On ne trouve pas en Bretagne de restes significatifs de temples datant de 5 ou 6 000 ans, mais il y en a en Irlande et aussi, ce qui peut sembler étrange, à Malte.

Les temples bretons ont été recouverts, depuis longtemps, par des constructions chrétiennes qui les ont camouflés tout en se servant de leur énergie, toujours active. On les reconnait au niveau des fondations par la rupture du champ magnétique terrestre. De plus on reconnaît la présence et le croisement, en ces lieux privilégiés, des vibrations de certains métaux très rares au-dessus desquels nos lointains ancêtres plaçaient, toujours, leurs temples.

 

 

 

Le triskel de Pleyber-Christ (il vibre en FA-1 égyptien) est situé au croisement des flux vibratoires du palladium, de l'antimoine, du magnésium, du lithium, de l'or double et du manganèse. L'église actuelle n'existe que depuis 1701 et n'a pas d'intérêt particulier. Elle a fait suite à d'autres églises successives dont la plus ancienne date des années 1400. Il est bien évident que ce lieu a été utilisé depuis l'antiquité puisque le réseau double de l'or y passe, surmonté, ici par le palladium. Il y croise un flux de sélénium et un autre de lithium. Il n'y a rien de plus efficace pour soigner, affirme le géobiologue et architecte Georges Prat.

A Pleyber-Christ, le triskel énergétique se trouve sur un point de rencontre exceptionnel entre le réseau double de l'or, un flux du sélénium et un autre du lithium. Ce flux de double de l'or, à mi-chemin de l'équateur et du pôle nord, est celui qui passe à Chartres et à Strasbourg. Il n'y a rien sur terre de plus énergétique.

Notons que des lieux sacrés semblables sont situés à proximité, à Ploubezré (Chapelle des Kerfons près de Lannion) à Plougrescant (chapelle Saint-Gonery), à Plouha (chapelle Kermaria-an-Iskuit), à Ploumanach (chapelle Notre-Dame de la Clarté) notamment.

"L'observation des lieux sacrés partout sur la planète (mégalithes, monuments, ouvrages de terre, lieux de cérémonie) révèle qu'ils ne sont pas situés au hasard, mais sur des lignes géométriques précises. La Terre est tissée d'un réseau de ces lignes qui sont les manifestations physiques de flux énergétiques. Bien qu'il n'en soit pas fait mention dans notre éducation conventionnelle, ces faits ont été bien documentés dès les années 1930. Les peuples anciens détenaient la connaissance de ces flux et l'ont imprimée dans le paysage. Les indigènes actuels d'Australie et d'Amérique du Sud ne l'ont pas oublié." (Alain Boudet Dr en Sciences Physiques, Le système de circuits vitaux de la Terre, alignements géométriques de lieux sacrés)

Pour être complet, on notera que l'Association française pour l'information scientifique et en général les physiciens, les médecins et les géologues considèrent la géobiologie comme une pseudo-science.


 

 

Bibliographie


Clémence Lefèvre, Manuel complet de géobiologie, détecter et neutraliser les ondes nocives, éd. Exclusif, 2004 (ISBN 2848910135)
Stéphane Cardinaux, Géométries sacrées, Tome 1 : Du corps humain, des phénomènes telluriques et de l'architecture des bâtisseurs, éd. Trajectoire, 2004 ; Géométries sacrées, Tome 2, éd. Trajectoire, 2006
Georges Prat, L'Architecture invisible, éd. Arkhana Vox, 1999
Jacques Bonvin, Dictionnaire énergétique et symbolique de l'art roman, éd. Mosaïque, 1999
Michel Moine, Guide de la radiesthésie, éd. Stock, 1973
Stéphane Crussol, Manuel pratique du pendule, 40 planches pendulaires, éd. Exclusif, 2003, (ISBN 2848910097)
Philippe Bouchaud, La Géobiologie moderne, Collection Savoir et Comprendre en 200 pages, 2006, (ISBN 2952651507)
Philippe Bouchaud, Construction et santé, Collection Savoir et Comprendre en 200 pages, 2007, (ISBN 2952651515)
Bernard Babonneau, Benoît Laflèche, Roland Richard Martin, avec la collaboration du Dr. Jacques Pezé, Traité de géobiologie théorie et pratique, Préface de Peter Roche de Coppens, Sciences et traditions, éd. de l`Aire, 1987 (Suisse).
D. Semelle, ABC de la géobiologie, Grancher, coll. "ABC"