Entrez dans la conversation avec Philippe LEMENAN, Jean-Louis CAYRE et Pierre-Jules GAYE

- Après l'effet cathédrale..., un voyage à Lourdes ?

- L'AJA, c'est vraiment fini ? Les financiers sans sou prêts à tout ?

- Un entraîneur sur la sellette et dans l'expectative, 12 joueurs en fin de contrat ... quel projet, quel avenir pour l'AJA qui doit baisser drastiquement son budget ?

- AJA-Rennes mercredi (18h45) : sur un match tout est possible

- Monaco-PSG n'a pas fait un flop

- Coups de gueule coups de coeur

 

 

 

 

Invité à s’exprimer en salle de presse, Bernard Casoni, le coach de l’AJA, a fait part de ses réflexions avant la confrontation face au Stade Rennais, mercredi (18h45)

« C’est un bon tirage, on va jouer chez nous contre une équipe de Ligue 1. Mais mon discours ne changera pas pour autant ! Qu’on affronte un club amateur en Coupe de France ou un club de l’élite, tu dois aborder la rencontre avec les mêmes principes, la même volonté, la même détermination…

Notre problème, c’est sans doute la suffisance. Aujourd’hui il faut penser au présent et à rien d’autre. On va jouer pour essayer de se qualifier en ¼ de finale. Les médias parlent de Paul-Georges Ntep…Il ne faut pas se tromper, maintenant il est avec nos adversaires, on connait ses qualités…

Notre saison est difficile, l’AJA passe par une mutation, il y a donc du changement et forcément un peu d’incertitude, c’est normal. Il nous reste une quinzaine de matchs pour finir honorablement le championnat, d'être compétitif pour obtenir le meilleur classement. Mon ambition constante, c’est de faire progresser l’équipe, la Ligue des Champions est loin, ouvrons les yeux…

Rennes est un peu dans notre situation, elle alterne le bon et le moins bon. Face à Istres, on a gagné, on a pris les 3 points mais nous n’avons pas été bons, je dirais même que dans le jeu c’était assez catastrophique. Mais contre Lens et Dijon, notre équipe a montré des qualités, j’ai vu de bonnes choses. Nous savons ce qu’il faut faire pour devenir meilleurs.

Face à Rennes, les garçons seront motivés sans qu’on les pousse, mais ils devraient avoir cette motivation à chaque match, quel que soit l’adversaire. » (aja.fr)