AUXERRE TV publie l'intégralité du jugement du tribunal administratif de Dijon afin de comprendre pourquoi l'arrêté préfectoral a été annulé  (à lire ci-dessous au bas de l'article)

 

 

Michel Huet, naturaliste, homme de télévision, originaire d'Asnières, président de l'ADCVA (DR)

 

Le projet de carrière qui fait colère

 

Article et video mis en ligne le 9 avril 2012

 

Le projet de carrière d’Asnières-sous-Bois vient d'être déclaré recevable par la préfecture de l'Yonne qui l'avait refusé en mai 2011.
Le groupe Lafarge serait derrière le projet de carrière de granulats destinés à être convoyés dans les cimenteries de la région parisienne.
L'association pour la défense du cadre de vie d'Asnières-sous-Bois et ses environs présidée par le naturalsite Michel Huet, estime qu'un "sanctuaire" est en danger.
Le site historique, spirituel et environnemental du vézelien fleuron de la Bourgogne, classé patromoine mondial par l'UNESCO, est menacé par l'implantation d'une énorme carrière à ciel ouvert au coeur du vézelien

 

 

 

La carrière exploitée qui divise Asnières-sous-Bois


Article et video mis en ligne le 7 février 2014

 

Les membres de l'association du cadre de vie d'Asnières-sous-bois et ses environs, ADCVA 89, s'opposent l'exploitation d'une carrière de calcaire, à 350 mètres de la première habitation du village. Ils craignent le déversement de résidus polluants dans la nature, et le passage de nombreux camions. Le tribunal administratif doit prochainement rendre un jugement sur les recours déposés

 

L'association ADCVA compte plus de 200 membres et la pétition a recueilli plus de 1 000 signatures. Il n'empêche que l'exploitation du sous-sol de calcaire a commencé sur 10 hectares, mais elle devrait s'étendre à terme produire 200 000 tonnes de granulats par an. Sauf si le tribunal adminstratif de Dijon saisi de deux recours introduits par l'association, dit stop.

Le propriétaire de la carrière affirme n'utiliser aucun produit chimique. De plus, dit-il, l'activité n'entraînera ni poussière, ni bruit, ni vibrations dus au tirs de mine, et les camions ne passeront pas dans le village. 
L'exploitation de la carrière a créé trois emplois, d'autres devraient suivre.