La présidente Marie-Guïte Dufay a introduit le sujet (DR)

 

Bourgogne et Franche-Comté ont entretenu, tout au long de l’histoire, des rapports étroits. La dernière réforme territoriale a décidé de leur regroupement. L’association paraît naturelle. Néanmoins, l’observation des faits révèle une réalité riche et contrastée que s’est attaché à démontrer ce colloque, organisé sous la présidence de Jacques Paviot, professeur d’histoire médiévale à l’Université de Paris-Est Créteil, et de Christine Lamarre, professeur émérite d’histoire moderne à l’Université de Bourgogne.

Après avoir remercié la douzaine d’enseignants qui allaient intervenir, des chercheurs issus des universités de Dijon et de Besançon mais aussi de Lille ou de Metz, Marie-Guite Dufay, présidente de la Région, a donné le coup d’envoi de la journée en déclarant : « La Région que j’ai l’honneur de présider, la Bourgogne-Franche-Comté, n’a que deux ans, mais le processus de rapprochement est un peu plus ancien… »

Ce qu’a pu vérifier le public au fil des interventions qui ont porté sur les deux anciennes régions, du Moyen Age à nos jours, abordant des aspects aussi bien économiques que géographiques, architecturaux, politiques, militaires ou sociaux.

Bon à savoir pour les férus d’histoire qui n’ont pu assister au colloque : les contributions seront prochainement publiées dans la revue Les Annales de Bourgogne.