Après ces incidents particulièrement graves dont tout le monde est désormais au courant, AuxerreTV a brisé le silence et exposé les faits. Nous avons ici un journaliste qui n’est acheté, payé, soudoyé ou à la solde de personne. Au service de sa région, par passion, mission, conviction, appelons ça comme il vous plaira.

Et il est écoeurant, véritablement écoeurant, de le mettre en cause avec la bouche en cœur (et un chœur de mensonges), la main sur cet organe qui bat si bien (ou serait-ce sur le portefeuille juste au-dessus ?). Mais voyons, c’était à huis-clos, qu’en savez-vous ? Tiens tiens… et vous donc ?

Si vous y étiez vous couvrez des actions de bullies (intimidateurs Ndlr), et si vous n’y étiez pas, vous choisissez le clan des bullies. On vous attaquera en justice.

Mais c’est bien sûr… et vous, ceux qui forcent à voter comme ils le veulent, qui vous attaquera enfin ? PJG n’est pas journaliste, il n'a pas sa carte, il colporte des rumeurs.

Etrange comme ces rumeurs sont désormais sur tant de réseaux sociaux  qu’on se demande comment aucun n’a eu la décence de se lever et dire « c’est vrai, nous avons merdé… ».

Vous devriez remercier le ciel qu’il y ait des journalistes comme PJG, qui prend des risques pour que tout soit clair, avec passion et honnêteté. C'est un privilège dont vous ne semblez avoir aucune idée.

Vous devriez avoir honte de n’être qu’un clan de bullies d’un côté et de pétochards de l’autre, de soumis pour avoir la paix, ou un mandat, ou des amis « bien placés ». 

Courage Pierre-Jules, il restera assez de justes je l'espère ! Tout le monde ne se sent pas tenu par l'Omertà... les hommes libres ne le sont pas.

                                  

                                                                          Suzanne DEJAER