins crucial.