A un mois des élections Européennes, Nicolas Dupont Aignan est venu soutenir Laure Ferrari, tête de liste de son parti Debout la République dans le grand Est. Rencontre à Virey-le Grand, en Saône-et-Loire. 

Nicolas Dupont-Aignan a expliqué les grandes lignes de sa politique. Il critique sévèrement les institutions Européennes et souhaite un retour au franc pour relancer l'emploi et la croissance en France.

À Auxerre, au Mercure, il est venu soutenir Didier Hamelin, numéro 2 sur la liste.

 

 

Les 22 et 25 mai prochain, les citoyens de l'Union européenne éliront leurs députés au Parlement européen.

Mais quel est son rôle et quelles sont les autres institutions qui régissent l'Union européenne. Explications

 

 

 

Sondage : l'UMP devant le FN et le PS aux européennes

 

Selon OpinionWay, 56 % des Français se disent opposés à la suppression de l'euro et à un retour au franc

Vendredi, le dépôt des listes pour les européennes 2014 sera clos. La campagne officielle ne débutera que le lundi 12 mai mais l'étendue des choix soumis au scrutin du 25 mai sera connue. L'entrée dans cette phase électorale va-t-elle susciter un regain de mobilisation pour le vote qui passionne le moins en France? Pas si sûr.

Selon l'étude OpinionWay réalisée pour Le Figaro et LCI du 23 au 25 avril, à un mois du scrutin, un tiers seulement des personnes interrogées (36 %) se déclare «très ou assez intéressé» par la campagne contre 42 % qui y portent peu d'intérêt et 22 % qui s'affirment complètement indifférents. Près de deux tiers des électeurs de François Hollande (62 %), de Nicolas Sarkozy (62 %) ou de Marine Le Pen (64 %) au premier tour de la présidentielle ­signifient leur désintérêt pour les ­européennes.

Abstentionnistes majoritaires

Sans surprise dès lors, OpinionWay estime à 60 % l'abstention pour le cru 2014 des européennes, à un niveau proche des records des éditions 2009 (59,4 %) et 2004 (57,2 %). Les abstentionnistes seraient majoritaires dans quasiment toutes les classes socioprofessionnelles, avec des pointes à 78 % pour les ouvriers, 74 % pour les chômeurs, 72 % pour les salariés du privé. Seuls les artisans, commerçants, chefs d'entreprise (48 %) et les retraités (45 %) seraient susceptibles de se rendre majoritairement aux urnes.