Simone Veil fut une femme politique doublée d'une intellectuelle, elle a laissé une œuvre bouleversante par son exigence philosophique mais aussi par son attention aux malheureux et aux humbles.

 



Lundi 6 février 1978, Simone Veil se rend dans l'Yonne, elle est ministre de la Santé publique. Elle commence sa visite par les salles de l'hôpital Saint-Germain, devenu depuis le lycée du même nom, où résident à l'époque "des vieillards et des malades du poumon, avant de se rendre à Sens".

 

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"La finalité de notre action, c'est en effet la personne humaine, souffrante, deshérité ou affaiblie. Si nous ressentons toutes et tous le poids de cette vérité, de cette responsabilité, nul sans doute ne l'éprouve davantage que l'élu municipal qui, de par l'exercice de son mandat, est au contact permanent desmisères révélées ou cachées ; que le médecin ou l'infirmière placés, chaque jour, au contact direct du malade."

Simone Veil (Ministre de la Santé publique)

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"Nous voulons la vérité dans la conduite de notre économie, la liberté dans l'approfondissement de notre démocratie, l'unité dans la justice."

Simone Veil (Ministre de la Santé publique)

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Instantanés

 

 

Le ministre secrétaire d'État auprès du ministre des Affaires étrangères et des Affaires européennes, Jean-Baptiste Lemoyne, dévoile la plaque du square Simone Veil, place du palais de Justice à Auxerre sous les yeux du maire et du député (DR)