C'est une info Nouvel Observateur sous la plume d'Elsa Vigouroux

A l'intérieur de ce véhicule, le tueur et sa compagne Monique Olivier avaient séquestré et torturé au moins trois de leurs victimes.

Une autorisation de destruction qui intervient alors que les policiers français et belges entendus lors du procès de Fourniret en 2008, avaient insisté à la barre sur la nécessité de poursuivre les recherches afin d'élucider dix mystérieuses années de silence criminel dans le parcours du tueur en série.

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