La très grande diversité des présents sous la pluie et un vent froid, plus de 250 personnes, était remarquable. En effet outre les syndicats organisateurs, on retrouvait des maires d'origine "politique" différente, des parents d'élèves, des enseignants du primaire et de maternelle, des agents des collectivités locales, des personnels ATSEM.

Pour tous, les moyens ne sont pas au rendez-vous d'une véritable réforme. Pour certains c'est également le début d'une "dénationalisation de l'éducation Nationale" avec la création d'une école à plusieurs vitesses selon les moyens respectifs des communes.

Le décret Peillon ne semble pas faire recette dans l'Yonne et dans des milieux très divers.