LA CITE
PV "dématérialisés"
le samedi 18 février 2012, 16:50 - LA CITE - Lien permanent
Demande de subvention à l’État
La ville demande des subventions pour l'acquisition des boîtiers électroniques permettant la "dématérialisation des amendes de stationnement. Isabelle JOAQUINA soulève le problème des habitants du quartier St Pélerin pendant la durée des travaux sur les quais.
Commentaires
Monsieur le Maire.....
Pourquoi "offrir" un si gros mensonge à vos braves citoyens quant à l'augmentation des tarifs de stationnement à Auxerre et à l'extension des zones concernées ???
Vous justifiez votre décision par la nécessité d'éliminer les voitures-ventouses et d'améliorer la rotation des véhicules intra-muros !!!!
Parallèlement vous accordez aux riverains la possibilité d'acheter le droit de stationner (en permanence) au moyen d'une carte d'abonnement à paiement mensuel, trimestriel..etc.
Ainsi les riverains pourront laisser leurs véhicules à demeure jours après jours, semaines après semaines..s'ils le souhaitent .!!!
Voici donc, globalement, les fameuses voitures-ventouses car ce ne sont certainement pas les habitants de Monéteau, Sens, Avallon ou autres qui monopolisent les emplacements de stationnement puisqu'ils ne font que de brefs passages à Auxerre , souvent pour faire des achats favorisant ainsi le commerce local.
Vous auriez dû dire aux auxerrois et autres personnes intéressées que vous voulez faire rentrer davantage d'argent dans les caisses et non pas que vous voulez assurer une meilleure rotation des véhicules en stationnement.
Mais il est vrai, j'en suis persuadé, qu'il eût été génant de donner clairement la véritable raison des 2 décisions qui ont été prises.
Quel dommage de toujours et encore contourner la vérité comme savent si bien le faire les hommes et femmes politiques
P.S. ; devant la pharmacie de la rue du 24 août (ainsi que devant la Caisse d'Epargne située juste à côté) le trottoir est surbaissé pour permettre aux personnes devant se fournir en médicaments de laisser leur véhicule quelques instants. Il semblerait que les agents verbalisateurs, avec le zèle qu'on leur reconnait bien volontiers (!), n'hésitent pas à sévir avec délice. Ne pourraient-ils pas vérifier si le(s) véhicule(s) appartien(nen)t bien à un ou des client(s) de la pharmacie avant de de décocher leurs armes répressives ?