Guytou... On mange Chinois ... si l'association le veut bienou alors on mange chez toi..., car rien ne change.

On a bien compris que Guy Cotret veut survivre à la tête de l'AJA. Il est dans son rôle. Un rôle qu'il assume très bien d'ailleurs celui de gestionnaire jamais contesté du moins officiellement. Et puis ce rôle lui permet d'assurer ses mandats nationaux

Le problème c'est l'actionnaire minoritaire (40%) de la SAOS AJA, qui détient statutairement une minorité de blocage.

Que dit l'AJA association ?

D'abord elle se réjouit de la proposition chinoise qui ne peut qu'apporter le plus qu'attend l'AJA.

Elle acte la plus value de Corinne LImido, une bonne affaire (1 million en trois ans), de revente et s'en réjouit pour elle.

L'apport en capital sur trois ans des Chinois à hauteur de 6 millions d'euros, c'est une très bonne chose, affirme Michel Parmentier, président de l'association AJA.

Cela dit, une augmentation de capital présentée sous forme d'abondement de 2 millions par an, c'est compliqué, car cela implique notamment une modification des statuts.

Aussi, le président Michel Parmentier, suggère-t-il aux Chinois, un apport en compte courant, système beaucoup plus souple, permettant d'apporter, de retirer, au gré.

Autrement dit, d'un mot : pas question de modifier le rapport de force qui a été établi avec feu Emmanuel Limido lors du rachat en 2013 non plus que la convention qui lie la SAOS AJA à l'association AJA.

L'association AJA n'entend aucunement se soumettre à une augmentation de capital qui réduirait sa part et du même coup sa minorité de blocage statutaire, qui préserve son patrimoine foncier et immobilier visé.

Or la mission de l'association AJA est de maintenir le patrimoine de l'Abbé-Deschamps ainsi que les valeurs y afférant.

 

P-J. G.

 

Michel Parmentier, président de l'association AJA  (DR)