Le proviseur, l'inspecteur et le président de l'association déposent deux gerbes

 

Les noms des 158 élèves du lycée Jacques-Amyot ont été prononcés suivis, à chaque fois, de la sentence "Mort pour la France", après la lecture aux morts par des lycéens. Morts lors de la grande guerre 14-18.

La cérémonie émouvante, avait débuté par deux chants a capella d'une chorale de lycéens.

Jean-Guy Bègue, le président de l'association des anciens élèves de Jacques-Amyot prononca un discours où il évoqua la medecine et la santé pendant la guerre ainsi que non sans émotion, une figure proche, Louis Barat, médecin major, mort au champ d'honneur le 27 avril 1917.

 

Jean-Guy Bègue, président de l'association des anciens du lycée Jacques-Amyot

 

Les lycéens choristes ont touché a capella

 

Le fronton où osnt répertoriés les 158 noms d'élèves morts pour la France

 

 


 

 

 

Hommage à Charles Surugue maire d'Auxerre, doyen des pilus des forces alliées

 

Le maire d'Auxerre Charles Surugue, ancien de Jacques-Amyot, s'est engagé volontaire comme simple soldat en 1914. Revenu vivant de la grande guerre après être monté en grades, il a été réélu maire d'Auxerre en 1919.
Pour rendre hommage au doyen des poilus des forces alliées, une cérémonie exceptionnelle a eu lieu devant la statue qui lui a été érigée. Une statue qui a changé trois fois de place du pont Jean-Moreau au rond-point de Paris pour enfin être implantée au bas de la contre-allée du boulevard de la Chaînette où elle a vue sur Yonne