Pour la première fois, la chambre à coucher et de travail de la poétesse Auxerroise Marie Noël (de son vrai nom Marie Rouget 1883-1967), était ouverte au public à l'occasion des Journées du Patrimoine, ce week end.


Découverte, en suivant un guide, Jean-Paul Desaeve.

 

 

Jean-Charles Guillaume, le président de la Société des Sciences historiques et naturelles de l'Yonne, ouvre les portes de la demeure de Marie Noël, maison qu'elle habita à partir de 1895 jusqu'à sa mort en 1967 (DR)

 

Le lit de marie Noël, un lit d'une personne coiné dans une alcôve (DR)

 

Sur le tablier de la cheminée, des photos d'elle en première communiante, de son père et de sa mère et un portrait dessin de Marie Noël (DR)

 


Le bureau de marie Noël entre les deux fenêtres (DR)

 

 

 


Un document ancien exceptionnel

Visite chez Marie NOEL, dont les poèmes bouleversent Montherlant : en sortant de la cathédrale d'Auxerre, elle retrouve son frère dans la rue, puis Raymond ESCHOLIER, son biographe.

Dans le jardin de sa maison "la maison du diable", elle raconte à Raymond ESCHOLIER sa rencontre avec le général de GAULLE, évoque un souvenir d'enfance, lorsque son père lui lisait Aristophane dans la cuisine.

Elle ne s'intéresse plus à ces poèmes passés, n'aime pas paraître en public, et assure, avec malice, que si elle avait été connue plus tôt, elle n'aurait pas écrit autant.

Elle s'adresse à ses admirateurs et leur envoie toute son amitié. Marie NOEL rejoint des enfants qui font une ronde.
Madeleine ROBINSON dit un de ses poèmes.