Le Festival Catalpa qui a rassemblé 35 000 personnes à l'Arbre Sec l'an dernier, a été annulé en raison des intempéries.  Il devait se dérouler les 23,24, 25 et 26 juin.
Le conseil municipal a engagé une réflexion dont il ressort que le Festival de déménagera pas ailleurs sur un autre site.
Des travaux sont envisagés afin de consolider le sol spongieux qui ne peut recevoir la scène en cas de fortes pluies dans cette zone rouge inondable en bordure de l'Yonne.
Des pilotis ou une dalle ont été évoqués.

 

 

La dette d'Auxerre était de 63,9 millions en 2014. Elle est de 59,8 millions fin 2015. C'est ce qui apparaît dans le compte administratif qui a été adopté par les élus moins les voix de l'opposition.
La capacité de désendettement est passée de 11,8 ans à 10,9 ans.
Malgré la baisse des dotations de l'État de l'ordre de 2 millions chaque année qui a amené la baisse sdes subventions en 2015, de l'ordre de 20 à 25%.

Guillaume Larrivé, le député, leader de l'opposition municipale à Auxerre, a sans doute mesuré toute l'étendue de son erreur tactique aux municipales, en écoutant Pascal Henriat, MoDem, premier adjoint du maire socialiste d'Auxerre, Guy Férez, expliquer le compte administratif 2015, c'est-à-dire, ce qui a été effectivement réalisé en regard des engagements.
Une démonstration limpide suivie d'explications utiles.

Jean-Pierre Bosquet élu UDI de l'opposition s'est attelé pour démontrer que la majorité savait très bien, dès le mois de mars, qu'elle dégagerait un excédent net d'exploitation qui lui aurait permis de ne pas lever l'impôt (+ 8 %) soit 1,8 millions d'euros. Ce que démonta à l'inverse Pascal Henriat, en faisant remarquer que la baisse des dotations se poursuivait et que, chaque année, il fallait répercuter la perte de recettes, de l'ordre de 2 millions d'euros. Ne pas lever l'impôt serait revenu à nier cette réalité.

Jean-Pierre Bosquet a sorti un diagramme (ci-dessous) qui l'a amené à en déduire et prendre le pari que la ville s'endetterait à nouveau en 2019-20120.

Pascal Henriat, a rappelé l'engagement municipal d'investir 10 millions d'euros par an. Et que le taux d'emprunt jamais aussi bas, moins de 1% sur 15 ans, permettait le financement à bon compte, favorisant les entreprises locales.

Guillaume Larrivé leader de l'opposition, a souhaité pouvoir savoir avec précision les répercussions des appels d'offre sur les entreprises auxerroises. Bref qui profite précisément de quoi.