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mercredi 07 mai 2014

AJA : le tour d'honneur des Gambardella champions de France

C'est le 7ème titre de l'AJA. le dernier remontait à 2000. Hommage et présentation des joueurs au stade Abbé-Deschamps

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samedi 03 mai 2014

Les Auxerrois ont gagné la coupe Gambardella

Voici de quoi réjouir les coeurs des supporters de l'AJA ...

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mardi 30 juillet 2013

Le Roncemay conserve le trophée golfique face à Chailly

L'équipe mixte senior du Roncemay sait voyager

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mardi 06 décembre 2011

Les remerciements de Gaëtan et Alexis

Deux jeunes Auxerrois, étudiants au CIFA d'Auxerre, ont décroché la plus haute toque. Ils remerciaient leurs Maîtres

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jeudi 13 octobre 2011

Les golfeuses du Roncemay ratent d'un cheveu le Trophée de la Femme

L'équipe fanion échoue d'un point derrière Chalon-sur-Saône mais devant Dijon-Bourgogne

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jeudi 28 juillet 2011

OM-LOSC : un match fou fou fou

Neuf buts dont cinq dans les dix dernières minutes, deux penalties, une expulsion, Lille qui mène 3-1 pour finir par s'incliner 5-4 ... Le premier officiel de la saison de la Ligue 1 a offert son lot de rebondissements et d'émotions. De bon augure pour la suite de la saison. Rudi Garcia entraîneur de Lille revient sur cet incroyable et cruel trophée des champions entre le LOSC et l'OM (4-5)

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mardi 14 septembre 2010

Les golfeurs seniors du Roncemay champions à Chailly

La paire Daniel Grazia - Sonia Rochette du Roncemay a remporté le brut avec un score de + 8 et un retour en + 3 sur un parcours très sélectif avec un slope de 142 des boules blanches et 136 des jaunes pour une longueur de 6 087 mètres

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jeudi 17 mai 2007

La soif et la descente sur Decazeville chez "la stauge" Serge Mésonès

Bon pied bon oeil on a grimpé la montagne couverte de châtaigniers en empruntant un sentier de chèvre empierré et escarpé. François comme à son habitude donnait le tempo, filant devant car ce qui est pris est pris autrement dit ce qui est fait n’est plus à faire. Halte à la chapelle Sainte Foy fichée sur le flanc et Jean-Marc, qui n’est jamais à une espièglerie près, de tirer sur la corde pour faire sonner la cloche. 1h40 de grimpette avant d’arriver sur le plateau aux Clémenties. Pierre-Jules la chemise trempée l’enlève et enfile un tee shirt pour ne pas prendre un coup de froid car si le soleil brille de tous ses feux, le fond de l’air est frais.

La route est longue qui mène à Decazeville. Les conversations sont animées car on se retrouve et on a beaucoup à se dire. On refait le monde et on se promène sur la planète jusqu’en Nouvelle Zélande à Wanaki. Dans un minuscule hameau perdu là-haut, on bavarde avec une dame à l’ouvrage. Belle. Elle semble vivre seule et dit n’avoir pas trop d’une journée pour faire ce qu’elle a à faire : bref, pas le temps de s’ennuyer. Le monde est petit puisque son fils vit en Nouvelle-Zélande où elle se rend régulièrement. Du coup François la soumet à la question car il connaît bien ce pays magnifique où il fait bon vivre sans stress.

Cette première étape nous paraît sans fin. Il fait de plus en plus chaud et lourd. Homérique descente sur Decazeville, ancien pays minier qui doit son nom à Elie Decazes, industriel fondateur de l’usine à l’origine de la ville. C’est à Decazeville que sont nés Paul Ramadier et où repose Serge Mésonès (1948-2001), le capitaine courageux de l’AJAuxerroise, arraché à la vie sur le terrain de son enfance à l’âge de 52 ans. Patrick, le patron de l’Hôtel Moderne, un ancien condisciple rugbyman, témoigne.

Jean-Marc fait des siennes et entend prendre un raccourci à travers champs et bois. Comme des moutons on le suit car, épuisés, on serait bien contents de gagner du temps. La descente à pic est périlleuse. Après quelques détours et incursions dans des taillis pentus, on dévale dans un hameau où une maison d’hôte ne portera jamais si bien son nom pour les assoiffés que nous sommes. Plus rien dans les musettes ! Imprudents, inconscients que nous sommes, persuadés qu’il ne peut rien nous arriver. François et Alain absorbent un sweppes et un faux coca casino tiède et dégueux. Personne ne fait la fine bouche. La soif, la vraie, on avait oublié ce que c’était. Ah… une gorgée de liquide !

Un casse-croûte exceptionnel nous réconfortera à Decazeville chez Patrick où l’accueil est chaleureux. Il manque les bagages de Jean-Marc qui arriveront plus tard. Deux bouteilles de Marcilhac et une nuit réparatrice nous remettront d’aplomb pour le lendemain, une des étapes les plus longues et une entame raide. Encore !