Auxerre partielle vue du ciel : le clocher de Sant-Eusèbe et la cathédrale Saint-Étienne



Balthus (Balthasar Klossowski) - huile La Vallée de l'Yonne

 

 



Entre les affaires du Docteur Marcel Petiot, maire de Villeneuve-sur-Yonne, assassin de 23 à 63 personnes entre 1933 et 1944, des femmes en majorité qu’il brûlait dans un four, le chauffeur Émile Louis et les jeunes femmes disparues de l’Yonne entre 1975 et début 1990, les époux Dunant à Appoigny regardés comme des tortionnaires, Michel Fourniret l’ogre des Ardennes qui a sévi à la fin des années 80, Jean-Pierre Treiber l’homme des bois qui emprisonne ses victimes au fond d’un puits, les meurtres irrésolus de l’anglaise au pair Johanna Parrish et Sylvie Bâton à Avallon, il y a de quoi glacer le meilleur sang et inhiber les bonnes volontés.

De Jean Chamant (Quarré-les-Tombes), ancien ministre des Transports du Général de Gaulle à Patrick Gendraud (Chablis), les cinq présidents du conseil départemental de l’Yonne (Henri de Raincourt (Vallery), Jean-Marie Rolland (Vermenton) et André Villiers (Pierre-Perthuis-Vézelay), se sont trouvés confrontés à ces pesanteurs mortifères qui telles une pieuvre se sont déployées durablement dans les esprits contaminant son monde ainsi que les imaginaires.

Henri de Raincourt écoeuré par le désastre de l’affaire Émile Louis qui défraya la chronique nationale et internationale, ne supportant plus d’être raillé par ses collègues parlementaires tous les lundis de retour d’Yonne, entreprit dès son élection en 1993, de construire une autre image de l’Yonne.

La charte Yonne 2001 déboucha sur une vingtaine d’actions propositions pour l’Yonne dont le TGV Yonne vers Lyon et Marseille, puis l’organisation du Festival international musique & cinéma organisé de 2000 à 2008 par le Conseil général de l’Yonne. C’est un ancien festival consacré à la musique et au cinéma. Il se déroulait mi-novembre à Auxerre mais aussi Sens, Toucy, Avallon et Tonnerre.

Comme son nom l'indique, il met en vedette la musique de film, non seulement par le biais de la traditionnelle projection des films en compétition, mais aussi et surtout par l'organisation de concerts et de conférences.

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Ces deux phares dans l’obscurité icaunaise s’éteignirent avec le départ du président Raincourt avant qu’il ne soit appelé aux responsabilités ministérielles en 2009, comme ministre des relations avec le Parlement puis comme ministre de la Coopération.

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La crise de 2008 fut terrible de conséquences pour la collectivité territoriale car elle mit au jour le fort taux d’endettement du Département et la nécessité de pratiquer des coupes claires dans le budget, ce qu’entreprit le nouveau président élu Jean-Marie Roland. Dès lors, dans l’adversité, ce fut un long chemin de croix après des années d’opulence en comparaison.

La loi et les mentalités évoluant, il fallut s’adapter. Pas facile de modifier la trajectoire d’un Titanic car les effets présumés ne portent leurs fruits que longtemps après la manoeuvre. Pas question d’agilité ou de réactivité dans cette institution au service de la population.

André Villiers élu centriste hérita d’une situation financière compliquée, au lendemain de son coup de poker réussi en 2011, où il prit le pouvoir avec une poignée de mousquetaires au sein d’une majorité déboussolée et sans tête. Il n’eut de cesse de serrer les boulons, se refusant d’ emprunter un centime supplémentaire, la hotte de la dette étant pleine à craquer.

Lors de ses deux mandats, le maquignon de Pierre-Pertuis dans ce sud de l’Yonne qu’Henri de Raincourt n’a jamais voulu voir dépérir ni désespérer alors que le nord prospérait, réussit à maintenir le cap et objectivement à réduire le niveau de la dette, ce dont profita sur la lancée son successeur Patrick Gendraud à la faveur d’une conjoncture favorable sous la forme de rentrées non prévues de taxes de mutation liées aux transactions immobilières. Le Chablisien diminua le volume de la dette qui était de l’ordre de 250 millions d’euros, pour la ramener en deux ans à 215 millions. Faisant ainsi le choix de ne pas investir davantage.

À la décharge d’Henri de Raincourt, il convient de pondérer le poids de la dette construite avant 2008, des éléments suivants :

- découverte des emprunts toxiques accordées par les banques.

- les premiers transferts de compétences de l’État sans contrepartie financière dont les élus n’avaient pas encore la courbe d’apprentissage d’aujourd’hui.

- un territoire de projets qui nécessitaient financements, dont on retient que certains sont encore inaugurés à ce jour ...

- une volonté politique de Henri de Raincourt de ne jamais avoir recours à la pression fiscale ce dont d’autres on fait usage, comme des coups de massue.

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Il est vrai que le Département s’était englué dangereusement dans une forme de marasme émaillé de scandales financiers qui défrayèrent la chronique locale ...

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... sous la forme de pertes d’argent assez colossales dans divers domaines d’action tels l’enseignement musical (25 millions d’euros), le crash (32 millions d’euros) Domanys le bailleur social qu’il fallut renflouer rapidement (5 millions) pour qu’il ne périclite pas parmi d’autres joyeusetés stupéfiantes qui ont démontré que les systèmes de contrôle et de management sans parler d’une politique d’évaluation, sont déficients. Face à ces tristes réalités, les citoyens ne pouvaient que constater l’impéritie de leurs élus et n’avaient que leurs yeux pour pleurer

En filigrane et toile de fond, la coopération officielle entre le département de l'Yonne et la province de Kakhétie en Géorgie, initiée dans les années 90, dans le cadre de la charte Yonne 2001, par le président du conseil départemental Henri de Raincourt, fonctionne encore et a porté ses fruits de manière notable notamment le dispensaire médical ou encore l'équipement informatique d'écoles. Monique Hadrbolec fut une des chevilles ouvrières de l'association ainsi que deux médecins auxerrois à titre bénévole.

Cette coopération n'a strictement rien à voir avec le protocole d'accord qui a été signé entre la gouvernance André Villiers et la gouvernance de l'État d'Azebeidjan en 2013. Ce dernier y fit plusieurs déplacements pour promouvoir les filières bovine et viticole. Cet accord n'a pas été suivi d'effets officiels mais a engendré des relations d'affaires agricoles notamment entre le département et ce pays, à en croire Patrick Gendraud. 

D’aucuns crurent un peu naïvement (facile à dire après coup) que l’instauration par la loi sur la parité aux dernières élections du CD 89 allaient donner un coup de jeune et booster la vénérable assemblée départementale, les femmes d’une manière générale, étant plus attentives et efficaces que les hommes. Force est de constater qu’il n’en fut rien et qu’il n’en est rien au sein d’un système verrouillé où tout est distribué afin de maintenir coûte que coûte et quel qu’en soit le prix, l’unité de la majorité écrasante, donc difficile à manoeuvrer car les egos y prospèrent souvent au dépens de la chose publique.

Beaucoup de frustration et de déception chez certains, ponctuées par les fissures et divisions dans la majorité autour de deux pôles, l’ex LR désormais LREM du nord le secrétaire d’État Jean-Baptiste Lemoyne et l’UDI constant du sud ancien sénateur supplénat de H2R, son futur ennemi juré, André Villiers. Rien qui fasse rêver.

Derrière les deux grandes actions phares initiées par Henri de Raincourt, le projet Yonne 2001 porté par le Jovinien Pascal Devertu, dircom et le Festival Musique et Cinéma (2000-2008) porté par Fabrice Jobard, deux autres types d’entreprises ont marqué les mandatures d’Henri de Raincourt.

Ce dernier n’hésite pas à dire que ce sont celles dont il est le plus fier dans l’Yonne.

 

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La création de Yonne Développement et de Yonne Équipement avec plus d’une centaines de bâtiments industriels construits et loués puis vendus selon un schéma qui constitue un vrai accompagnement des projets d’entrepreneurs excluant contractuellement toute forme de spéculation sur le prix de vente au bout de six ans.

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L’aide aux communes qui au-delà de l’aspect subvention, constitue un moyen d’accompagner les communes de l’Yonne dans leur développement et le développement du territoire au service des Icaunais. Une aide qui a fondu comme neige au soleil rattrapée par l’austérité et les coupes claires dans les budgets.

D’autres actions méritent d’être soulignées notamment la politique culturelle au travers de l’apprentissage de la musique et la formation ainsi que des activités sportives sur le territoire dont Yonne Tour Sports est un fleuron, l’été, qui enchante les jeunes qui ne partent pas en vacances.

Enfin, Henri de Raincourt ne s’est pas représenté aux élections municipales de mars 2020, à Saint-Valérien. À 71 ans, au terme de 43 années de mandats dans l’Yonne, conseiller municipal, maire, conseiller général, sénateur, président du conseil départemental de l’Yonne, l’agriculteur de formation fils d’une lignée d’élus politiques dont son père Philippe qui fut sénateur ; a décidé de laisser la place à plus jeunes et au renouvellement qui s’impose dans la vie.
Il est impossible d’occulter ce que l’élu bâtisseur du Gâtinais a réalisé à Saint-Valérien pour l’embellissement et la dynamique de la commune.

Notamment l’A 19 et la zone d’activités de 100 hectares qui a permis la création de 1 000 emplois nouveaux avec notamment les implantations de Renault, Carrefour, Corialis.

Le 11 juillet, Henri de Raincourt sera à la retraite. Il espère pouvoir demeurer utile d’une manière ou d’une autre, même si affirme-t-il, “quand on s’en va, on s’en va ...”.

Ainsi va la vie et la vie dans l’Yonne. A quoi mesure-t-on la faiblesse d’un pouvoir ? Au rejet clair et net, par le peuple, de ses initiatives.

On verra ce qui se passera aux prochaines élections de mars 2021 pour renouveler la composition des élus au Conseil départemental. Peut-on, faut-il espérer un nouvel élan, un nouveau souffle avec des femmes et hommes nouveaux portant de nouvelles idées ... ?

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Le mépris de la presse et du droit à l'information des citoyens

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Ce n’est pas gagné tant les pesanteurs de l’Yonne sont présentes et indécrottables semble-t-il bien. Les relations avec la presse n’ont jamais été bonnes malgré les tentatives. L’institution investit dans la communication. L’information due aux citoyens n’a jamais été une priorité, on se demande même si elle n’est pas volontairement occultée. Comment expliquer que les projets de délibérations sont proposés sur table aux journalistes seulement à l’heure du début de l’assemblée plénière ? Partout ailleurs d’une manière générale, la presse dispose des projets une semaine avant, à l’image des conseillers départemantaux afin qu’ils puissent les étudier.

Comment un journaliste peut-il à la fois découvrir les contenus de quelques 400 rapports et en même temps suivre le fil d’intervention lors des débats tout au long de la journée ? Au-delà d’une forme de mépris certain et profond pour la presse, c’est une insulte qui est faite aux citoyens. Rien ne change : fermez les caméras, micros et porte-plumes, circulez il n’y a rien à voir. Non, rien n’est fait pour favoriser les conditions de travail de la presse.

Auxerre TV peut témoigner d’avoir été insidieusement viré de l’espace public commun, il y a quelques années, parce qu’une séquence video avait déplu à Monsieur Gendraud, 1er vice-président, qui avait face caméra crut devoir comparer son cas à celui d'un jeune lycéen de St Jo à Auxerre qui s'est donné la mort après avoir été harcelé.

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Mais pourquoi l’autorité des paroles institutionnelles est-elle à terre ? C’est la question à laquelle les paroles institutionnelles ont le moins envie de répondre

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La parole s’est auto-effondrée, sous le poids de tous ses manquements. À commencer par le mensonge des institutions de pouvoir. Les institutions de pouvoir mentent.

Mediator : Servier ment. Dépakine : Sanofi ment. Bridgestone : Bridgetsone ment. 20 milliards de CICE pour créer un million d’emplois : le Medef ment. Mais aussi : Lubrizol, les pouvoirs publics mentent ; nucléaire, tout est sûr : les nucléocrates mentent. Loi de programmation de la recherche : Vidal ment (mais à un point extravagant). Violences policières, alors là, la fête : procureurs, préfecture, IGPN, ministres, président de la République, tout le monde ment, et avec une obscénité resplendissante qui ajoute beaucoup. Covid : hors-concours.

Le capitalisme néolibéral a déchaîné les intérêts les plus puissants, or là où les intérêts croissent, la vérité trépasse.

 

Et puis il y a aussi une situation que décrit la Cour régionale des comptes. Extraits.

 

 




Bien ancrée dans le sud, la coline éternelle de Vézelay

 



La lecture de certains passages du rapport a de quoi effrayer le citoyen-contribuable : ainsi dans le chapitre I sur les principaux enseignements des diagnostics globaux réalisés en 2017 :

- page 21 « Les directions des finances ne disposent pas d’une assurance raisonnable sur l’efficacité des contrôles effectués en amont au sein des services opérationnels, ce qui entache l’ensemble de la procédure comptable d’un risque de non-détection d’anomalies financières, voire de fraudes » .

- page 21« Les charges de personnel illustrent une autre faiblesse du contrôle interne, constatée dans la quasi-totalité des collectivités expérimentatrices. Lorsqu’ils existent, les contrôles des données relatives au personnel et de la production de la paie sont faiblement formalisés et de facto inutilisables par un auditeur externe. Cette situation provoque des difficultés en particulier pour assurer la maîtrise des risques de ce processus complexe et très significatif dans les charges de fonctionnement. L’absence générale de rapprochement périodique entre les bulletins de salaire émis chaque mois et les effectifs physiques de l’entité en est une illustration »

D’autres défaillances relevées au fil des pages de ce rapport :

- L’absence de tenue de l’inventaire comptable de l’actif immobilisé,

- Une absence fréquente de comptabilité de stock,

- Des provisions insuffisantes au regard des engagements,

- Un recensement des engagements hors bilan à améliorer

- L’insuffisance récurrente des rattachements de charges et de produits à l’exercice.

Ce bilan sans appel aurait pu être dressé il y a 15 ans, tant les progrès sont lents en matière de tenue des comptes et de systèmes de traitement de l’information financière.

Il est regrettable qu’un tel constat ne trouve pas plus d’échos au sein de la sphère publique locale et en particulier au sein des associations d’élus.

Comment bâtir une stratégie financière garantissant des équilibres financiers pérennes sans données financières fiables ?

Comment opérer des arbitrages budgétaires alors que la masse salariale ne traduit pas la réalité financière ?

La parité arithmétique est nécessaire pour permettre aux femmes d’accéder à des mandats électifs. Elle ne se fait presque jamais d’elle-même, sans un changement législatif. Mais la parité n'est pas la panacée car elle induit certains éléments négatifs pour la démocratie. Le scrutin obligatoirement paritaire empêche par exemple des binômes de deux femmes de se former : une conseillère départementale sortante ne pourrait s’unir avec une jeune candidate, afin de former un binôme, par exemple. Cette loi du binôme paritaire censée les soutenir, entrâve, en réalité, des femmes.

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Une amorce heureuse de désendettement

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En attendant on ne sait quoi précisément, depuis 2011, l'objectif de la collectivité semble se résumer au désendettement, qui atteignait 255 millions d'euros, soit plus de la moitié du budget annuel de la collectivité.

En 2020, le montant a été ramené à 225 millions d'euros, grâce à trois années qui ont enregistré un surcroît imprévu de recettes dans les droits de mutation. Les sommes auraient pu être investies dans les routes par exemple dont l'entretien et la modernisation ont été objectivement quasi abandonnées, le budget annuel étant ramené de 35 millions d'euros à 5 millions d'euros. Ou dans des travaux de restauration de collèges, tel Bienvenu-Martin - illustre natif de Saint-Bris-le-Vineux ministre de l'instruction et des beaux-arts - en réseau d'éducation prioritaire à Auxerre, que la collectivité a laissé tomber pour le fermer définitivement. Une fenêtre de l'étage ayant chu.

 

Mais que l'on se rassure : le conseil départemental de l'Yonne poursuit ses missions légales obligatoires au guichet.

 

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Pas d'AOC viande de boeuf au sud de l'Yonne

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 À bien considérer les choses, les deux derniers actes signifiants sur le territoire de transit icaunais remontent aux époques de Jean-Pierre Soisson puis Henri Nallet lorsque qu'ils furent notamment ministre de l'Agriculture. Tous deux ont réussi à faire doubler les surfaces de finage du vignoble chablisien ! Permettant à des vignerons de faire fortune.

Mais aucun n'a réussi à obtenir la fameuse AOC (appelation d'origine contrôlée) recherchée par la Terre Plaine par Marie-Édith Legendre au château des Vignes, amie d'Edgar Faure, dans le sud de l'Yonne pour l'élevage charolais.
La famille Cadoux entre autres, vend entre 120 et 130 mâles reproducteurs par an. Des animaux de haute qualité génétique qui font sa renommée depuis 60 ans. De race charolaise.
Six décennies consacrées à la construction génétique du troupeau et marquées par plus de 2.000 récompenses (dont 13 prix de championnats rapportés de Paris).

Aujourd'hui, les quatre frères Cadoux - Philippe (57 ans), Pascal (51), Jean-Michel (50) et Claude (49) ont succédé au créateur de cet élevage, Bernard, décédé l'an dernier. Ils poursuivent avec passion et rigueur l'oeuvre de celui qu'on appelait le « pape du charolais ». Avec 280 mères de race charolaise, le GAEC Cadoux est considéré comme le plus grand élevage de France inscrit au Herd-book Charolais.

Il n'existe qu'une seule AOC viande de boeuf en France : le boeuf de Camargue.

Côté patrimoine, les choses ont évolué lentement par petites touches au ras des campagnes. Les projets d'envergure ont tous capoté : la base nautique de Villevallier du temps de l'industriel maire Roger Mouza fondateur de l'Aéroclub les Ailes Joviniennes en avril 1952 qui embaucha Maurice Charlatte jeune ingénieur aéronautique, l'arlésienne du Club Med en Puisaye où les terrains avaient été achetés, le golf 18 trous de Vézelay qui a provoqué un trou de 5 millions de francs dans les caisses du conseil général, l'aménagement global de Vézelay jusqu'à la basilique assorti d'un téléphérique et de services divers, le rachat du domaine de Pontigny par un fond luxembourgeois voulant aménager un hôtel de luxe, la restauration et l'animation du château pentagonal de Maulnes, et on en passe.

 

 

                                                                                              Pierre-Jules GAYE





Double page dans l'hebdomadaire Marianne en date du 16 au 22 août 2019. L'Yonne ses vignobles et ses tueurs en série sont durablement inscrits dans les imaginaires (photo capture d'écran)





Le TGV Yonne s'est arrêté pour la dernière fois à Sens et Laroche-Migennes, samedi 12 décembre 2011