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Mot-clé - guy alvès

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vendredi 25 juillet 2014

Pierre Lescure administrateur vedette à l'AJA

L'ancien journaliste, businessman et flambeur (c'est lui qui le dit), un des fondateurs de Canal Plus succède à Guy Alvès, patron de Bygmalion qui a été écarté, le 29 mai, du conseil d'administration de la Soas AJA lorsqu'a éclaté le scandale des surfacturations et fausses factures à l'UMP

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mercredi 18 juin 2014

L'AJA mécène qui a nourri Bygmalion ?

La livraison du jour du Canard Enchaîné  répertorie les mécènes qui ont nourri le féroce appétit de Bygmalion, la pompe à fric de l'UMP. Selon le palmipède, au moins 60 millions d'euros auraient été versés à l'officine de Jean-François Copé par le gratin de la droite et du patronat. Et de poser la question : où sont-ils passés ?

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jeudi 29 mai 2014

Guy Alvès sort du conseil d'administration de la SAOS AJA

Guy Alvès, président de Bygmalion, administrateur de la SAOS AJA au titre de l'AJA XXL filiale de PLP elle-même filiale de Centuria Capital détenu par Emmanuel Limido actionnaire majoritaire de l'AJA, a démissionné de ses fonctions

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mardi 27 mai 2014

Copé, l'UMP, Bygmalion, Alvès, Limido, Centuria Capital et l'AJA : c'est sauve-qui-peut

L'affaire Bygmalion a été l'affaire de trop pour le patron de l'UMP. Depuis près de dix ans, il avait traversé toutes les polémiques sans jamais être inquiété. Conflits d'intérêts, manœuvres politiques, amitiés sulfureuses... Avec une ligne de défense bien rodée, Copé était parvenu à s'en sortir. Jusqu'à devoir démissionner de la tête de l'UMP

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samedi 01 mars 2014

Emmanuel Limido, patron de l'AJA, de l'ombre à la lumière

Dans un courrier envoyé à Guy Férez maire d’Auxerre, au député Guillaume Larrivé, et aux présidents du conseil régional François Patriat, du conseil général André Villiers, le patron de l’AJA, Emmanuel Limido, répond et entend éclairer l'affaire Copé, l’enquête publiée dans le magazine Le Point "où il est mis en cause, lui et certaines de ses sociétés en tant qu'investisseur caché derrière Bygmalion qui aurait empoché au moins 8 millions d'euros durant la campagne présidentielle de 2012 de Nicolas Sarkozy"

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